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Il y a notamment un francophone qui a backé plus de 275 projets jeux de plateau en même pas cinq ans, ça interpelle tout de même.<span> </span>
C'est pas gentil de pointer <a contenteditable="false" data-ipshover="" data-ipshover-target="<___base_url___>/profile/9958-rafpark/?do=hovercard" data-mentionid="9958" href="<___base_url___>/profile/9958-rafpark/">@rafpark</a> comme ça :D
Sinon <span><a contenteditable="false" data-ipshover="" data-ipshover-target="<___base_url___>/profile/17993-skyrraahh/?do=hovercard" data-mentionid="17993" href="<___base_url___>/profile/17993-skyrraahh/">@Skyrraahh</a></span> tu prends le truc à l'envers. La majorité des gens pointent du doigts les KS, les producteurs, les entreprises et les gros projets. "C'est la faute à ....." Et au contraire n'avancent jamais/rarement une analyse centré sur leur habitude de consommation. On s'exonère de notre responsabilité car c'est plus facile. Plus facile de pointer du doigt que de se regarder dans un miroir. C'est dans l'ère du temps avec la victoire du "tout déterministe". Les individus ne sont que le fruit des agitations de la société, de fait, ce n'est pas leur faute.
Pour ma part, si j'ai conscience des mécaniques déterministes qui existent (il serait stupide de les nier), je n'en exclue pas pour autant l'individualisme inhérent aux actions des individus : ce sont aussi des acteurs. Et on peut avoir cette discussion sur tous les sujets (sexisme, éducation, consommation, production, ....) j'aurai le même point de vue.
Parce que si les consommateurs sont les victimes des "gros sur KS", alors les producteurs sont victimes de la tendance de la société qui pousse à accumuler les richesses et donc à se placer au top et devant les concurrents. Ce n'est donc pas leur faute. Trop facile.