Il y a une petite tendance à 'brûler ses vaisseaux' chez cette entreprise quand même, involontairement ou pas.
Des deux projets menés à bien :
- Mythic Battle Pantheon cédé à Monolith et un brin abandonné dans l'intervalle tout en laissant un paquet de boulot au repreneur (l'équilibrage et la formulation des règles c'était leur travail à la base = manque de sérieux évident dans les finitions, même si le boulot était colossal).
- Joan d'Arques : problème actuel. Je n'ai pas pratiqué le jeu, donc pas d'avis. Il semble que les règles soient des plus bordéliques ceci dit.
Ceux en souffrance :
- Solomon Kane : on devait avoir une révélation amazing concernant ce jeu, on attend toujours...
- Super Fantasy Brawl & Reich Busters : on nous dit qu'on les aura dans deux mois, on jugera sur pièce.
Si sur chaque projet surviennent des problèmes similaires, le capital confiance va en prendre un méchant coup.
Ayant quelques créatifs dans la famille, j'apprécie modérément qu'on ait apparemment essayé de la lui faire à l'envers. Le coup de la cession des parts à une autre entreprise m'incite à penser que la manœuvre était tout à fait réfléchie et délibérée : même si on n'a pas les échos sans filtre des deux partis, la manière de procéder interpelle.
(Modification du message : 13-01-2020, 20:29 par Jalikoud.)
Des deux projets menés à bien :
- Mythic Battle Pantheon cédé à Monolith et un brin abandonné dans l'intervalle tout en laissant un paquet de boulot au repreneur (l'équilibrage et la formulation des règles c'était leur travail à la base = manque de sérieux évident dans les finitions, même si le boulot était colossal).
- Joan d'Arques : problème actuel. Je n'ai pas pratiqué le jeu, donc pas d'avis. Il semble que les règles soient des plus bordéliques ceci dit.
Ceux en souffrance :
- Solomon Kane : on devait avoir une révélation amazing concernant ce jeu, on attend toujours...
- Super Fantasy Brawl & Reich Busters : on nous dit qu'on les aura dans deux mois, on jugera sur pièce.
Si sur chaque projet surviennent des problèmes similaires, le capital confiance va en prendre un méchant coup.
Ayant quelques créatifs dans la famille, j'apprécie modérément qu'on ait apparemment essayé de la lui faire à l'envers. Le coup de la cession des parts à une autre entreprise m'incite à penser que la manœuvre était tout à fait réfléchie et délibérée : même si on n'a pas les échos sans filtre des deux partis, la manière de procéder interpelle.