(18-05-2018, 23:34)la queue en airain a écrit : C'est sympa d'éviter du boulot aux vieux... 

le squat
on prolonge, tu joueras ?

Citation :Les champs de fleures de brume recouvraient à peine  quelques mètres carrés, éparpillés ça et là au aux intersections des puits de lumières naturelle et des écoulements des niveaux supérieurs.
Malgré l'abandon des lieux, la vie ici ne retrouvait pas ses droits : elle apparaissait par le plus grand des hasard, et certainement pas le plus joyeux.
Entre les bactéries, les mutations et les infections, tout ce qui pouvait apparaître généralement disparaissait aussi vite et seule les formes de vie les plus volontaires, ou les plus étranges, parvenaient à s'en sortir.

Non loin des parcelles de fleurs de brume, on vit apparaître une forme de mite particulièrement agressive. Celles-ci se cachaient dans les vêtements et se réveillaient la nuit pour trouver un hôte et y pondre des œufs. Quelques membres éclatés et malformations plus tard, mama trouva le moyen de se débarrasser à la fois de l'infestation et d'augmenter la production de fleure de brume.

La Mite à Mama, c'est le petit nom que petit frère donna à la mite géante que Mama dressa à manger tous les autres insectes qui s'approchaient un peu trop près des récoltes de fleures de brume.

Pendant plusieurs année, la Mite à Mama dévorait joyeusement tous les insectes alentours, à tel point que les fleurs de brumes s’étendaient maintenant sur le moindre bout de sédiment, le moindre morceau de quoi que ce soit en décomposition. Il y en avait partout. Assez en tous cas pour lancer un commerce juteux.

Mais plus les années passèrent, plus la Mite a Mama avait faim. Des insectes elle se goinfrait maintenant de nuisibles de la taille d’une souris. Puis d’un chat, puis d’un gros chien, et aujourd’hui d’un adulte.

Mama pense que sa mite à finalement atteind sa taille adulte, et comme dit frérot ; « c’est tant mieux car on prends presque autant de temps à trouver des cadavres pour la mite que pour vendre les fleurs de brumes ! ».