L'histoire De Mes Marouales à Moi : Les Breizh Punishers ...

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Bijour à tous zentils Warmaniens,


Il faisait bien longtemps que je n'avais rien écrit chez vous, étant plutôt du coté Battle de chez Smith en face comme vous le dites si bien. Je n'avais même pas trop l'occasion de passer.


Mais, mais !


"Qu'èche que tu viens foutre chez nous z'alors, vil morback ?" allez-vous me dire.


Et bien je viens soumettre à la vindicte expertise de ce forum mon fluff perso de mon tit chapitre de SM que je me monte actuellement. Vu que Battle n'est plus ce qu'il était, je glisse en effet vers un côté plus "Vrrooouumm, Pan! Pan!" côté gurinistique. Et pis peindouiller des flingues et des gros chars a quelque chose de ... différents.


Brèfle, la ferme Shamux.


Voilà le fluff en question <i>légèrement</i> inspiré vous vous en rendrez compte (rien que le titre déjà...). N'hésitez pas je cherche surtout à voir la cohérence des éléments entre eux et par rapport au fluff général vu que je manque de recul sur ce projet, je compte sur vous.


Commentaire en fin de post.


Si jamais je ne suis pas en bonne section, je présente tout de suite mes plates excuses et me flagellerais avec de fraiches orties.




Citation :<b>Index Astartes</b> : Breizh Punishers
<b>Monde d’origine</b> : Celtia (Segmentum Pacificus)


<b>Forteresse-monastère</b> : Mor Braz


<b>Fondation</b> : Fondé en 534.M39 : 24ème fondation.


<b>Origine</b> :


Les Breizh Punishers furent fondés lors de la 24ème fondation en grande partie à la suite de l’émergence des mondes sanguinaires et des guerres qui firent ravages dans les mondes de Sabbat. La pression produite par la corruption chaotique et le risque qu’elle puisse atteindre des mondes relativement proches comme Macharia poussèrent à la création d’un rempart supplémentaire. La présence des orks dans le secteur Donien fut une source de motivation supplémentaire à la création d’un nouvelle force dans le secteur même si quelques quatre siècles plus tard, les Black Templars réglèrent le problème. Les premières recrues de la planète furent rapidement assimilées au sein du chapitre naissant, adoptant les lois de l’Imperium et les préceptes du Codex Astartes. Les Breizh Punishers étaient alors ce qu’on peut appeler un chapitre très soucieux de respecter le Codex, malgré les quelques déformations initiales dues au patrimoine génétique des White Scars.


Cependant, au fur et à mesure de l’enrôlement des recrues du monde de Celtia et des combats, le chapitre développa des techniques de combat de plus en plus éloignés des ses pratiques originelles.


Le point culminant de ce changement se produisit en 885.M40, lorsqu’une force réduite menée par le Capitaine Gwendall vit ses escouades tactiques abandonner leur habituel arme lourde et combat à une main pour une paire d’épée tronçonneuse. La raison en fut simple, coupé de ses lignes d’approvisionnement sur la principale cité de la planète Huurty à la suite d’une mission mal évaluée et entouré par plusieurs bandes d’Orks ; le Capitaine Gwendall et ses hommes se retrouvèrent, à la fois, rapidement à cours de munitions, mais également à cours d’endroits défendables dans la ville ; les Orks ayant la fâcheuse tendance à raser chaque bâtiment rencontré.


Pour sortir de la cité et rejoindre les autres compagnies, les Marines abandonnèrent tout ce qui pouvait les ralentir dans leur progression et s’extirpèrent de ce piège mortel en jouant de déplacement rapide, sans attirer l’attention des plus importantes bandes Orks qui maraudaient en ville. Arrivés à la périphérie de celle-ci, les Astartes ne purent éviter un groupe de combat Ork mineur, mais tout de même largement cinq fois plus nombreux qu’eux. Assaillis par une meute d’Ork tout Kikoup’ dehors, sans quasiment plus de munitions et près de l’échappatoire, le Penn Gadour Gwendall n’avait d’autre choix que de lancer l’assaut.


Nul ne sait ce qui se passa exactement, était-ce les gènes guerriers de Jagathaï Khan qui les poussaient ? La situation désespérée ? Ou bien les siècles de traditions guerrières des guerriers Breizhou qu’ils avaient été ? Toujours est-il que ce jour là, cette petite bande de Breizh Punishers livra un combat sanglant et d’une efficacité sans pareille. Ainsi purent-ils s’extraire de la cité et rejoindre les leurs. Interrogé plus tard par le Chapelain de la Compagnie celui-ci déclara : « Jamais je ne m’étais senti aussi fort dans le combat, j’ai pourtant connu des mêlées bien plus sanglante, mais la présence de mes frères tous ensemble dans le combat, virevoltant et combattant en rang serré comme des guerriers de jadis m’avait transporté. Je n’étais plus ce soldat de l’Imperium, j’étais un chef de guerre Breizhou au milieu de mes Guerriers. » Les épreuves qui en suivirent n’apportèrent pas de preuves de la trace d’une quelconque hérésie ou d’un quelconque disfonctionnement dans le comportement ou dans le psycho-conditionnement du Capitaine.


Cette histoire fit bien sur rapidement le tour du Chapitre jusqu'à en atteindre le Maître de chapitre de l’époque, Anton Péronte. Celui-ci constata dans les années qui suivirent que ses Astartes avaient de plus en plus tendance à voir, d’une part cette aventure comme un signe loin d’être anodin, d’autre part à abandonner de plus en plus les préceptes du Codex Astartes pour définir un style de combat plus proche du corps à corps. Ainsi fut initiée la longue transformation du chapitre en ce qu’il est aujourd’hui et qui devait s’achever en 368.M41 par la réorganisation officielle du chapitre.


Aujourd’hui, les Breizh Punishers ont retrouvé leurs traditions d’antan, ils partent au combat comme leurs ancêtres et se battent avec le même tempérament et la même fougue qu’ils le faisaient avant de devenir des Astartes. Mais ils n’ont pas récupérer que leur façon de combattre. Le soir dans la grande forteresse-monastère du chapitre, le Mor Bras (ou Grande Mer en référence à sa situation en bord d’une falaise vertigineuse) de grands rires s’échappent tandis que des surhommes trinquent à la gloire et à la santé de leurs Penns et du plus grand de tous : l’Empereur (« Voui parfaitement, ce n’est pas une erreur de phrase, les Breizh Punishers boivent régulièrement un coup à la santé de l’Empereur en criant ‘Yache’d Mat !’). Jeune chapitre, ces derniers ont leur histoire et leur gloire à créer …


<b>Organisation</b> : L’organisation des Breizh Punishers est directement inspirée du système clanique des habitants de Celtia. Le Chapitre se divise en neuf compagnies appelés Bagadou (Un bagad, des Bagadou) chacune menée par un Penn Gadour et son escouade de commandement (en hommage aux neufs continents ou Bro de Celtia). Le Maître de chapitre est nommée le Penn Rener et est élu par et parmi les Penn Gadour assemblés. Comme dans la société Breizhou, le Penn Rener ne dirige pas seul le chapitre, il le partage à égalité de pouvoir avec l’Archidruide, ce dernier a donc son mot à dire lors de l’élection. Il ne peut choisir le Penn Rener directement mais il peut refuser la candidature d’un Penn Gadour lors de l’assemblée. Il use bien sur de ce pouvoir avec parcimonie et uniquement avec raison. Pour l’instant, aucun Archidruide n’a eu à se servir de ce droit de véto dans l’histoire du chapitre depuis qu’il a adopté cette organisation.


Déviation par rapport au Codex Astartes : Le Maître de chapitre est appelé Penn Rener et les Capitaines de compagnies les Penn Gadour. Le Penn Rener perd le commandement de sa compagnie au profit d’un successeur désigné par lui et ses lieutenants lorsqu’il accède à sa fonction. Les Archivistes du chapitre sont dénommés Druide, en hommage aux anciens Shamans des tribus Breizhou, et sont dirigés par l’Archidruide qui également nommé par les Druides réunis. Les Druides sont libres de choisir eux-mêmes le bagad dans lequel ils souhaitent servir souvent en fonction de leur propre Bro. Il n’y pas de 10ème compagnie au sein du chapitre, les nouvelles recrues sont directement intégrés à leur bagad définitif.


<b>Doctrine de combat</b> : Les implants progénoïdes de Jagathaï Khan poussent les Breizh Punishers à aller de l’avant en toutes circonstances et à abattre le Xénos et l’Hérétique les yeux dans les yeux. Cette tendance est sans doute encore accentuer par le caractère tribal et combatif de leurs racines qu’ont su garder les Breizhou parmi lesquels sont recrutés les futurs marines. C’est pourquoi les escouades principales du chapitre préfèrent combattre avec une arme de combat et une arme de poing (voir deux armes de corps à corps !), plutôt qu’au bolter. Ce qui ne les empêche pour autant pas de toujours avoir leur bolter chargé sur eux ! Ces mêmes escouades ne seront donc jamais accompagner d’une arme lourde, trop encombrante, qui ralentirait considérablement l’escouade et l’empêcherait d’avancer efficacement vers l’ennemi pour l’engager.


A l’inverse de leur chapitre Primogenitor et de la plupart de leurs chapitres successeurs, les Breizh Punishers n’emploient pas de motards en grand nombre. En revanche la moindre escouade de combattant sera pourvue d’un Rhino ou d’un Razorback. Ceci dans le but d’aller, d’une part, au plus vite au contact de l’ennemi, d’autre part, d’effectuer des manœuvres rapides d’encerclement (comme préconisées par le Khan) mais aussi dans le but de protéger la ressource la plus précieuse du chapitre : ses Guerriers.


Au combat, les Breizh Punishers s’appuient en effet sur la férocité et l’expertise au corps à corps de leurs guerriers lancés comme les hordes des guerriers Breizhou de jadis. Embarqués dans (ou juchés sur !) leur Rhino, les Guerriers se jettent sur l’ennemi en hurlant leur cri de guerre de chapitre ou ceux que la mémoire de leurs ancêtres leur soufflent. Pour autant, il ne faut surtout pas les confondre avec une meute de barbares surhumains sans cervelle. Un assaut des Breizh Punishers sera murement réfléchi et inscrit dans le plan de bataille du Penn Rener ou du Penn Gadour et approuvé par le Druide. Ayant analysé les failles de l’ennemi, celui-ci enverra ses hordes sur les points faibles de l’ennemi, menant souvent lui-même l’assaut accompagné de ses meilleurs guerriers. Pendant ce temps, les vétérans du chapitre font parler leurs armes lourdes pour éliminer les cibles blindées menaçant leurs frères plus légèrement armés. Des véhicules de support font feu depuis l’arrière des lignes, les Scouts révèlent leur présence au moment opportun pour faire taire une batterie lourde ou un véhicule isolé pendant que les motards finissent leur manœuvre d’encerclement et que les modules d’atterrissage pleuvent sur l’arrière des lignes ennemies. Malgré leur nature sauvage, les Breizh Punishers restent des Astartes de l’Imperium.


<b>Patrimoine Génétique</b> : Le patrimoine génétique des Breizh Punishers est issu de celui des White Scars connu pour être stable au niveau des mutations avec toutefois la sauvagerie et la soif de combat bien connu du Khan qui se répercute chez ses descendants. Règle à laquelle les Breizh Punishers n’échappent pas.


<b>Cri de guerre </b>: « Breizhou Atao ! Impalaer a-gor Ni !»


« Breizhou toujours ! Empereur avec nous ! »

Voilà le bourzouf.


N'hésitez pas à commenter sur tout (fluff, style, fautes que j'aurais zappée).


Le truc c'est que mes marouales, ben je veux pas les jouer avec le codex V5.


Nan.


Je veux les jouer avec le Codex SW. Parceque vu mes bonshommes, ça colle bien mieux. Les pouvoir des PdR en Druide ça marche très bien, mes guerriers celtes en chasseur gris, bien mieux qu'en 'scouade tactique, etc etc.


SAUF QUE !


Je suis un sentimental alors je m'interdis pas mal de chose dans le Dex SW :


- Pas de Saga. Pour un aucun perso.


- Pas de loups fenrissiens. Ni en meutes, ni en équipement. Rien


- Pas Loup Solitaire.


- Pas de Loup Tonerre.


A but l'armée est en construction donc je passerais peut-être en mode modélisme et présentation malgré mon faible niveau de peinturlure ... Après tout c'est comme ça aussi qu'on apprend. Mais d'abord c'est le fluff qui m'intéresse pour savoir où je vais.


Vala le topo, à vos flingues les cocos. Et merci d'avance !