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Rebellion Sur La Planete Toconou - barbu - 16-10-2003


Je me lance dans le fluff de mes GI parce que j'en ai un peu ras le bol de jouer des mecs decerebrés pret a se faire tuer pour un truc qu'il ne comprenent pas au nom d'un mec fermé au chiotte depuis des milier d'année (bon ok c'est des chiottes en or mais quand meme) Voila je suis pour la liberation de l'homme de l'alienation d'un regime réactionnaire, xenophobe, fasciste et j'en passe.

Donc c'est pour ca qu'il ya eu une petite rebelion.

Ce qui va suivre et le premier chapitre de mon recit.

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-"Mais bouge toi le cul bordel, on va vraiment finir par être en retard avec tes conneries Aaron".

-"Attend si ça va pas tu peux te la porter la radio, moi j'ai rien demandé!"

- "Vos gueules, vous feriez mieux de marcher en silence sinon on va finir par ce faire repérer et vraiment rater la prochaine borne".dit le Capitaine, rajoutant qu'ils n'en avaient plus pour longtemps.

Après cette remontrance le silence repris ses droits dans le peloton et plus personne n'osa parler.

Le Capitaine Letevain savait qu'il ne leur restait plus beaucoup de chemin avant de rejoindre la deuxième borne qui jalonnait leur parcours jusqu'au point de ralliement. Mais il savait aussi que tant qu'ils n'y étaient pas il pouvait toujours arriver quelque chose. D'autant plus que dans cette zone les patrouilles des loyalistes étaient devenues monnaie courante depuis l'arrivée des renfort de Calavi IV.

Pourtant le système mis en place par les ingénieurs ayant rejoint la rébellion avait grandement favorisé la sécurité de tous les réseaux locaux. Ils avaient réussi avec force calcul et grâce aux textes qu'ils avaient réussit à soustraire aux archives planétaires, a modéliser les variations magnétiques de la planète et donc la position exact des pôles a un instant T. Cette position ne restant stable que pendant un laps de temps très court allant de quelques minutes à plusieurs heures contrairement à Terra où ces variations existent mais n'ont lieu que tout les deux ou trois million d'années.

Grâce à ce système il suffit d'une simple boussole pour se déplacer discrètement sans possibilité d'être suivit à distance. Même si les services de renseignement ennemi tombent sur un itinéraire, lors de l'attaque d'une escouade par exemple, ils ne peuvent pas suivre la bonne direction et ne risque donc pas de trouver les caches d'armes et autres lieux de rendez-vous secrets.

Partant d'un point fixé à l'avance les troupes suivent une direction, le plus souvent le nord, ce qui ici ne veut, géographiquement parlant, pas dire grand chose puisqu'il change tout le temps, jusqu'à une borne. Lorsqu'elles atteignent ce point elles attendent un moment avant de repartir dans une autre direction, le pôle magnétique de la planète ayant changé entre temps. Il suffit pour que cela fonctionne de respecter les délais car une fois raté le créneau de départ les troupes sont contraintes d'attendre un autre créneau, ou, si elles partent quand même, suivent une mauvaise direction et finissent par se perdre.

Certes, au départ, la mise en place de ce système a entraîné la perte de plusieurs pelotons tombés sur des troupes loyalistes après s'être perdu mais depuis 6 mois cela était devenu beaucoup plus rare et les hommes avaient fini par s'y faire.

Aujourd'hui le ralliement du point de rendez vous était primordiale puisque c'était la revue des troupes par le Général mais vue l'importance de la chose les mesures de sécurité avaient été doublé. Par conséquent il avait fallu partir tôt et tous marchaient déjà depuis 5 bonnes heures et avait passé la dernière borne il y avait maintenant 20 minutes. Après avoir calculé cela dans sa tête le capitaine appela Cyriaque qui était chargé de gérer les déplacements et le timing pour être sur d'être dans les temps. Après confirmation il fit l'annonce au reste des troupes:

-"Bon on est encore largement dans les temps alors on peut faire une pause et que quelqu'un relais Aaron pour la com."

Alors que tous commençaient à s'asseoir sur les troncs cassé et autres rochers alentours et à discuter le Capitain se redressa d'un bond et fit signe à tout le monde de se taire. En un instant plus aucuns bruit ne venaient troubler le calme paisible de la foret.

Et puis, d'un seul coup, ce fut la confirmation brutale de ce que redoutait le Capitaine par le bruit sourd que provoqua le premier tir de laser loyaliste sur le casque de Martins.

"A terre!, planquez vous!" Mais ce conseil était bien inutile car la vingtaine d'hommes qui constituaient la colonne s'était dors et déjà jeté comme une seule entité derrière le moindre couvert.

-"Putain, ça j'aurai pu le parier, c'est toujours pareil c'est quand c'est vraiment important qu'il nous arrive des trucs comme ça."

"Eh chef, qu'est ce qu'on fait maintenant on appel du renfort, doit y avoir la 108eme pas trop loin normalement"

"Non, trop risqué! on va bien réussir à se débrouiller tout seul. Combien ils sont? 30 au plus, ça devrait être jouable. On est chez nous quand même."

Quand il entendit ça à travers le bruit des tirs de laser passant au dessus de son casque, Aaron rajouta dans sa barbe pour pas se faire entendre du capitaine que ça valait bien le coup qu'il se "fasse chiez" a porter cette radio de 20kg si on ne s'en servait jamais ce qui fit sourire les autres autour de lui. Mais tous durent se rendre rapidement à l'évidence que la situation n'avait rien de comique.

Alors que les deux camps, de part et d'autre du chemin qui se faufilait à travers le bois, continuaient à se tirer abondamment dessus, le Capitaine avec l'aide des deux sergents présents, mis en place une ébauche de plan. Il était impératif de se dégager d'ici le plus vite possible sinon ils allaient rater l'heure maximum de départ de l'autre borne.

Il pris un morceau de papier qui traînait dans sa poche et commença à y tracer une suite de traits et de croix selon la méthode qu'il avait appris de son entraîneur de Rude-Ball à l'institut des cadre d'Oxbridge. Pour lui c'était de loin le plus simple pour expliquer ses plans d'action.

Dans le cas présent il fallait plutôt parler de plan de fuite que d'un plan de combat mais il fallait assurer les priorités. Il avait confié à quatre de ses hommes un fusil laser supplémentaire et un autre ce chargeait d'un lance missile.

Ceux ci étaient chargé de rejoindre le flanc des loyalistes en restant à bonne distance pour ne pas trop risquer et tirer le plus possible sans forcement chercher à causer de gros dommages le but étant surtout de faire croire à l'arrivé de renfort.

Pendant ce temps le reste des troupes devrait commencer le mouvement de contournement pour rejoindre la borne à temps.

C'était toute fois un plan risqué puisqu'il impliquait la perte de plusieurs armes et si jamais la manœuvre de contournement échouait ils se retrouveraient dans une position vraiment difficile.

Les 5 soldats désignés prirent donc leur armement supplémentaire ainsi que des chargeurs et profitèrent de la couverture des leurs pour partir. Après cinq minutes ceux qui étaient resté comprirent que le plan était lancé et les effets se firent alors immédiat, les tirs ennemis se reportèrent vers les 5 soldats qui, à défaut de faire des victimes, avaient attiré suffisamment l'attention pour permettre aux autres de se lancer dans une course éperdue.

-"Aller go!, derrière moi, trois par trois, ceux qui restent continu de tirer".

Tous suivirent donc le capitaine qui ouvrait le chemin. Les derniers hommes de la colonne durent subir de nombreux tirs et deux d'entre eux ne purent s'en tirer vivant fauché en pleine course par un tirs de fuseur meurtrier. Néanmoins la connaissance des lieux permis au reste du peloton de semer les loyalistes dont on entendait encore au loin les tirs.

Après avoir coupé pas la foret plus dense les hommes du capitaine arrivèrent au niveau de la borne signalé par un vestige de bâtiment en ruine. Se considérant un peu plus en sureté ils y reprirent leur souffle.

Les cinq hommes ayant fait diversion eurent plus de mal à se sortir du piège et seulement deux d'entre eux réussir à rejoindre le peloton après une course de plusieurs kilomètres à travers la foret. Il avait également laissé leur lance missile ce qui représentait une perte conséquente.

Avant de repartir pour s'éloigner définitivement de cette zone le capitaine pris quelques instants pour faire le bilan de la situation. Il avait perdu 8 hommes et pas mal d'armes mais ils pouvait dorénavant rejoindre la réunion la plus importante depuis le début de la rébellion et c'était sans aucuns doutes ce qui primait aujourd'hui.

.




Rebellion Sur La Planete Toconou - Patatovitch - 17-10-2003


Bonjour

Citation :Je me lance dans le fluff de mes GI
Tu sais quoi ? moi aussi je me suis lancé dans le fluff au moment de faire ma GI.

On est donc presque frère de lait.

Citation :parce que j'en ai un peu ras le bol de jouer des mecs decerebrés pret a se faire tuer pour un truc qu'il ne comprenent pas au nom d'un mec fermé au chiotte depuis des milier d'année (bon ok c'est des chiottes en or mais quand meme) Voila je suis pour la liberation de l'homme de l'alienation d'un regime réactionnaire, xenophobe, fasciste et j'en passe.
Il y a suffissement de bonne volonté dans ton propos pour créer une dictature encore plus sanguinaire que celle de l'Imperium. C'est beau et j'approuve.

Citation :Donc c'est pour ca qu'il ya eu une petite rebelion.
Des rebelles. bouh !

Le coup de la boussole n'est pas bête du tout. Par contre, les loyalistes ne sont pas idiots, ils vont finir par s'en rendre compte.

Sinon, c'est plutot bien écrit.

D'ailleurs, pour parler généralement, tes rebelles vont surement avoir besoin du aide quelconque à un moment donné. On ne peut pas lutter sans fin contre l'Imperium. Et où vont-ils trouver cette aide à ton avis ? Chez les renégats du Chaos par exemple. Celà pour dire que l'anti-impérial se transforme souvent en pro-Chaoteux... Le Chaos sait se vétir des plus beaux autours et des plus pures pensées...

Patatovitch




Rebellion Sur La Planete Toconou - barbu - 18-10-2003


Si vous voulez lire la suite passez les commentaires qui suivent ils ne sont pas primordiaux, ca commence 15lignes plus loin.

Bon j'ai pris note des commentaires de patatovitch (qui apparement n'apprecit pas trop mon voisin du dessus.

Je t'en remerci et j'ajoute juste que je cherche une solution pour isoler un peu mon monde du couroux de l'imperium qui ne soit pas une tempete warp parce que c'est un peu devenu le moyen de tout legitimer dans le fluff sans trop se prendre la tete. La je suis plutot partant pour un monde de la bordure de la galaxie mais faut que je fasse quelques recherches pour finaliser.

Alors j'ajoute la suite en esperant qu'au moins deux ou trois personnes me liront

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Après être passé au travers d'un étroit défilé le peloton du Capitaine Letevain déboucha sur ce qui ne devait être il y a de cela 24 heures qu'une plaine vide au milieu de la forêt, avec un étang vaguement circulaire sur la droite presque en bordure des arbres. Il y avait également, au centre de la plaine une vielle épave de véhicule de surveillance loyaliste que les organisateurs s'étaient bien gardé d'enlever, la symbolique étant trop belle.

Mais voilà, aujourd'hui cet endroit avait quelque chose de plus que d'habitude. C'était devenu, depuis les quelques heures qui nous séparaient de l'aube, le point de ralliement de la quasi totalité des troupes de libération de la région. Tous les pelotons dont le maintien en position n'était pas strictement nécessaire avaient été invité à rejoindre les lieux. Ceux ci avaient tous répondu à l'appel de leur chef, le Général Anton Akaeran.

Le peloton avait perdu du temps après leur escarmouche contre les loyalistes et, lorsqu'ils sortirent du défilé, ils ne purent que constater l'ampleur du rassemblement.

-"Putain j'pensais qu'on s'rait nombreux mais là j'suis sur le cul! Z'avez vu l'peuple."s'exclama Sabien, exprimant à sa manière ce que tous les autres pensaient.

-"Tu pourrais peut être essayer de parler correctement avant que tout le monde nous classe dans la catégorie des gros rustres de province" fut la seul réponse qu'il entendit de la part du Capitaine, les autres restant bouche bée devant le spectacle. C'était tout simplement des millier d'hommes qui attendait là, passant le temps à discuter ou à nettoyer leurs armes pour les plus zélés. Certains avaient entrepris des parties de cartes et jouaient sans doute un peu d'argent ou du tabac.

Sur le coté, des hommes aux commandes de Sentinelle déblayaient les restes d'arbres qu'on avait dû couper pour faire de la place. Au même moment, dans le font les tanks manœuvraient bruyamment retournant la terre meuble à chacun de leurs virages et créant des ornières a cause de leurs chenilles.

C'était ça qui impressionnait le plus le Capitaine. Il avait pourtant participé à de nombreuses batailles aux cotés de ces monstres d'acier mais à chaque fois il ne pouvait réfréner un sentiment d'admiration mêlé de crainte. Et encore, ceux la n'avaient pas fait tonner leurs canons.

Après plusieurs manœuvres, deux transports de troupe Estragone vinrent se positionner cote à cote et des hommes commencèrent à installer une sorte de pont fait de large planche de bois entre les deux, constituant ainsi ce qui aller devenir le parloir de fortune du Général.

Après avoir pris quelques instants pour savourer le spectacle le peloton continua de progresser, passant à travers ceux qui étaient arrivés depuis un moment et qui avait pris leurs aises dans un coin de la plaine. Ici et là des membres du peloton reconnaissaient un vieux copain ou un parent et le capitaine les autorisait alors à aller les saluer.

Après avoir parcouru une centaine de mètres, Cyriaque et Flati reconnurent une vielles connaissances et n'attendirent même pas l'accord de leur chef pour se précipité a leur rencontre.

-"Putain, vieux frère mais comment un abruti comme toi peut encore être en vie?"demanda Flati à un homme assis par terre en train de discuter.

En ce levant d'un bond l'homme en question répondit :

-Et ouai mon pauvre, toujours là, et l'loyaliste qui réussira a m'foutre par terre est pas encore de c'monde."

-"Ah! putain ça fait plaisir de te voir, ça fait quoi, 3 ans maintenant? Demanda Cyriaque en lui tendant la main.

-Ouai ça doit être ça, d'puis que not' peloton a été redistribué.

-Et t'es où maintenant?

-Ben la on s'occupe de la zone à l'est de Stirnon avec le 72eme. D'ailleurs faut que j'vous présente".

-"Eh les gars, c'morceau d'barbaque informe c'est Cyriaque et l'autre qu'a plus d'dents c'est Flati, on était ensemble avec le 7eme jusqu'à ça qu'on se fasse prendre dans une méchante embuscade et qu'ils redispatch les survivants".

A ces mots les autres se regardèrent puis les saluèrent avec un peu de respect dans la voie car tous avaient plus ou moins entendu des rumeurs sur le 7eme. Une seul chose était sûre, c'était que ceux du 7eme était aujourd'hui des vétérans qui avaient connu les début de la résistance comme tout les membres des 10 premiers régiments.

Les deux hommes entendirent un coup de sifflet bref et strident et comprirent sans même se retourner que le Capitaine leur ordonnait de rejoindre le groupe.

-"Bon Phil, content de t'avoir revu entier et p't être qu'on pourra se retrouver un de ces jours. Faut qu'on y aille, Cap'tain Letevain à l'air pressé."

A l'évocation de se nom les hommes du 72eme se retournèrent pour voir enfin celui sur qui une fois de plus les rumeurs circulaient mais ils furent déçu car il avait déjà tourné le dos et il ne purent simplement voir que sa silhouette massive.

Les deux hommes rejoignirent au pas de course le reste de leur peloton sans même prêter attention aux murmures que leur dernière phrase avait entraîné.

-"Bon je vais rejoindre le QG pour annoncer notre arrivé et pour nous faire référencer. Pour vous c'est quartier libre pendant une heure comme ça vous pourrez vous reposer et manger quelque chose". annonça le Capitaine. "On se retrouve ici dans une heure précise"

Le simple fait d'apprendre qu'ils allaient pouvoir reprendre un peu des forces soulagea tout le monde. Il se dispersèrent donc en petits groupes pour rejoindre les différents point de restauration et apprendre toutes les nouvelles qui circulaient en ce moment et tenter d'en apprendre un peu plus sur la raison d'un tel rassemblement.

Le Capitaine Letevain quant à lui rejoignit le bâtiment monté à la hâte ce matin et qui servait de point d'enregistrement pour tous les nouveaux arrivant.

Les gardes d'honneur qui en surveillaient l'entrée le reconnurent et le saluèrent avec en empressement quelque peu excessif ce qui ne lui plaisait pas outre mesure. Il disait même détester tous les protocoles qui avait cours dans les plus hauts cercles. Pour lui, la guerre c'était son métier et ça ne justifiait pas autant d'honneurs à ces yeux.

A l'intérieur s'affairaient un grand nombre de scribes et autres officiers chargé de l'organisation et du recensement des forces présentes. A leur vu le capitaine compris que ce qui semblait être un rassemblement spontané avait nécessité une infrastructure et un gestion colossale. Il s'annonça et, une fois de plus, à l'évocation de son nom toutes les personnes présentes se retournèrent. Le garde auquel il s'été adressé s'empressa de le conduire au prés du général.

-"Ah, cher Cillier vous êtes enfin arrivé!" S'exclama le Général, l'un des seuls a oser encore l'appeler par son prénom."la fête n'aurait pas été totale sans vous. Votre voyage s'est bien passé?"

-"Eh bien je ne crois pas qu'on puisse vraiment dire ça, on est tombé sur une patrouille et j'y ai laissé huit de mes hommes" lui répondit le Capitaine d'un air sinistre.

-"Ah, c'était a prévoir, vous n'êtes pas les seuls à être tomber sur des loyalistes. Avec de tels mouvements ils se doutent forcement de quelques choses".

-"Espérons au moins qu'ils n'arriveront pas jusqu'ici avant notre départ".

-"Oh pour cela nous avons pris nos précautions et les postes de garde ont été doublé dans tout le secteur. Et puis vous savez, le fait qu'ils soient partiellement au courant ne fait que renforcer notre ascendant psychologique."

Après avoir discuté de chose et d'autre le capitaine pris enfin l'initiative de poser la question qui lui brûlait les lèvres :

-"Et qu'elle grande nouvelle nécessite un tel rassemblement?"

-"Ah! Je vous propose de découvrir cela avec le reste des troupes. Je vais d'ailleurs aller me préparer, ce discours sera sans nul doute le plus important de ma vie car il engage celle de millier d'hommes. Vous connaissez sans doute le petit pincement au ventre mélange de stress et d'euphorie que l'on ressent avant de débarquer d'une Estragone au milieu d'un champ de bataille."

-"oui je vois a peu prés" répondit le capitaine qui comprenait ou il voulait en venir

-"Et bien là c'est pire" rajouta le Général avant de conclure en riant."A tout a l'heure!"

Après cette discussion le Capitaine du faire la queue un moment pour se faire enregistrer auprès de scribes et après une vingtaine de minutes pût ressortir pour goûter un peu de repos lui aussi.

Lorsqu'il passa le seuil, la chaleur se rappela douloureusement à lui et il s'empressa de rejoindre l'ombre d'une des cantines de campagne. Il attendit ici un moment répondant souvent à des saluts de gens qu'il ne connaissait que de vue et, quelques minutes avant l'heure fixé il se rendit au point de rendez vous où l'attendait déjà la majeurs partie de son peloton.

Alors que les derniers hommes du Capitaine arrivaient, le tocsin sonna appelant tous les régiments devant l'estrade par ordre d'enregistrement et en quelques minutes seulement les millier d'hommes se mirent en ordre militaire devant les deux tanks qui servait de promontoire.

A cet instant précis le futur était en marche, le général monta sur l'estrade et sous les clameurs de tous les hommes il lança ses premiers mots :

-"Mes amis la victoire est proche!".

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Et voila, bientot la suite...(parce que bien sur vous vous demander mais qu'a fait le capitaine pour meriter autant de consideration, et qui est le général, et comment la rebelion a debuté...)




Rebellion Sur La Planete Toconou - Guest - 26-10-2003


c'est vrai que ça commence bien, et que la tempête warp ferait un peu bateau, mais pour les libérer du joug impérial, il existe au moins deux solutions :

- les eldars, qui pourraient juger qu'une zone non-impériale leur serait bénéfique ou que selon la vision d'un de leur prophète, la réintégration de ce monde au sein de l'empire léverait un contingent GI pénitencier qui leur tomberait dessus ;

- ou alors les Tau, c'est vrai quoi, ,pourquoi pas un truc genre protectorat ?

voilà c'est tout ce que j'ai pu trouver en 5 mn ;)

bonne continuation, j'espère juste avoir assez de mémoire pour penser à revenir lire la suite :p




Rebellion Sur La Planete Toconou - barbu - 26-10-2003


Alors merci a Petronius pour ces comentaire.

Bon les eldar c'est peut etre pas mal et je vais creuser ca. Ca permet aussi de me faire des petits scenar sympa pour plus tard.

Bon les tau j'ai un peu de mal avec leur fluff donc je pense pas en tirer grand chose.

Je rajoute un peu de lecture pour ceux qui suivent

J'editerai sans doute demain quand j'aurai vu les erreurs ou que quelqu'un de devoué me les aura fait remarquer.

A ce propos je crois que j'ai un peu melangé peloton, regiment et compagnie, va faloir que je revois ca...

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Six hommes étaient là, au milieu de nul part, deux d'entre eux montés sur un tank de type Hydres qui était la seule oeuvre humaine visible aux alentours. Et puis d'un seul coup un long bourdonnement qu'il eut été difficile d'interpréter si tous n'avait pas eut connaissance de ce qui se déroulait au même moment à quelques kilomètres.

-"T'écoute ça, putain et nous on est obligé d'rester ici alors qu'tous les aut' sont là-bas"

-"la ferme bordel il va commencer."

-"ah ça y est c'est parti"

Tous se rapprochèrent de la radio pausée sur le haut du tank et dans un crépitement la première phrase leur parvint avec l'écho lointain de la clameur d'une foule.

-"Mes amis la victoire est proche!"

Tous auraient préféré être la bas c'était sûr mais ils avaient aussi conscience que leur présence ici était indispensable et que sans un système de défense irréprochable tout cela n'aurait été qu'une utopie.

Bien sur, les postes fixes de défense anti-aérienne existaient déjà depuis longtemps et interdisaient en temps normal le survol de la zone par les véhicules loyalistes. Il suffisait pour s'en persuader de compter le nombre d'épaves jonchant le sol dans cette région.

Oui mais aujourd'hui c'était différent car si les services de renseignement ennemi avaient été informé de ce qui se déroulait ici le commandement loyaliste tenterait sans aucun doute quelque chose.

Il avait donc fallu mettre en place des unités anti-aérienne mobiles qui soutiennent généralement les postes avancés dans les régions où la domination des rebelles est moins forte.

On avait alors constitué des escouades de six hommes chargés de la défense d'une zone de 2 kilomètres carrés. C'était largement moins que le champ d'action des missiles sol-air à leur disposition mais on n'avait voulu prendre aucuns risques. Il fallait ajouter à cela les nombreuses patrouilles de la garde d'honneur qui avaient été disséminé dans les abords du point de rendez-vous. Certaines à pied et d'autre prise parmi la cavalerie qui était généralement utilisé comme coursier pour leurs qualité indéniable de vitesse et de furtivité.

Cela représentait un nombre conséquent d'hommes, même si ce n'était nullement comparable avec la foule présente, et pour que tous puissent suivre directement le discours du général on avait mis à disposition de chaque escouade une radio. C'était pour eux un minimum même si les communications sur une distance comme celle-ci devenait de plus en plus difficile à cause du brouillage loyaliste.

Les six hommes se rapprochèrent du blindé ou avait été installé la radio et tendaient l'oreille pour discerner à travers les grésillements quelques bribes du message.

A quelques kilomètres de là il n'était nullement nécessaire de fournir des efforts pour entendre les mots du général, sont discours était fluide et son éloquence impressionnante.

-"Mes amis aujourd'hui est un grand jour et dans mon cœur se mêlent tout à la fois la colère l'espoir et la confiance.

Si je viens vous voir aujourd'hui c'est pour vous annoncer une grande nouvelle. Cela fait maintenant cinq ans que nous avons entrepris notre libération. Cinq longues années de douleur, de larme et de sang mais l'issue est proche.

Vous savez sans doute que le commandeur a désormais fait appel à son congénère de Calavi IV et leurs attaques sont de plus en plus fréquentes. J'espère que ce rassemblement saura vous prouver que nos forces sont plus que jamais disposé à combattre et à même d'engager la phase finale.

Ma présence ici est belle et bien motivée par la volonté de vous exposer ce que va être notre avenir et surtout de vous rappeler que tout cela ne serait nullement possible sans les efforts que vous déployez chaque jour.

Les sages qui nous ont ouvert les yeux sur notre terrible aliénation sont aujourd'hui plus forts que jamais. Depuis leur découverte des textes secrets cachés depuis des millénaires dans les archives de la bibliothèque impériale ils ont su décoder la somme considérable de connaissance qui était jusque là interdite. Ils ont su aussi propager leur savoir et j'ose espérer que chacun d'entre vous sait pourquoi il se bat aujourd'hui, tant de sacrifices ne peuvent être vains.

Aujourd'hui est un grand jour a plus d'un titre et je suis donc venu vous dire que l'histoire était en marche, ce soir vous retournerez tous à vos postes et vous propagerez sur place ce message. Nous regroupons nos forces et unissons les différents mouvements issus de la résistance. L'objectif maintenant et de prouver à chacun sur cette planète, et je l'espère au-delà, que le savoir permet de vaincre tous les obscurantismes même les plus enracinés.

Et pour cela il nous faut un objectif majeur, et celui ci sera la prise de Grimotar".

L'évocation de ce nom entraîna une nouvelle poussé de clameur parmi l'auditoire. En effet c'était la cité où était né le commandeur planétaire.

-" Les habitants de cette ville sont depuis longtemps en majorité acquis à notre cause mais la répression qui y a court est des plus terrible. Par ailleurs notre emprise sur les territoires qui l'entoure et suffisamment forte pour en assurer la sécurité.

Néanmoins, la prise de cette ville ne sera pas si facile car les loyalistes y ont regroupé plusieurs bataillons et ils ne semblent pas prêt à lâcher ce symbole.

C'est donc une lutte difficile qui s'annonce mais l'enjeu vaut largement les risques encourus.

D'ici ce soir vous sera confié un plan d'action général et vous recevrez bientôt toutes les instructions plus précises qui vous permettront de prendre part à la campagne".

A ce moment précis du discours, alors que le général s'apprêtait à conclure, un bruit lointain d'explosion se fit entendre.

Les hommes qui étaient en poste avancé purent voir plus distinctement ce qui venait de se passer. Un véhicule loyaliste venait de se faire descendre par la première ligne de défense à plusieurs kilomètre d'ici. De l'endroit où se trouvaient les hommes ce n'était qu'un point brillant traversant l'horizon et créant une grosse explosion au moment où il percuta la colline boisée.

Cela ne voulait pas forcement dire grand chose puisque de nombreux véhicules tentaient des repérages aériens et étaient fréquemment abattus. Le message de la batterie qui l'avait descendu se répandit dans toutes les radios et téléscripteur et parvint jusqu'aux officiers proches du général qui s'empressèrent de le prévenir pour qu'il termine rapidement son discours.

"On m'annonce qu'un véhicule loyaliste vient d'être abattu" annonça-t-il provoquant une nouvelle fois la clameur de son auditoire. Et sans plus de commentaire il repris le fils de son discours.

"Une fois de plus je vous rappelle que notre avenir est entre vos mains. Je vais bientôt repartir pour annoncer dans d'autres régions comment ce passe notre action.

Je vous laisse donc en vous souhaitant bonne chance, et en vous disant à bientôt pour fêter la victoire dans les rues de Grimotar".

Après avoir été applaudit longuement le général descendit de son promontoire et s'empressa de rejoindre le véhicule lourdement blindé qui l'avait emmené jusqu'ici. Les troupes spéciales assignées à sa sécurité le suivirent et la dizaine de véhicule partit promptement sur un chemin qui partait vers le sud à travers la forêt.

L'un des membres de la patrouille anti-aérienne tourna la radio pour revenir sur une fréquence d'information captant au passage des bribes de conversation entre coupé de bruit de neige.

-"Ça y est c'est fini! Vous avez écouté, va y avoir du mouv'ment dans pas tard"

-"Ouai c'est sur, z'ont vraiment décidé d'passer la vitesse supérieure.

-"D'puis le temps que j'dis qu'y fallait la prendre c'te ville, mais moi forcement personne ne m'écoute.

Cette dernière réplique fit sourire les autres puisque effectivement l'avis d'un troufion n'avait que peu de poids sans les décisions du QG.

Au même moment des centaines de conversation de ce type avaient lieu entre ceux qui venaient d'entendre ce discours. Dans la plaine un officier était venu annoncer que tous devaient maintenant rejoindre leur affectation d'origine car une attaque majeure était encore envisageable. Il annonça également que les capitaines devaient tous se rendre au quartier d'enregistrement pour se voir remettre les documents contenant les consignes pour les semaines à venir.

Les pelotons se regroupèrent alors attendant leurs officiers et dés que ceux ci revinrent, ils se préparèrent au départ. L'agitation était encore plus importante que pour l'arrivé car cette fois tous repartaient simultanément.

Le capitaine Letevain et ses hommes commencèrent donc comme tous les autres à faire leurs paquetages pour entamer le long voyage de retour. Il semblait évident qu'ils ne pourraient pas arriver avant la nuit et la fatigue se faisait sentir. L'exaltation du discours avait laissé la place à une terrible lassitude.

Ils repartirent donc en empruntant en sens inverse le long défilé par lequel ils étaient arrivés et, un fois au bout de celui-ci, ils s'engouffrèrent dans l'épaisse forêt. Avant d'en passer le seuil ils se retournèrent une dernière fois pour profiter de l'agréable lumière de la fin d'après midi, car le monde en face d'eux n'avait rien de serein. L'épaisseur du feuillage des hauts arbres qui composaient la forêt ne laissait percer qu'une faible lumière qui, avec la tombé du jour se transformait de plus en plus en une pénombre désagréable et presque malsaine. Ils semblaient y avoir un malaise au sein du groupe et personne n'avait le cœur à tenir une conversation.

Ils parcoururent ainsi plusieurs kilomètres dans un silence pesant mais que personne ne voulait briser. Et puis, par moment les hommes en fin de peloton se retournaient croyant discerner des bruits mais sans jamais pouvoir en avoir la certitude. Ces bruits finirent par se faire plus audible et les hommes s'arrêtèrent pour se préparer à riposter au cas ou. C'était devenu un son presque musical de claquement qui se rapprochait de plus en plus. Et puis d'un seul coup émergea au détour du sentier qu'ils avaient suivit jusque là, cinq cavaliers qui ne mirent pas longtemps avant d'arriver à leur niveau.

-"Vous êtes bien le 46eme?" Demanda le sergent en descendant de son cheval.

-"Putain, oui, mais vous êtes inconscient ou quoi? Et si on avait pris les devants et qu'on avait tiré sans somations?" répondit le capitaine visiblement irrité.

-Vous savez, il est des priorités qui nécessites de prendre quelques risques. J'imagine que vous êtes le capitaine Letevain, je voudrais vous parler un moment.

Les deux hommes s'éloignèrent et entamèrent leur discussion pendant que les autres les regardaient de loin. Les cavaliers étaient resté sur leurs chevaux et surplombaient les hommes à terre d'un bon mètre et demi ce qui était certainement intimidant pour les piétons.

A quelques distances de là le sergent de cavalerie expliquait au Capitaine la raison de sa venue.

-"Bon je vais être clair, si je suis là ce n'est certainement pas pour vous annoncer une bonne nouvelle" Ça, le Capitaine s'en été douté car pour un simple message on aurait pu leur envoyer un message radio car ils étaient encore a porté des émetteurs.

-"Alors voilà, aujourd'hui a eu lieu une lourde offensive sur le secteur ou vous êtes affecté, et pour tout vous dire, on a perdu le contrôle d'une large zone".

Le capitaine c'était attendu à une mauvaise nouvelle mais là les conséquences étaient terribles et il ne put rien dire avant que le sergent lui donne des détails.

-"En conséquence le QG a décidé une réorganisation et a juger votre présence plus utile à un autre niveau".

-"Et concrètement qu'est ce qu'on devient, vous savez que la majorité de mes hommes sont de là bas et qu'ils ne vont sans doute prendre la nouvelle avec le sourire".

-"J'imagine très bien que la situation soit très difficile pour vous et vos hommes mais j'ai des ordres et vous devez venir avec nous. Nous allons vous guider jusqu'à un transport aérien qui vous conduira quelques part où vos qualités seront les plus utiles à la rébellion".

-"Très bien, j'imagine que l'ordre vient de haut et qu'il serait vain de le discuter, je vais annoncer ça à mes hommes." Et le capitaine rejoignit le reste de la troupe avec une expression de profonde tristesse et de détermination que tous les hommes purent lire sur son visage.

-"Bon changement de programme!. On ne rentre plus chez nous et on risque de ne pas y mettre les pieds pendant un moment, la zone a été perdue aujourd'hui."

A ces mots la consternation envahie le cœur de chacun.

-"On nous affecte à un autre secteur que l'on ne m'a pas encore déterminé. On va rejoindre un transport qui va nous y emmener. Vous savez, je suis aussi affecter que vous mais il ne faut pas perdre de vue notre objectif global et je peux vous jurer qu'on retournera bien vite botter le cul de ces chiens d'ici peu."

Cette dernière phrase rendis un semblant de courage au peloton et sembla surprendre les cavaliers qui n'avaient pas l'habitude d'entendre un tel discours de la part d'un officier.

Les hommes se remirent donc en route retournant sur leurs pas à la suite des cavaliers et après une demi-heure de marche dans la pénombre de plus en plus oppressante du sous bois ils arrivèrent à une petite clairière. Au milieu était posé un lourd véhicule de transport aérien dont l'équipage s'affairait à effectuer les ultimes vérifications. Les puissants moteurs étaient allumés et les hommes les entendaient déjà depuis presque trois cent mètres.

A peine arrivé, les cavaliers les saluèrent en leur souhaitant bonne chance et repartirent au galop pour rejoindre la forêt et sans doute le reste de leur régiment.

Un nouvel officier les accueillit et leur enjoint de monter au plus vite car il ne fallait pas traîner trop longtemps dans les parages.

Tous rejoinrent donc rapidement la passerelle d'accès et s'installèrent sur les sièges en bouclant les sangles de sécurité. Les hommes d'équipage rejoignirent leur cockpit et dans la soute, tous les hommes regardaient leurs pieds car personne ne voulait croiser un regard, l'image de leurs amis resté chez eux leur serait le cœur. Enfin les premier soubresauts des moteur se firent sentir et tous cherchèrent une poignée en se préparant au décollage.

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Aller bientot la suite....

Barbu

qui prefere quand meme les UltraNarine




Rebellion Sur La Planete Toconou - Guest - 26-10-2003


J'adore ton histoire, toute facon des que ya la gi qui es presente j'aime bien...

juste un petit truc a critiquer (et oui) :

le"peloton" du capitaine est composé que de 20 hommes?

un peloton ca atteint en general plusieurq centaines d'hommes

sinon a un moment le capitaine dit "j'ai perdu 5 hommes"

alors que plus haut tu a ecrit qu'ils avait perdus 8 hommes...

ils feraient mieux de s'allier avec quelqun tes rebels car tout seuls face a l'empire ca craint

(qui sait ya peut etre des ewoks sur cette planete)

star wars style

continue comme ca




Rebellion Sur La Planete Toconou - barbu - 26-10-2003


Merci babybelius

JE sais ca fait deux fois en deux jour que je te remerci masi va rien imaginer...

Oui comme je l'ai dit j'ai un peu fait du n'importe quoi avec le nom et la taille des groupes, va faloir que je revois ca.

Avant d'aller plus loin et de poser mes idées sur papier je crois que je vais reprendre un peu ca

Pour les autres vous pouvez y aller sur les critiques je suis tout a fait conscient qu'il y a des trucs a revoir et c'est un peu pour ca que je post.

Barbu

"Oh oui! allez y! faite moi mal!"




Rebellion Sur La Planete Toconou - Guest - 27-10-2003


Citation :Bon les tau j'ai un peu de mal avec leur fluff donc je pense pas en tirer grand chose.
moi j'ai étudié leur fluff pendant des mois

je peux te servir de consultant tau-istique

sKaLpeL

general tau a la retraite




Rebellion Sur La Planete Toconou - Guest - 27-10-2003


en gros, voila la composition d'une armée en flouffant un peu le tout (sa te donnera une idée)

une armée est composée de:

-regiments d'infanterie qui sont composés de 3 bataillons (3400hommes)

-bataillon d'infanterie comprend 4 compagnies et compte 1100 hommes

1 compagnie d'infanterie compte 4 sections de 60 hommes.

donc ton petit groupe n'est surement pas un peloton

1 peloton comprend 500 homme

1 escouade comprend 20 hommes(ton petit groupe)

lorsque l'on parle de troupes motorisés on utilise le terme de

batterie (une dizaine de piece) , division (une quarantaine), une escouade (3 pieces)

esemple d'une armée:

Éléments organiques :

2 régiments d'infanterie

1 régiment de cavalerie

1 régiment d'artillerie

4 compagnies du génie

et 2 divisions

au total environ 40 000 hommes regroupés en 28 bataillons ~(3 x 4 x 2) + (2 x 2)

et disposant de 56 mitrailleuses ~(2 x 28)

120 canons de 75. ~(2 x 36) + (1 x 48)

un peu flou mais je suis pas miitaire ;)




Rebellion Sur La Planete Toconou - barbu - 30-10-2003


Bon pour la taille des différentes structure d'armé il faaut garder a l'esprit que c'est un reseau de resistance pour une grande partie et que les troupes vraiment organisées sont peu nombreuses et autours du QG.

Donc c'est des petites unités et dans le codex V2 je crois que les pelotons pouvait au minimum faire 2 escouades plus commandement et armes lourdes. Il faut aussi prendre en compte que seul une partie du peloton s'est déplacé pour aller au rassemblement.

Bon a part ca j'ai bien reflechi et les eldars vont sans doute me filler un petit coup de main, mais ca c'est pour dans deux ou trois chapitres.

A oui au fait j'en ai dans la tete une dizaine d'avance donc ceux qui lisent vont encore pouvoir suivre mes petites aventures un moment.

Le but de ce message etait a l'origine de signaler que j'avais edité les premiers posts et surtout rajouté la fin du dernier.

Et puis vu que je l'ai commencer aujourd'hui je rajoute le debut du prochain.

Enfin si il y en a qui veulent que je leur envoie directement en format word c'est aussi possible.

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Chapitre IV

Au moment ou tous comprirent que le véhicule avait quitté le sol le capitaine ferma les yeux en se souvenant de la première fois où il avait embarqué à bord d'un appareil de ce type.

C'était il y a vingt ans à peu prés, lorsqu'il avait dût rejoindre un camp de formation militaire sur Prismo, dans un système proche de celui de Toconou. La conscription l'avait forcé à quitter ses études pour devenir militaire.

Il se souvint ensuite de ce qu'il lui était arrivé ce jour là lorsque l'adjudant formateur avait repéré son pistolet laser. Il venait de le graver à son nom grâce au couteau offert par son père avant le départ. Bien que de nombreuses années soit passées depuis, il se souvenait mots pour mots de ce que lui avait dit le gradé et il ne put se retenir de les murmurer en serrant le poing. "Et où tu te crois! Tu crois quoi que tu vas survivre suffisamment longtemps pour le garder en souvenir?. Et le prochain qui va venir après toi il s'ra content d'avoir le nom d'un type mort sur son arme."

Après ses mots l'adjudant lui avait repris son arme et son couteau et lui en avait donner des nouveaux. Pourtant, c'était bien ces deux armes qu'il avait à la ceinture et que personne ne pourrait plus lui prendre. Il les avait récupéré après avoir sauvé la vie, quelques semaines après, à ce même gradé, en fauchant en pleine course un ork qui se ruait sur lui. En signe de gratitude et sans ajouter aucun commentaires ou excuses il lui avait fait remettre ses armes. Ça n'avait nullement enlevé la haine qu'il portait à celui qui l'avait définitivement fait passé d'un jeune homme cultivé à militaire insensible.

Lorsqu'il repris ses esprits, le capitaine se rendit compte que la nuit était tombée mais il ne savait pas trop combien de temps il s'était égaré dans ses souvenirs.

Ne sachant toujours pas quelle était leur destination, il demanda tout de même à l'officier présent avec eux dans la soute s'ils en avaient encore pour longtemps. Celui ci lui répondit laconiquement que non mais sans rien ajouté de plus.

Alors Letevain se mit à regarder ses hommes en essayant de savoir à quoi ils pouvaient bien penser. Ce qui était sur c'est que la nouvelle de la perte de leur région les avait terriblement affecté car on pouvait lire dans leurs visages défaits la plus grande peine. Ils avaient déjà tous perdu des frères d'armes mais là c'étaient leurs souvenirs et ce qui restait de leurs vies passées qui était menacé.

Enfin le capitaine chassa ces idées sombres pour revenir au présent. Ils étaient tous là, ballotté dans la carlingue, à la seule lumière des veilleuses présente au dessus de leurs têtes. Cette pâle lumière blafarde créait une atmosphère proche de celle des wagons qui s'enfoncent au cœur des mines de minerais des lunes de Toconou. La seule différence était qu'il pouvait regarder le mince croissant de lune à travers le hublot ce qui le rassura un peu.

Puis soudainement le pilote dans le cockpit frappa contre la cloison et le sergent leurs demanda de s'accrocher un peu parce qu'ils allaient bientôt se poser.

Effectivement la manœuvre entreprise fut très déstabilisante pour tous les nouveaux passagers car le véhicule freina brusquement jusqu'à arriver en position stationnaire puis commença sa descente. Ce que les hommes avaient du mal a comprendre c'était pourquoi ils allaient se poser au milieu d'un lac.

C'est au moment où ils auraient dû toucher l'eau où la lune se reflétait avec un éclat bizarre que le plus étrange se produisit.

L'eau n'était en fait qu'un mirage ou une illusion holographique et ils plongèrent dans un vaste puis presque circulaire. Le capitaine ne pouvait bien sur pas en voir le fond mais le hublot lui permettait d'entrevoir les parois. Elles étaient complètement aménagées, certaines parties étant faite de briques alors que d'autres était couverte de plaques de métal où étaient fixées des petites lampes bleu à intervalle régulier. En regardant par les autres hublots il constata que deux transports de ce type auraient pu se croiser sans problème dans le gouffre ce qui laissait imaginer sa circonférence.

La descente n'était pas très rapide et il fallu bien deux minutes pour qu'ils arrivent sur une plate forme d'atterrissage entièrement aménagée.

-"Messieurs, vous êtes arrivé." Furent les seuls mots du sergent qui avait déjà défait sa ceinture et appuyait sur le bouton d'ouverture de la rampe.

Les autres eurent plus de mal à se lever et essayaient toujours de comprendre où ils étaient.

Il est difficile de dire qui eut le premier le courage de bouger mais ils finirent par se lever et commencèrent à descendre du véhicule. Néanmoins, la sortie ne fit que renforcer leur surprise car en bas les attendait celui qu'ils avaient vu quelques heures auparavant, le Général Anton Akaeran.

Les hommes, qui, eux, ne l'avaient jamais vu de prés, furent encore plus impressionné par son allure. Il était plus large que la majorité des hommes et cette impression était renforcé par le fait qu'il portait sur les épaules une large pelisse de cuire noir qui lui tombait jusqu'au pied. Il avait le même uniforme au couleur de la rébellion que tout à l'heure mais ils pouvaient maintenant en constater les détails et les nombreuses décorations qu'il arborait. Il avait en plus, pour ajouter à son statut impressionnant, un énorme cigare qui lui faisait recracher de volumineuse bouffées de fumée ce qui donnait encore plus de sens à son surnom de "Dragon".

Le général, au moment où ils posaient pied à terre, leurs dit d'un voix forte mais tout de même d'un ton très amicale qu'ils étaient les bienvenus à l'Horzart, centre de commandement et de recherche de la résistance unifié.

Et lorsque le capitaine qui fermait la marche arriva enfin au bas de la rampe le général s'approcha de lui en lui disant que lorsqu'il l'avait quitté tout à l'heure il ne pensait pas le revoir aussi vite. Ce à quoi le capitaine répondit par une ébauche de sourire gardant à l'esprit que cette deuxième rencontre n'était que le fruit de la malchance.

Au même moment, alors que de nombreux mécaniciens s'attelaient déjà à la maintenance de l'appareil, une large porte s'ouvrit derrière les hommes et un petit véhicule en sortit. Une fois au niveau de l'appareil il s'y attacha et, avec un bruit de sirène, commença à le tracter vers ce qui devait être un immense hangar vu qu'il était impossible d'en discerner le fond. On pouvait voir de part et d'autre d'une large allée centrale différents types d'appareils. Certains étaient couramment utilisé par la rébellion mais d'autres qui était partiellement recouvert de bâches avaient des formes et des proportions inhabituelles et avaient particulièrement attiré l'attention du capitaine. Il n'eut cependant pas le temps d'y attacher trop d'importance.

En effet, les hommes, guidés par le général et la suite d'officier qui l'accompagnait, passèrent sur une passerelle d'où l'on pouvait voir que le gouffre continuait sa descente vers les profondeurs sur plusieurs centaines de mètres encore. Tout le long de la parois étaient disposées des petites fenêtres qui laissaient percer un peu de lumière dans ces obscures abysses.

De l'autre coté de la passerelle s'ouvrit un porte de dimension plus humaine que celle du hangar mais dont l'épaisseur laissait à penser que son blindage était "très" résistant. C'était en fait la première partie d'un sas et, une fois tous rentré dans l'antichambre, le général n'eut qu'a prononcer une phrase pour déclencher l'ouverture par reconnaissance vocale.

-"Vous savez, ce qui prime ici c'est la sécurité, c'est certes un peu contraignant mais c'est ce qui nous permet de garder cet endroit en place depuis le début".

C'est sur que cette débauche de technologie détonnait un peu avec le mode de vie pour le moins spartiate que les membres du peloton avaient dû embrasser en entrant dans la rébellion.

Une fois de l'autre coté du sas, la lourde porte se referma dans un bruit de vérin et laissa la place à un calme surprenant surtout en comparaison du vacarme des moteurs auquel ils avaient fini par s'habituer.

Le regard de Scrapper se fixa sur un grand cadre où était affiché se qui devait être le plan du site. Mais il mis du temps à se rendre à cette idée tant il comportait de niveau et de salles, tout cela devait représenter des kilomètres de galeries et des millier de salles.

Ils continuèrent leur progression dans des couloirs quasi identique à ceux qui parcours les croiseurs warp. Ils étaient de toute évidence construit à partir des mêmes plans. De temps à autres ils passaient devant des portes ouvertes qui laissaient entrevoir différent type de pièce, armureries, laboratoire, mais le plus souvent c'était des bureau.

Après avoir tourné suffisamment souvent pour que plus aucun des nouveaux arrivants ne puisse dire dans quelle direction se trouvait la sortie ils arrivèrent à une grande pièce où le général les fit entrer.

-"Et bien voilà, vous êtes au cœur du système"

C'était un vaste pièce en dôme dont une grande partie des murs étaient vitrés. Au milieu était installé un siège bardé de commandes et d'écrans sur lequel alla s'asseoir le Général en demandant aux personnes assises aux bureaux autours de lui s'il y avait quelque chose dont il devait être informé. Et vu que la réponse fut négative tous replongèrent dans leurs ordinateurs et le Général pût entamer ses explications.

-"Bon Cilier, je dois vraiment vous dire que la perte de la région de Togoudo est très dur pour nous tous et que nous allons tout faire pour la reprendre au plus vite.

Mais comme je vous l'ai expliqué cette après midi nous avons d'autre projet dans l'immédiat et nous avons jugé que vous seriez plus utile ici avec nous".

-"Nous sommes a votre disposition et nous soumettons à vos choix". Répondit le Capitaine avec un ton que ses hommes ne lui connaissaient pas.

-"Mais si nous vous avons fait venir jusqu'ici ce n'est pas seulement pour vous annoncer ça. Vous aller rester un moment ici, le temps de prendre connaissance de fait inconnu de la plupart des hommes de la résistance. Nous avons été obliger de maintenir le secret pour ne pas attirer trop l'attention avant que nous soyons prêt a entamer la seconde phase".

La perplexité se faisait de plus en plus visible sur le visage des hommes et le général s'en rendit compte.

-"Il est des choses que seul un esprit reposé peut entendre et même si vous avez sans doute envie d'éclaircir un peu le mystère qui entour tout cela je vous conseil d'aller vous reposer. Nous avons mis une chambre à disposition des hommes, et vous, Cilier rejoindrez le carré des officiers pour que nous discutions un peu ce soir. Cet homme va se charger de vous conduire.

Avant de partir ils eurent juste le temps de jeter un regard sur ce qui se passait de l'autre coté de la vitre. C'était pour eux un peu étrange de trouver cela au milieu d'un QG militaire mais ce lieu semblait être beaucoup plus que ça. Les immenses baies donnaient en effet sur une bibliothèque dont l'entrée devait se trouver au niveau inférieur. Ils avaient presque tous déjà fréquenté une bibliothèque mais celle ci, de part ça taille et le nombre de personnes qui y travaillaient, ne pouvait pas laisser indifférent et ne fit qu'épaissir le mystère qui les taraudait.

Enfin ils durent suivre celui qui allait les mener à leur dortoir et cette idée au moins les réconfortait. Ce devait bien faire plus d'un an qu'ils n'avaient pas dormit sur un vrai lit.

Seul le Capitaine Letevain resta dans la grande pièce tandis que les autres allaient goûter un repos bien mérité.

Ce soir il aurait sans doute le droit aux explications qu'il attendait et qui confirmerait peut être ce que lui avait laisser entendre son ami le capitaine Crezier, un soir de discussion arrosé, il y avait quelques mois.

Le général régla un certain nombre de points avec ses conseillers et fit signe au capitaine qui regardait par la fenêtre l'agitation de la bibliothèque qu'ils pouvaient enfin aller manger.

Ils sortirent donc tous les deux pour s'engouffrer à nouveau dans le dédale de couloir du "vaisseau" souterrain. Le capitaine regarda ça montre, 12h07, une nouvelle journée commençait avant même qu'on ait tiré un trait sur la précedente.

Voila, comme d'habitude, la suite dans quelques jours.

Et j'attend vraiment vos commentaires.