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Le Capitaine Gruben Vanther - Guest - 18-02-2004 Voilà la petite histoire de mon Capitaine. C'est mon premier récit Battle, alors ne soyez pas trop sévère. Le Capitaine Gruben Vanther. Le Capitaine Vanther Gruben est un homme grand et massif, ses cheveux sont bruns, longs et épais. Sur le champ de bataille, il est équipé d’une armure forgée de la main des nains et porte aussi un heaume pour se protéger le visage. Il possède une grande épée que lui a cédé son prédécesseur, le capitaine William Nutingam. Il mène les troupes de Talabheim au combat la plupart du temps sur un destrier mais il lui arrive aussi de se joindre aux troupes les plus farouches afin de leur insuffler le courage nécessaire pour se battre contre les ennemis impies de l’Empire. Ses hommes le respectent et partent confiant livrer bataille à ses cotés. Mais avant de devenir un Capitaine de renom, Vanther Gruben est passé par bien des épreuves et des mésaventures qui ont forgés son courage et sa sagacité. A l’âge de 16 ans, il fut désigné pour devenir simple écuyer. Son devoir était de servir le Sergent William Nutingam. De porter ses armes à laver ses culottes, Gruben faisait tout et n’importe quoi dans l’espoir de bien servir son maître. C’est alors qu’un jour, alors qu’il était sagement attablé dans une auberge de Tablabheim en compagnie de son maître qu’un homme s’avança pour leur parler. L’homme était petit et frêle, il portait de petites lunettes rondes sur le nez. Il se présenta sous le nom de Ridem Gouéver. « Bonjour mon seigneur, dit l’homme en s’adressant à William Nutingam, ignorant totalement le simple écuyer qu’était Gruben. Je suis scientifique, et j’ai ouie dire que vous aviez maintes fois prouvé votre grade de Sergent au combat. -C’est exact homme de science, qu’est ce qui t’amène à me parler ?, rétorqua le fier Sergent. » L’homme s’invita à la table et demanda au tavernier de lui amener une chope de cervoise bien fraîche. Gruben avait les yeux ronds et les oreilles bien ouvertes. Il lorgnait vers leur nouvel hôte et était impatient de savoir ce que l’homme avait à dire à son maître. Gruben était une personne qui s’intéressait à tout et plus particulièrement aux histoires qui étaient rapportées par les groupes de guerriers. Il n’avait pas souvent l’opportunité d’en apprendre plus, surtout de ce qui était au-delà des frontières de l’Empire. Assurément, l’homme de science avait une histoire à révéler sinon pourquoi viendrait-il voir un Sergent tel que William Nutingam ? « -Eh bien, je voudrais me lancer sur une étude des plus intéressante, commença l’homme. Il s’agit d’étudier la faune et la flore du Pays des Trolls. Malheureusement n’étant pas moi-même un manieur exceptionnel de l’épée, je pensais trouver en votre personne, un allier sur pour m’escorter plus au nord de Kislev... -Le Pays des Trolls est bien dangereux, qu’est ce qui me pousserait à t’accompagner sur ces toundras ?, coupa William. » L’homme aux lunettes sortit une petite bouse en soie finement ouvragée et répandit un joli tas de pièces sur la table. « -Il y a là 200 pistoles, et il y en aura autant au retour. Gruben lorgnait les pistoles jusqu’à ce qu’il tourne le regard vers son maître. William prit une pistole et la serra fort entre ses dents. -Hum…Cela à l’air d’être intéressant. Il prit la bourse et y rangea les pièces avant de serrer la cordelette. C’est d’accord homme de science, nous t’accompagnerons, moi, mon fidèle écuyer et quelques hommes enclins à manier l’épée. » L’affaire avait vite été conclue entre les deux hommes. Il avait été convenu que William regroupe ses hommes devant l’église dans la matinée du lendemain. Là, attendrait Ridem Gouéver avec un dessinateur qui pourrait lui faire des esquisses sur les bêtes observée. Gruben ne ferma pas l’œil de la nuit, il était bien trop exité à l’idée de partir au-delà des murs de Talabheim, surtout sur des terres dangereuses. Le matin se leva sur les contrées Impériales. Le soleil esquissait un sourire qui venait réchauffer la terre humide de l’aurore. Gruben était déjà debout, son excitation ne l’avait pas quittée. Il s’affairait à la tache qui lui incombait. Il faisait des va et viens dans l’écurie sellant les chevaux de son maître et de ses hommes d’armes que William était allé réquisitionner le matin même. La plupart d’entres eux avaient acceptés. C’était de braves guerriers. La majorité servait dans l’armée de l’Empire en tant que miliciens, certains étaient lanciers ou arquebusiers confirmés. Gruben avait enfin finit les préparatif, il ne fallait plus attendre que son maître et les hommes d’armes. Il décida de fumer un peu de tabac en attendant. Assis sur une murette près de l’écurie il crachait des volutes de fumée quant William Nutingam arriva enfin. Surpris il sauta de la murette et jeta sa cigarette sur le coté bien loin de la paille. « -Gruben, ne perdons pas une minute de plus, amène les chevaux dans la cours. Celui-ci obtempéra illico et tira une à une les bêtes par les rennes jusqu’à la cours. Les hommes était parés et équipés pour l’occasion. Ridem attendait tranquillement discutaillant avec un homme coiffé d’un chapeau près de l’église quant la troupe arriva. Suivirent de courtes présentations et les hommes une fois tous réunies quittèrent Talabheim s’engouffrant dans les forêt Impériales. Une route les mena jusqu’à Kislev ou ils quittèrent le chemin tracé pour progresser dans les champs. Au bout de plusieurs longues heures de chevauchée, ils parvinrent jusqu’à la frontière du Pays des Trolls. Les plaines, les bosquets laissèrent place à la toundra, il faisait de plus en plus froid et bientôt des flocons de neige apparurent. Une demi-heure plus tard les hommes marchait en file indiène suivant les pas du cheval de William Nutingam. Gruben était absorbé à la nature et observait chaque recoin d’un œil attentif. Ils parvinrent enfin près d’un rare cours d’eau. Dans le lointain, ils distinguèrent deux masses près de la rivière. Ridem était aux aguets, il avait saisit une feuille de parchemins et accompagné de trois hommes et du dessinateur, ils s’avancèrent silencieusement se confondant avec la nature. Ridem prenait des notes sur le comportement des Trolls d’eau tandis que le dessinateur traçait quelques esquisse des créatures. Plusieurs haltes suivirent la première et par chance, Ridem récoltait de plus en plus d’information sur la faune et la flore. La nuit une fois tombée, les hommes de William s’empressèrent de hisser un campement. La nuit se passa sans encombres mais une fois le matin venu, alors que Gruben était allé chercher de l’eau dans le Lynsk, il découvrit avec horreur que derrière la rive des chevaucheurs de sanglier gobelins et hobogoblins semblait avoir repéré leur piste. Zigzaguant entre les arbres pour ne pas se faire voir il rejoignit avec hâte le campement ou dormait encore les hommes. Dans l’empressement, il réveilla son maître et lui fit part de ce qu’il venait de voir un quart d’heure plus tôt de l’autre coté de la rive du Lynsk. William se leva prestement et réveilla un à un ses hommes. Pendant que ses hommes se préparaient, il observait le lointain. A l’horizon, il pu distinguer une marrée verte qui allait déferler sur leurs positions incessamment sous peu. Ses hommes étaient fianlement prêts à accueillir comme il se doit les créatures affamées. William avait donné une épée à son écuyer et lui avait prodiguer les premiers conseils pour qu’il fasse front aux peaux vertes. Gruben savait se servir d’une épée, son maître lui avait appris mais jamais il n’avait été au combat. Ce serait pour lui la toute première fois. Bientôt la vague de chevaucheurs de sangliers s’abattit sur les forces de William. Elle percuta les hommes semant le trouble dans leur ligne. Un corps à corps sanglant s’engagea. Les hurlements des hommes et des créatures se mêlaient. Gruben était aux aguets, il combattait avec hargne et courage près de son maître. William pourfendait de nombreux peaux vertes de son épée fétiche les jetant un à un à terre avant de les achever. Un sang nouveau coulait sur sa lame. Finalement, les hommes réussirent à repousser les créatures impies mais non sans mal. Nombre des leur étaient tombés au combat. Gruben se tenait debout le bras gauche ensanglanté. Il serrait son épée de toutes ces forces tandis que son regard se perdait sur les cadavres. Il réalisa que la guerre n’était pas un jeu et c’est ce jour là qu’il compris que les terres qu’il aimait tant avait besoin d’hommes pour défendre la patrie. Son maître, impressionné devant la couardise de son écuyer, il le nomma quatre ans plus tard, lancier pour combattre dans les forces de Talabheim. Gruban grandit de nombreuses expérience aux cotés de son ancien maître se révéla de plus en plus un meneur d’homme. Il combattait avec le courage d’un seigneur et la férocité d’un lion. Jusqu’à l’age de vingt huit ans, il combattit par mis les lanciers du régiment des « Cœur de Lion » de Talabheim. William Nutingam était entre temps devenue Capitaine. Il menait au combat les troupes de l’Empire avec tout le savoir et l’expérience dont il pouvait être capable. Mais lors d’une bataille contre les forces du Chaos, il perdit la vie. A l’orée de la mort, sur le champ de bataille fumant, Gruben tenait son ancien maître, son Capitaine, son ami entre les bras. Dans un dernier souffle, William Nutingam lui légua son épée qui avait vu de nombreuses victoires. Quelques temps plus tard, les talents reconnus de Gruben lui permirent de devenir Sergent, puis des années plus tard, Capitaine de Talabheim. Aujourd’hui, Gruben Vanther, respecté de tous, mène les troupes de l’Empire au combat défiant chacun de ses adversaires au nom du regretté William Nutingam. Il brandi son épée et fait s’abattre la parole de l’Empereur sur les hérétiques et ennemis impies de son royaume natal, Talabheim. Le Capitaine Gruben Vanther - Patatovitch - 18-02-2004 Pas ça s'ameliore. Sinon : un scientifique, ça n'existe pas à Warhammer : c'est un érudit, un inventeur, etc. Je suis pas sûr ques les sergents d'armes est des écuyers... Les sergents est plutôt des hommes de troupes. Citation :Son maître, impressionné devant la couardise de son écuyercouardise !! bon, ça petille pas d'originalité mais enfin, ça va. Patatovitch Le Capitaine Gruben Vanther - Guest - 19-02-2004 Citation :Son maître, impressionné devant la couardise de son écuyerArf, je pensais jusqu'à lors que ça voulait dire le contraire de ce que ça signifie vraiment. Citation :Sinon : un scientifique, ça n'existe pas à Warhammer : c'est un érudit, un inventeur, etc.Un scientifique reste un scientifique, c'est un mot qui existe depuis le début pour désigner quelqu'un qui fait des recherches sur différents sujet. Ca existe bel et bien à Warhammer étant donné que j'ai lu un texte dans le WD ou on désignait un homme comme scientifique, celà dit, un érudit collerait plus et contribuerait à l'ambiance, là je suis d'accord avec toi. Le Capitaine Gruben Vanther - Guest - 28-02-2004 Est ce que je peux mettre ton récits sur mon site? Tien je te donne ladresse de mon site: <a href="http://monsite.wanadoo.fr/antre-du-demon">L'antre du démon</A> Le Capitaine Gruben Vanther - Guest - 28-02-2004 jme suis trompé tien la cé le bon <a href="http://monsite.wanadoo.fr/antre-du-demon"> jen suis presque sur</A< |