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Aen Chap 1 - Version imprimable

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Aen Chap 1 - Guest - 18-04-2007


Voici le premier chapitre d'un histoire qui porte sur la bretonnie. J'attends de voir si elle plait pour continuer alors si vous avez des critiques vous êtes plus que bienvenus ;)


La seconde lune baignait déjà les toits de la forteresse de l’Anguille lorsqu’Aen sortit du bâtiment, aux jeunes chevaliers errants. Silencieusement, il gagna le terrain d’entraînement situé à proximité de la lice. Là, il se mit à s’exercer en frappant rapidement un poteau au milieu de l’espace. Il mania sa lame si rapidement que les claquements sporadiques de son épée sur le bois se muèrent en un bruit presque continu. Frapper encore et encore, volant d’une botte à une autre, enchaînant les coups de masse et d’estoc, le jeune chevalier ne s’arrêta que lorsque le malheureux poteau fut réduit à l’état copeaux jonchant le terrain.


Transpirant sous sa lourde armure, Aen décida de rentrer prendre un peu de repos avant les prières du matin. Tout en marchant, le chevalier se remémora les faits qui l’avait conduit dans ce château:


Tout petit, il rêvait déjà d’être chevalier et bien que sa famille fasse partie de la petite noblesse, elle avait tout fait pour l’aider. Allant même jusqu’à vendre une partie des champs de son domaine. Peu après, le père de l’apprenti chevalier l’avait placé sous la protection de maître Adélard, un vieux chevalier qui se tenait loin de la guerre. Dans la forteresse de son maître, Aen apprit tout de la chevalerie et bien que son origine modeste son équipement de facture moyenne, lui valurent de nombreuses moqueries de la part des autres apprentis de son maître, les plaisanteries douteuses cessèrent bientôt pour faire place à un profond respect pour ce jeune homme s’entraînant jour et nuit et croyant en la Dame jusqu’à la limite du fanatisme.


Bientôt, il reçu ses éperons de chevalier et en récompense de ses talents, Adélard lui fournit aussi une jument baie que le jeune chevalier baptisa « Vaillante ». En raison des progrès exceptionnels de ses disciples, le vieux maître les recommanda au seigneur Balderin qui poursuivrait leurs entraînements jusqu’à ce qu’il soient promus chevaliers du royaume. Rapidement, ils voyagèrent jusqu’à la résidence de leurs nouveau maître, le château de l’Anguille.


Une fois le chevalier arrivé en vue de son dortoir il remarqua que contrairement au silence qui y régnait lorsqu’il était parti, le dortoir était devenu un lieu bruyant et tapageur où se déroulait une véritable orgie. Un de ses compagnons, Galard vint l’accueillir une chope remplie de bière à la main.


-Eh Aen ! Vu que tu as fini de massacrer un innocent poteau enlève ton armure et vient donc faire la fête avec nous !


Galard, visiblement éméché, dégrisa vite sous le regard assassin et chargé de reproches que lui lança le chevalier en s’éloignant. En haussant les épaules, le soudard referma la porte et retourna à la beuverie qui se déroulait à l’intérieur.


Pendant ce temps, Aen se dirigea vers la cour du château où il espérait trouver un peu de quiétude. Tout en marchant, il lança des imprécations à propos du peu de droiture de ses compagnons et de la sobriété relative qu’ils devraient garder avant les entraînements.


Le fil de ses pensées fut interrompu par la vue des cuisines ouvertes. Le jeune chevalier alla se servir discrètement une chope de vin chaud en se disant qu’après tout il n’allait pas se priver d’un petit peu de vin alors que se compagnons étaient à deux doigts du coma éthylique ! Aen décida de savourer l’instant en grimpant sur les remparts pour attendre le lever du soleil.


Le guerrier s’installa sur un créneau et profita de la sérénité de l’instant.


Ce fut aussi ce silence qui lui indiqua que quelque chose n’allait pas. Arrivé au château depuis à peu près deux semaines, Aen s’était habitué lors de ses escapades nocturnes au bruit des gardes sur les remparts, à leurs conversations et aux chiens qu’ils avaient avec eux. Mais là, il n’y avait aucun bruit. Inquiet, il posa sa chope et se dirigea, l’épée au poing vers la caserne des gardes. A la vue des deux cadavres ensanglantés des milices qui gardaient la porte, le chevalier sut que ses soupçons étaient fondés. D’un grand coup de pied, il défonça la porte de la caserne et se précipita à la rencontre du premier ennemi venu. Mais à sa grande surprise, il trouva la pièce vide et plongée dans la pénombre.


Le chevalier se mit en quête d’un briquet à amadou mais fut interrompu par un sifflement discret derrière lui. Aen fit volte-face juste à temps pour dévier une redoutable étoile de lancer couverte d’un venin noir. Il y eut alors un petit rire, discret, malsain et ne pouvant venir que d’un individu complètement dérangé.


-Tu t’en sors bien pour un individu de ta sorte ! Je me suis juste ennuyé à tuer ces gardes incapables alors que toi j’ai l’impression que tu seras beaucoup plus divertissant s’exclama l’assassin en sortant de l’ombre.


Aen grogna, peu sensible au compliment, et dévisagea son adversaire. Il était entièrement vêtu de noir à part quelques rares espaces violets. Ses cheveux noirs et ses oreilles effilées le désignait comme étant de race elfique. Une hideuse marque rouge s’étalait sur son front d’une pâleur laiteuse. Mais le plus effrayant chez ce redoutable ennemi étaient ses yeux qui se résumaient à deux grands puits violets au fond desquels brillait une lueur meurtrière.


Le combat s’engagea et Aen fut stupéfié par la rapidité de son adversaire. Les deux poignards de l’elfe semblaient voler dans sa main à une telle vitesse qu’ils en devenaient presque impossible à suivre. Après un moment de stupéfaction, le jeune chevalier contre-attaqua mettant toute sa force dans des attaques qui pourfendraient sans peine son frêle adversaire si ce dernier ne les esquivaient d’un simple revers. Contrairement à son adversaire, Aen se fatiguait vite, c’était son premier combat et il se rendit rapidement compte qu’il n’avait rien à voir avec ses longs entraînements. Le chevalier tenta un grand coup d’estoc pour clore rapidement le combat mais sa lame fut écartée sans peine par l’assassin et Aen se rendit compte avec horreur que plus rien ne le protégeait des terribles poignards de son adversaire. Ce dernier s’abattit comme un tourbillon de mort sur l’infortuné bretonnien. Heureusement pour lui, son armure arrêta la majeure partie de cette débauche de coups mais une frappe particulièrement vicieuse réussit à percer le maillage et entailla la peau. Avec un hurlement de douleur, Aen se précipita sur son adversaire qui avait préalablement reculé. Ce dernier ne résista pas à l’envie d’asticoter le jeune chevalier:


-On ne m’avait pas dit que la noblesse bretonnienne était tombée dans une telle décrépitude ! Il prit un air navré et poursuivi:


-Je dois m’être trompé à propos de toi, même des gobelins m’ont parus plus divertissant à exterminer. Enragé par cette insulte, le jeune guerrier se précipita sur l’assassin en envoyant une volée de coups meurtriers que l’assassin para aisément.


-Pourquoi la Dame n’apparaît aux chevaliers en détresse que dans les histoires marmonna Aen en deviant in extremis un estoc pointé sur sa poitrine.


Tout en essayant de rester en vie, le chevalier tenta d’analyser froidement la situation:


Un des meilleurs guerriers du monde était entrain de s’amuser avec lui et bien que cela lui coûta un grand effort de l’admettre, l’assassin avait largement le dessus.


Ce dernier semblait se lasser au vu des coups de plus en plus violents qu’il lui portait.


C’est alors qu’une idée lui traversa l’esprit. Une idée dangereuse mais qui pouvait fonctionner. Aen laissa volontairement une garde négligente qui ne protégeait que sa tête. L’elfe eut un rictus mauvais et lança un estoc parfait sur le ventre du chevalier. Au dernier moment, ce dernier s’écarta d’un pas laissant l’assassin frapper dans le vide et sans aucune protection. Profitant de cette erreur, il lui plongea sa longue épée à travers le dos. L’assassin poussa un cri terrible et regarda le chevalier avec un regard chargé de haine puis, il s’écroula par terre et ne bougea plus.


Aen récupéra rapidement son épée, essuya le sang sur le cadavre du vaincu et sortit rapidement du poste de garde. Dehors, les premiers habitants du château accourraient, réveillé par la bataille.


Le premier qui arriva fut le seigneur Balderin. Le noble personnage regarda tristement les deux gardes gisants sur le sol puis entra dans le poste.


Il en ressortit un petit moment après avec un papier à la main. Sire Balderin le présenta à Aen et lui dit:


-Regarde ce papier. Je l'ai trouvé sur l’assassin. Arrive tu à le lire ?


Aen prit délicatement le papier entre ses mains et constata qu’il était écrit dans une écriture qui lui était parfaitement inconnue. Le jeune chevalier eut un geste de dénégation et rendit le papier à sire Balderin. Le maître de céans continua:


-Moi je le puis, ce message mande l’assassin Erfyr du temple de Khaine de me tuer, le message contient également une description précise des couloirs du château, des tours de garde et de l’endroit où je dors.


Il fit alors une brève pause puis regarda Aen droit dans les yeux.


-Jeune chevalier, maître Adélard m’avais vanté tes mérites mais je suis réellement impressionné par ta bravoure, sans toi je serais mort à l’heure qu’il est.


-Merci souffla Aen d’une voix rendue presque inaudible par l’émotion.


Puis, une immense douleur irradia de son bras blessé jusqu’au reste du corps; les poignards de ce maudit assassin devaient être enduit de poison! La souffrance sembla se calmer puis revint encore augmentée, c’était comme si des milliers de lames le transperçaient de part en part.


Submergés par le mal, il tomba à genoux et tout devint noir.


Chapitre 2: Cauchemard


Aen chutait désormais au milieu des ténèbres, tournoyant au milieu de la mort, la fièvre et la douleur. Soudain, le voile de noirceurs se déchira et le chevalier sentit à nouveau un sol sous ses pieds. Devant lui s’étendait à perte de vue un grand désert rouge et caillouteux dont la monotonie n’était rompue que par de long pitons s’étendant à perte de vue. Ca et là quelques arbres s’élevaient en dehors de cette terre aride et inhospitalière. Aen ne comprenait pas comment ils faisaient pour survivre. Ce ne fut que lorsque qu’il arriva à quelques mètres des arbres qu’il comprit. Et aussitôt après il se dit qu’il aurait préféré ne pas savoir; les arbres étaient constitués d’ossements qui plongeaient leurs « racines » jusque dans les tréfonds de la terre. L’arbre semblait être constitué de toutes sortes d’ossements. Ici il reconnaissait un crâne d’orque, là il aperçu un tibia si fin qu’il ne douta pas instant qu’il n’eut appartenu à un elfe et enfin en l’os qui formait la base de l’arbre il reconnut un gigantesque humérus qui par sa taille et son épaisseur devait appartenir à un géant.


Mais, bien qu’Aen fut horrifié un événement singulier acheva de le plonger dans la terreur. Avec un sursaut, La construction en os se mit à se tordre en tout sens comme s’il avait détecté le chevalier. Puis il s’immobilisa et Aen remarqua que les pseudos branches commençaient à produire de petites boules blanches qui se mirent à grandir à une vitesse phénoménale. De petite chose blanche, la boule devint une grosse balle, des trous se creusèrent, de la chair se créa et pour finir Aen eut en face de lui des têtes pendantes au bout de cette chose. Horrifié, il se pinça se frappa de son poing en murmurant:


-Ce n’est pas possible, ce ne peut être qu’un cauchemar ! Mais rien n’y fit. Désespéré, il tourna le dos à l’hideux végétal et réfléchit de la manière dont il allait sortir de cet endroit. Mais bientôt, il fut forcé d’abandonner sa réflexion au bruit de nombreuses choses qui tombent sur le sol. Avec terreur, il vit les têtes de l’arbre tomber sur le sol et exploser dans une gerbe de sang. Et ce n’était que le début! Des esquilles des crânes sortirent de petites créatures orangées qui entourèrent rapidement Aen en sifflant.


Encerclé par la marée orange, Aen chercha son épée mais ne trouva que le fourreau, vide. Repoussant les créatures à grands coups de pieds, il en détruit un nombre considérable. Mais, fut rapidement submergé par l’hideuse masse. Et alors que la marée de crocs de crocs commençait à l’étouffer, une lueur blanche irradia autour du chevalier. Et une apparition se manifesta à coté d’Aen. Tout en elle n’était que perfection. Vêtue d’une longue robe blanche cette mystérieuse femme qu’Aen jugea immédiatement comme étant La Dame fit reculer les créatures avant de les faire disparaître d’un regard où brûlait une haine inextinguible envers tout les impurs. Elle se tourna vers Aen, son regard s’adoucit et elle lui parla d’une voix calme, claire et musicale comme l’eau d’une source de montagne:


-Aen, fils de Tendred, je t’ai sauvé aujourd’hui mais je sens venir de grands malheurs en Bretonnie. Quoi qu’Il arrive, où que tu sois, ne perds jamais courage s’il y a bien une chose que les force des Ténêbres ne peuvent vaincre c’est bien la foi du Pieux. Soudainement, elle leva les mains, lui adressa un dernier sourire triste et projeta une grande boule blanche sur son bras blessé. Aen hurla en sentant la douleur revenir aussi soudainement qu’elle l’avait quitté. Puis les créatures et l’étrange lieu s’effacèrent les une après les autres. Et il n’y eut plus rien que le noir.




Aen Chap 1 - Gandahar - 18-04-2007


Tu peux continuer ton récit. Pour l'instant c'est pas mal, mais j'espère juste qu'il sera relativement long, avec une intrigue réfléchie et poussée et une chute qu'on ne puisse pas deviner à l'avance.


Bref, tu as du boulot ^^




Aen Chap 1 - Guest - 18-04-2007

Gandahar: Merci pour ta réponse. Normalement, tu ne devrais pas être déçu, l'histoire que j'ai prévue est assez longue par contre si tu as des critiques ou des endroits que je devrais changer, je les prendrai en compte avec plaisir.



Aen Chap 1 - Ores - 05-05-2007


Citation :l'histoire que j'ai prévue est assez longue

Tu peux pas nous en poster un morceaux parceque j'ai bien aimé l'histoire mais on attend la suite.


Le seul bémol que j'aurais à dire est concernant la mort de l'assassin. Un mec qui a tué des dizaines de gens, surement abattu des dizaines de soldats vétérans et qui devait tuer le seigneur du château (qui lui non plus ne doit pas être facile) se fait avoir par ça ?!?!? :

Citation :Au dernier moment, ce dernier s’écarta d’un pas laissant l’assassin frapper dans le vide et sans aucune protection. Profitant de cette erreur, il lui plongea sa longue épée à travers le dos

C'est pas un peu gros ? Il aurait put, je sais pas moi, un garde serait entré, créant une diversion et distrayant l'assassin pendant trois secondes, ou autre chose ? Mais le reste du texte est bien écrit et c'est la seule remarque que j'aurai à faire.




Aen Chap 1 - KDJE - 06-05-2007


Mouais, c'est bien parce que le polygénisme, ça complique la vision fluffique des jeunes générations.


Et que ça m'agace toujours de ne pas disposer de la suite.




Citation :Voici le premier chapitre d'un histoire qui porte sur la bretonnie. J'attends de voir si elle plait pour continuer alors si vous avez des critiques vous êtes plus que bienvenus ;)
Si elle plait ?
Porter en nom un met si délicieux et s'abattre en sottise dès la première phrase. Tu continues si elle plait ?


Pour plaire, LCQ, il faut qu'elle réponde aux attentes. Or, tu te moques de ces dernières, tu n'écris pas en fonction des attentes mais bien de l'histoire que tu veux raconter. Mes attentes auraient été un poignard sortant d'un coq surprenamment enterré, une servante cachant un nain imberbe sous sa jupe et serrant les fesses de peur d'en perdre la hachette, voire, au minimum, un assassin elfe... blanc. Tu ne réponds pas à mes attentes : ne continues pas.


Même malgré tout ce beau vocabulaire, une certaine rythmique, hélas grevées ici et là par des manquements pré-calcifiés au dictionnaire, à la grammaire et aux formes minimalistes que notre époque libertaire exige encore dans la rédaction des dialogues.


Une fois calcifiés, c'est trop tard, c'est à vie.


Salons donc, puisque tu le demandes, avec l'eau de nos larmes jamais désespérées. De l'insipide au sapide, il y a parfois si peu (et si ça te parait pénible, imagines donc pour ceux qui te lisent) :




Citation :La seconde lune baignait déjà les toits de la forteresse de l’Anguille lorsqu’Aen sortit du bâtiment qui avait été assigné aux jeunes chevaliers errants.
Supprime "qui avait été" et relis tout haut (pour voir).


Citation :les claquements sporadiques de son épée sur le bois se mutèrent en un bruit presque continu.
mutèrent ou muèrent ?


Citation :Un de ses compagnons, Galard vint l’accueillir une chope remplie de bière à la main.
-Eh Aen ! Vu que tu as fini de massacrer un innocent poteau enlève ton armure et vient donc faire la fête avec nous !
Tu écris via un traitement de texte à commande vocale ? La virgule s'utilise comme une parenthèse pour le lecteur, non comme la respiration de ce(lui) qui écrit comme il parle.


Citation :Il y eut alors un petit rire, discret, malsain et ne pouvant venir que d’un individu complètement dérangé.
Dérangé ? Pourquoi dérangé ?
Parce que l'assassin elfe noir est un professionnel du meurtre ?


Un chevalier bretonnien l'est aussi.


La longue expérience d'Aen lui fait discerner les gars dérangés comme ça, juste d'après un ptit rire ? (si c'est le cas, peux-tu me confier ses coordonnées : on m'a livré récemment un diagnostic*, accompagné d'un enregistrement APN d'un ptit rire discret de Gandahar, et j'aimerais vérifier si c'est en relation avec ses commentaires céans).




Citation :Je me suis juste ennuyer
Je me suis juste vendre ?


Citation :Aen se fatiguait vite, c’était son premier combat et il se rendit rapidement compte qu’il n’avait rien à voir avec ses longs entraînements.
Paradoxe ?


Citation :son armure arrêta la majeur partie
l'annulaire partie ?


Citation :Un des meilleur guerrier
Il a tué tous les autres ?


Citation :Le noble personnage regarda les deux gardes
Regarda comment ? A quoi sert de qualifier de "noble" si ce qualificatif n'introduit rien ? Le noble personnage regarda poussivement les deux gardes ? Cyniquement ? Tristement ? Avec gourmandise ? Rapidement ? D'un oeil désinvolte ?...


Citation :-Regarde ce papier. Je les trouvé sur l’assassin. Arrive tu à le lire ?
"Je l'ai trouvé" ou "je les ai trouvé" : un papier ou plusieurs ?? (Un 's' à "arrive" ou pas ?).


Citation :Le maître des céans continua:
Quenelles est à côté de la mer ? Tu as dans ce cas oublié le 'o' d'océans (sinon c'est "de céans", ie d'ici (mnémotechnique : d'Issy-les-moulineaux. On dit jamais "maître des Issy-les-Moulineaux", même s'il y a un 's' à céans et des chefs de gare que ça fait rire).
Voilà pour l'accessoire.


Passons maintenant à l'essentiel : elle est roulée comment, la fille de Balderin ? Parce que, vu que dans une histoire à suspense contée comme celle-ci, le lecteur s'identifie rapidement au héros, j'aimerais assez que la jouvencelle réponde à mes attentes, surtout si la suite s'avère longue comme tu le promets et le gonocoque plus conséquent et rapide que l'assassin (mais c'est d'époque, la Bretonnie c'est aussi ça).


*Je cite "Sous-entente littéraire, malgré la rareté regrettable de celle-ci, de satyriasis stoechiométrique, restreinte cependant aux effilements auriculaires surmontant les gimpes" ; ce qui est quand même alarmant, quasi polygéniste (fluffiquement parlant).




Aen Chap 1 - Guest - 11-05-2007


KDJE: Merci pour tes commentaires, par rapport à ton histoire si je vais continuer ou pas dis toi bien que j'ai déjà posté ça sur 1 forum sans une réponse. Il m'a fallu trois jours pour écrire le texte. Donc si personne le lit, pourquoi je me ferai ch*** à l'écrire si tout le monde s'en fout.


<i>Si elle plait ?</i>


Porter en nom un met si délicieux et s'abattre en sottise dès la première phrase. Tu continues si elle plait ?


Pour plaire, LCQ, il faut qu'elle réponde aux attentes. Or, tu te moques de ces dernières, tu n'écris pas en fonction des attentes mais bien de l'histoire que tu veux raconter. Mes attentes auraient été un poignard sortant d'un coq surprenamment enterré, une servante cachant un nain imberbe sous sa jupe et serrant les fesses de peur d'en perdre la hachette, voire, au minimum, un assassin elfe... blanc. Tu ne réponds pas à mes attentes : ne continues pas.


Même malgré tout ce beau vocabulaire, une certaine rythmique, hélas grevées ici et là par des manquements pré-calcifiés au dictionnaire, à la grammaire et aux formes minimalistes que notre époque libertaire exige encore dans la rédaction des dialogues.


Une fois calcifiés, c'est trop tard, c'est à vie.


Salons donc, puisque tu le demandes, avec l'eau de nos larmes jamais désespérées. De l'insipide au sapide, il y a parfois si peu (et si ça te parait pénible, imagines donc pour ceux qui te lisent) :


Traduction?? J'ai 14 ans tout mouillé alors les phrases compliquées je comprends pas trop (j'hésite à prendre ce texte comme une critique où une insulte) Pour l'assassin, il y a une différence entre un psychopathe lâché en pleine nature et un valeureux chevalier.




Aen Chap 1 - francks - 11-05-2007


oooohhhh la la !!!!


on est ici pour l'histoire. C'est pas parce qu'un type se ramène et te dit (dans sa langue qui je te l'accorde est peu compréhensible par les autre ou certains) que tu doit arrêter ton histoire.


Elle plaît ou ne plaît pas.


Les gens qui n'aiment pas ne sont obligés de lire. Et les autres attendent toujours la suite (j'en fait parti)... ;)


dépeche toit vite... =)




Aen Chap 1 - Ores - 12-05-2007


Citation :(j'hésite à prendre ce texte comme une critique où une insulte)

Personnellement, j'ai compris qu'il te traitait de bouffon ne sachant pas écrire...Mais j'ai peut-être mal compris...




Citation :Pour l'assassin, il y a une différence entre un psychopathe lâché en pleine nature et un valeureux chevalier.

Ah bon ? Laquelle ? (les adjectifs les qualifiants mis à part)


Non sérieusement, furgil a raison :




Citation :C'est pas parce qu'un type se ramène et te dit (dans sa langue qui je te l'accorde est peu compréhensible par les autre ou certains) que tu doit arrêter ton histoire.

Pour l'instant, tu ne t'es pas trop fait démolir ton texte (quoique) mais dis-toi que l'histoire est lue et qu'il y a déjà deux personnes qui ont posté pour dire que cela leur plaisait et qu'ils attendaient la suite avec impatience.




Aen Chap 1 - Guest - 12-05-2007

Avez vous déja lu le chapitre 2, j'ai édité mon messagee et sauf s'il est mis en post-it je pense continuer comme ça. Ne vous impatientez pas trop, je vais essayer d'écrire un chapitre par semaine, mais j'ai pas mal de boulot pour l'école.



Aen Chap 1 - KDJE - 12-05-2007


Citation :KDJE: Merci pour tes commentaires, par rapport à ton histoire si je vais continuer ou pas dis toi bien que j'ai déjà posté ça sur 1 forum sans une réponse. Il m'a fallu trois jours pour écrire le texte. Donc si personne le lit, pourquoi je me ferai ch*** à l'écrire si tout le monde s'en fout.
Parce que ça ne marche pas comme ça.
Ecrire, et d'autant plus sur un forum où tu n'as pas de contraintes de résultats, est toujours un don. Tu donnes sans attendre de retour, tu donnes (autant) à 1 lecteur ou à 1000. Tu paies d'avance de ta personne sans savoir ce que va t'en ramener la Poste.


Si, à l'opposé, tu ne paies qu'après avoir reçu ta commande, tu ne donnes plus, tu investis pour recevoir : je me suis fait ch... à écrire ça pendant trois jours donc vous êtes obligés de me dire que c'est super sinon vous n'aurez jamais la suite, voilà en substance ce que tu dis. Dans ce cas, tu n'es pas dans la bonne rubrique : va écrire dans Petites annonces.


Tu n'es pas payé pour écrire. Nous ne sommes pas payés pour quémander la suite. Tu ne seras pas viré de Warmania parce que tu n'as pas assez de lecteurs, ni nous parce qu'on a pas su te retenir.


Cette liberté-là (pouvoir proposer sa prose à un lectorat potentiel de plusieurs centaines de gars) s'apprécie, jusque dans ses limites : tu peux ne pas avoir de réponse, mais tu auras pu écrire. En cela, l'équipe de Warmania (qui n'attend pas après Récits et poésies pour faire tourner son forum) te dit merci à l'avance : tu es donc sûr, en écrivant ici, d'avoir au moins une réponse même si elle ne s'affiche pas : merci du don.


De même, je n'attends ainsi pas de remerciements pour mes commentaires, même s'il est toujours aimable et bien éduqué de le faire ;)


Je donne de mon temps et de mon avis personnel, que tu n'en fasses rien ou quelque chose, dans deux jours ou dans deux ans, c'est égal. Quand on me donne, j'aime à donner en retour ; ça s'arrête là.




Citation :Traduction?? J'ai 14 ans tout mouillé alors les phrases compliquées je comprends pas trop (j'hésite à prendre ce texte comme une critique où une insulte)
Une insulte est beaucoup plus courte, elle consacre moins d'effort.
Une critique peut être positive ou négative, comme la sanction : tu peux être sanctionné d'un 20/20.


Ecrire sur un forum, c'est écrire au monde, même au micro-monde des wargamers. Dans celui-ci, il y a des gars qui, comme dans la presse, ne croient qu'à un vocabulaire réduit à l'essentiel, et d'autres qui trouvent moins insouciant d'utiliser un vocabulaire inhabituel. Ni les uns ni les autres ne détiennent la vérité, mais il y a objectivement plus à attendre de leur cohabitation que d'une normalisation dans un sens ou dans un autre.


Si la complexité des phrases vient du vocabulaire (ce qui m'étonne de toi vu celui que tu emploies) : nous sommes sur un forum, sur internet, il suffit de taper le mot compliqué sur Google et tu en as immédiatement traduction et explication. Faut jamais cracher sur ce qu'on peut apprendre en deux minutes et gratuitement, faut pas non plus se plaindre qu'on puisse/doive le faire.


J'ai bien pris deux minutes pour essayer de comprendre ce que tu voulais dire par :




Citation :Pour l'assassin, il y a une différence entre un psychopathe lâché en pleine nature et un valeureux chevalier.
Car il n'y en a pas dans le fluff de Warhammer.
Pour toi qui a 14 ans, il semble pardonnable qu'un assassin elfe noir est un méchant et un chevalier bretonnien un gentil. Ceux qui te lisent n'ont cependant pas tous 14 ans (ce que tu savais en postant ici).


Ecrire, c'est partager sa vision, jamais l'imposer. Ne te braques pas sur une erreur : reviens vers le fluff, extrais-en le socle commun (à ceux qui ont 14 ans, 12, 28...) et appliques lui ton propre apport (comme l'arbre à crânes du chap.2). Ton prochain texte s'en trouvera enrichi, et tu constateras bien vite que plus on met de travail dans ce que l'on donne, plus on a la surprise de recevoir en retour (du moins si on ne met pas un 'd' à cauchemar et qu'on relit son dernier paragraphe ;)


Tous tes chapitres vont finir par un fondu noir ??