[Sandgrave] Dans la mastaba, personne ne vous entendra crier...

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Allez, une petite intro :

Il y a un ou deux  ans de ça, j'ai eu une vieille passion enfouie pour l'Égypte Antique (historique, fantasmée et fantastique) qui est remontée à la surface de mon esprit. Je me suis mis à relire des livres sur l'Égypte que j'avais laissés dans les cartons après plusieurs déménagements. Puis l'éditeur d'un célèbre jeu de cartes à base de magie et de rassemblement a sorti une édition sur le thème égyptien (Amonkhet) alors que pourtant je ne jouais plus à ce jeu depuis longtemps. Et enfin des figurines d'égyptiens, ça et là sur les boutiques internet, se sont mises à m'adresser des clins d'yeux aguicheurs. Bref, il n'en fallait pas plus pour me faire craquer.

Suite de l'histoire : je demande conseil sur le forum de Warmania pour savoir quel système de jeu serait le plus adapté pour pousser de l'égyptien sur la table. Parmi moult propositions, quelqu'un (Ajax/Cyrus33 si ma mémoire est bonne) me suggère de prendre Frostgrave, de l'adapter un chouïa et d'appeler ça Sandgrave. Ni une, ni deux, je me procure le bouquin de Frostgrave chez mon crémier pour bouquiner ça. À la lecture des règles, je me dis tout haut : « Parbleu, c'est de la bonne came. »

J'annonce donc à mes amis : « On va jouer à Frostgrave, mais je vais égyptianiser tout ça ! »
On garde les règles, mais le décor change. Hop, un coup de réchauffement climatique pour faire fondre la neige. Plusieurs bennes de sable pour recouvrir tout ça. On plante des palmiers ici et là. On grave des hiéroglyphes sur les ruines tandis que les figurants zombies sont emmaillotés dans des bandelettes. Puis les techniciens, les maquilleurs et les accessoiristes se retirent du champ et la caméra est prête à tourner.

Ça nous donne Sandgrave (ou en tout cas ma version à moi).




SANDGRAVE

-Escarmouches dans les tombeaux ensablés-

« Préparez les bandelettes et les vases canopes, nous avons des visiteurs... »

[Image: 1_marca_del_este_by_charro_art-d6ms7et.jpg]

Présentation

Quelque part au milieu d’un immense désert de sable et de roche, une pyramide gigantesque semble vouloir atteindre les cieux. Cet édifice titanesque domine une région autrefois prospère et peuplée, mais à présent abandonnée et habitée uniquement d’animaux sauvages ou de créatures dangereuses. Tout autour de la pyramide, des ruines s’étendent jusqu’à l’horizon. Là où se trouvaient jadis des palais magnifiques et des temples somptueux, il ne reste désormais plus que des décombres. Ces vestiges sont ceux d’une antique métropole à présent vaincue par la désertification : Horakhis, la cité de la Gloire Éternelle.

Autrefois florissante et prospère, Horakhis était le joyau du continent, la plus magnifique des fleurs du désert. Ses temples et ses bibliothèques étaient réputés au point que de nombreux sages et érudits voyageaient de loin pour venir y trouver le savoir qu’ils avaient cherché durant toute leur vie. Les rouleaux et les ouvrages entreposés dans cette cité contenaient les secrets du monde, des dieux, de la magie, de la vie et de la mort. Les cours des palais étaient peuplées de mages capables de multiples prodiges, animer des statues, converser avec les défunts, ramener un mourant à la vie, lire l’avenir dans les étoiles, etc. Les coffres et les chambres aux trésors débordaient de richesses défiant l'imagination. Des dunes d’or et de rubis. Des jarres remplies de saphirs et d’émeraudes. Des lampes, des bagues et des amulettes magiques contenant des esprits éthérés capables de satisfaire tous les désirs de leur maître. Des talismans qui permettaient à quiconque les portait de commander aux éléments. Des épées enchantées qui se maniaient toutes seules. Tout cela et bien plus encore...

Mais aujourd’hui, Horakhis la plus grande et la plus glorieuse de toutes les cités n’est plus que sable et ruines à l’exception de la grande pyramide qui résiste au passage  du temps. Les habitants ont disparu pour laisser la place à des bêtes sauvages et des monstres féroces. Que s’est-il passé pour que cette cité jadis si prospère connaisse une telle déchéance ? Nul ne le sait. Une catastrophe naturelle a dû ravager la ville, une épidémie de peste a sans doute frappé la population, un dieu a très bien pu jeter une malédiction sur Horakhis, etc. Les caravaniers et les savants possèdent mille et une hypothèses pour expliquer ce phénomène, mais pas l’ombre d’une preuve ou le moindre faisceau d’indice pour étayer ces histoires.

À présent, Horakhis n’est plus qu’un immense tombeau ensablé. Et une autre question demeure sans réponse : que contient donc cette immense pyramide qui trône silencieusement au centre des ruines ?



« On a finalement retrouvé Chédi. Ou plutôt son corps, affalé dans un coin. Du sable s'écoulait de sa bouche, de ses narines et même de ses yeux mi-clos... »

Horakhis, le tombeau des sables

Aujourd’hui, de nombreuses expéditions commandées par des mages venus des quatre coins du monde viennent s’aventurer dans les vestiges d’Horakhis, à la recherche des fabuleux trésors de jadis. Ces bandes disparates installent généralement leurs campements dans les ruines et ou dans le désert. Il est intéressant de noter que si la plupart des aventuriers sont humains, les trésors d'Horakhis attirent également des individus des autres races intelligentes : gnomes, orques, elfes, gnolls, etc.

-les ruines-
Bien que la Grande Pyramide soit immense et visible de très loin, les ruines ne sont pas en reste car l’antique métropole d’Horakhis s'étalait sur plusieurs kilomètres. Et le danger est loin d’être absent car des créatures du désert rôdent au milieu des décombres tandis que de nombreux morts-vivants errent (ou patrouillent ?) dans les alentours. Les ruines sont généralement vides et les trésors sont rares, bien qu’il reste toutefois quelques objets magiques d’intérêt qui ont échappé jusqu’à présent aux convoitises. Le principal intérêt de cette zone sont les points d’accès au labyrinthe souterrain. Ces entrées sont parfois gardées par des expéditions rivales qui n’hésiteront pas à se battre ou à tendre une embuscade pour empêcher leurs rivaux d’accéder aux souterrains.

-le labyrinthe souterrain-
Parmi les innombrables ruines qui entourent la grande pyramide se trouvent des mastabas, des hypogées et d’autres mausolées qui sont reliés par un vaste réseau labyrinthique souterrain qui s’étend sur des kilomètres et des kilomètres. Ainsi il est possible d’entrer dans le dédale en passant par les vestiges d’un temple puis de ressortir par une autre issue dans un palais délabré situé à trois cent mètres de là. S’engager dans le labyrinthe souterrain revient à augmenter ses chances de dénicher des trésors mais cela équivaut en contrepartie à s’exposer à un danger mortel : le dédale est hanté par des créatures redoutables qui n’hésitent pas à massacrer les aventuriers malchanceux. Des malédictions se cachent dans les hiéroglyphes inscrits sur les murs, chaque pas peut déclencher un piège et les morts-vivants semblent plus intelligents, plus habiles et mieux coordonnés que ceux qui déambulent à la surface. Comme si ça ne suffisaient pas, il existe d’autres créatures que les morts-vivants : des monstres antiques montent la garde dans ces lieux, comme des sphinges, des cobras géants et d’étranges chimères. On parle aussi d’assaillants humains qui se seraient ligués avec les morts-vivants. Et enfin certains survivants à moitié hébétés racontent que le labyrinthe change, comme pour mieux égarer les aventuriers.

[Image: c4rd4r7_hyqtcojvax.jpg]
(© Wizards of the coast LLC)

-la Grande Pyramide-
Ce monument gigantesque ne possède pas d’entrée apparente. De nombreux chercheurs ont essayé de sonder les murs à la recherche d’un passage secret, mais en vain… Cependant il existe des rumeurs qui affirment que l’entrée de la Grande Pyramide est dissimulée quelque part au centre du labyrinthe souterrain. Toutefois personne ne peut dire ce qui se trouve à l'intérieur de l'édifice.



« Quand j'ai commencé à inspecter la salle d'embaumement, la première chose qui m'a sauté à l’œil, c'est que celle-ci était parfaitement propre. Pas un grain de poussière. Une légère odeur parfumée flottait dans l'air. Il y avait une grosse quantité de rouleaux de lin sur des étagères tandis qu'une série d'outils métalliques était soigneusement disposée sur la table selon un ordre précis. Je pouvais facilement deviner leurs fonctions : inciser la peau, extraire les organes et les viscères et d'autres joyeusetés du même genre. Tout à coup, j'ai entendu un bruit d'éclaboussures derrière moi : quelque chose s'était mis à remuer bruyamment dans un des bassins de natron... Je n'ai jamais couru aussi vite de toute ma vie. Je ne sais pas ce que ce que c'était et je ne veux même pas y penser. Mais une chose est sûre, je ne retournerai jamais là-dedans. Jamais. »


Voilà pour l'introduction et la présentation. La suite vendredi normalement, avec des photos. Et du pitou, parce que les warmaniens aiment bien les pitous.
(Modification du message : 25-07-2018, 22:08 par le Golem qui rêve.)
Un bon début.
Et tournée d'Oasis pur tout le monde ;-)
Sympa et bravo pour la mise en ambiance ! Je suis exactement dans le même tripe que toi sauf que je transpose ça en mode pulp avec "Chaos au Caire". Depuis quelques semaines je suis sur une pyramide 3d pour mieux convaincre mes collègues de jeu .
(25-07-2018, 21:14)Cyrus33 a écrit : Un bon début.
Et tournée d'Oasis pur tout le monde ;-)

(26-07-2018, 21:23)ALGHEROTH a écrit : Sympa et bravo pour la mise en ambiance ! Je suis exactement dans le même tripe que toi sauf que je transpose ça en mode pulp avec "Chaos au Caire". Depuis quelques semaines je suis sur une pyramide 3d pour mieux convaincre mes collègues de jeu .

Merci ! Smile

Aujourd'hui, début de la présentation de ma bande avec trois criminels venus de la Cité-État d’Asenath, située au-delà du désert d’Horakhis : deux voleurs (Inyotef & Seti) et un brigand (Sabef).


[Image: 20180727-00.jpg]


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Inyotef

« Et maintenant, Inyotef le sceptique, refuses-tu toujours de croire qu'il existe en ce monde des forces supérieures qui dépassent l'Homme ? »
— Djesa la Thaumaturge

Né dans la Cité-État d’Asenath, au sein d’une famille nombreuse et fils d’un modeste tailleur de pierres, Inyotef avait bien des défauts : paresseux, égoïste et dénué de scrupule. Et surtout, il ne croyait en rien. Nulle foi, ni conviction morale ne l’animait. Les décrets des dieux et les enseignements des prêtres ne l’impressionnaient guère. Il ne se sentait pas non-plus concerné par les lois de la société. Pour lui, toute ces choses-là n’engageaient que ceux qui étaient suffisamment crédules ou impressionnables pour y adhérer. Pour Inyotef, seules les choses palpables et tangibles existaient, le reste ne comptait pas.

Son caractère ne plaisait guère à son père, artisan honnête qui ne jurait que par l’amour du travail bien fait. Mais les innombrables punitions ne firent rien pour changer son fils, si bien que quand Inyotef fut assez grand, son père le chassa de la maison. Il avait de toute façon d’autres enfants à élever et n’avait plus de patience à consacrer à ce bon-à-rien. Inyotef ne fut ni triste ni en colère, il acceptait d’être tout simplement renié car ça n’avait aucune importance pour lui. Il commença sa nouvelle vie en volant de quoi subsister et en dormant à la belle étoile ou dans une cachette. Il se mélangea aux bas-fonds de la cité, frayant avec les prostituées, les escrocs et les criminels qui lui ressemblaient. Mais après plusieurs années, cette vie ne le satisfaisait plus car elle n’était pas assez confortable à son goût. Pour améliorer son niveau de vie, il se mit en tête de convoiter des richesses inexploitées qui n’attendaient que lui, à savoir les trésors avec lesquels les nobles se faisaient inhumer. C’est ainsi qu’Inyotef devint la lie des parias : un pilleur de tombes.

Étonnamment, cette nouvelle vocation obligea Inyotef à devenir plus méthodique et rigoureux qu’il ne l’avait jamais été auparavant. Cela s’expliquait par le fait que profaner une tombe était le crime le plus grave que l’on puisse commettre à Asenath et quiconque s’y risquait encourait la peine de mort. Pour éviter de faire attraper, Inyotef ne devait donc rien laisser au hasard. Grâce à des plans minutieusement préparés, il parvint à piller à lui seul une demi-douzaine de tombeaux en moins d’un an sans jamais se faire prendre. Mais s’il était doué pour voler, il l’était moins pour écouler sa fortune discrètement. Des amulettes et des bijoux sacrés furent retrouvés sur le marché noir et de fil en aiguille, les gardes de la cité parvinrent à remonter jusqu’à Inyotef. Pour échapper à la justice, il n’eut pas d’autre choix que de s’enfuir de la ville. Par un incroyable hasard, il croisa une expédition commandée par une mystérieuse magicienne qui recrutait justement des hommes prêts à s’aventurer dans les ruines d’Horakhis, la cité fantôme. Inyotef sourit devant cet énorme coup de chance et s’engagea aussitôt dans la bande.

[Image: 20180727-07.jpg]

« Je savais bien que c’était trop beau pour être vrai ! » s’exclame Inyotef qui vient de se retrouver nez à nez avec une momie hostile. Il se demande à présent ce qu’il est allé faire dans cette galère…



[Image: 20180727-01-sabef.jpg]

Sabef

« Ma maîtresse a été assez miséricordieuse pour te donner une deuxième vie. Ne la gaspille pas. »
— Hameti, disciple de la Thaumaturge

Sabef est un homme sans pays. Son père était un nomade du désert et sa mère une esclave fugitive. Mais il avait peu de souvenirs d’eux : ses parents avaient été tués lors d’une attaque de bandits quand il était petit. Tout comme d’autres enfants et adolescents, Sabef fut capturé par les brigands et forcé à travailler pour eux. Il devait effectuer des corvées pénibles et se faisait battre si le travail n’était pas fait correctement. De temps en temps, quand les bandits devaient faire profil bas, ils envoyaient Sabef et les autres enfants gagner de l’argent en mendiant dans les rues des grandes cités, sachant que ceux qui ne ramenaient pas assez de pièces étaient bons pour recevoir des coups de bâtons.

Quand Sabef fut suffisamment grand, son rôle changea. On lui confia une arme de mauvaise facture et on lui inculqua quelques rudiments du combat. Les consignes étaient claires : il était temps pour lui de mériter sa pitance en participant aux attaques contre les convois de marchands et de nomades. Sabef était à présent devenu comme ses ravisseurs : il faisait partie des bandits et pouvait rosser les gamins quand ceux-ci ne ramenaient pas assez d’argent ou ne travaillaient pas bien. Il n’y prit aucun plaisir, mais il lui paraissait logique d’endurcir les gosses pour les préparer à ce qui les attendraient quand ils auraient grandi à leur tour. Il ne pouvait rien faire de plus eux. Au fil des années la troupe de bandits changea de chef plusieurs fois. De nouveaux visages apparaissaient au sein de la bande tandis que d’autres décédaient tout simplement. Certains mouraient au combat tandis que d’autres succombaient à la soif ou aux maladies. Cette vie était rude mais c’était la seule que Sabef connaissait. Jusqu’au jour où les brigands tombèrent dans une embuscade tendue par des soldats de la Cité-État d’Asenath.

Le combat fut bref et très peu de bandits réussirent à s’enfuir. Sabef était parvenu à s’échapper en se réfugiant dans le désert, mais pas sans se faire toucher grièvement par une flèche dans le dos. Trois heures plus tard, il s’effondra dans le sable, accablé par la soif, l’épuisement et la perte de sang. Deux vautours planaient déjà au-dessus de lui en traçant des cercles funestes dans le ciel, attendant qu’il pousse son dernier soupir. Il aurait dû mourir à ce moment-là, mais il n’en fut rien. Par chance, une magicienne l’avait trouvé. À l’aide de son art, elle empêcha le kâ du bandit de partir vers l’au-delà et elle lui rendit son souffle vital. Grâce à cette intervention miraculeuse, Sabef avait eu le droit à une deuxième vie et il la devait à Djesa la guérisseuse. À la fois reconnaissant et méfiant vis à vis de sa sauveuse, il accepta avec hésitation la proposition qu’elle lui fit : devenir un de ses serviteurs et l’accompagner dans son expédition vers Horakhis, la cité légendaire.

[Image: 20180727-02.jpg]

Sabef essaie de maintenir à distance deux lions squelettes qui l’ont acculé contre le rebord d’un puits.



[Image: 20180727-05-seti.jpg]

Seti

« Hein, c'est à Horakhis qu'on va ? Et vous ne me le dites que maintenant ?! »
— Seti la voleuse

Fille d’un marchand bourgeois, Seti naquit dans la Cité-État d’Asenath. Elle vécut à l’abri du besoin, sans jamais manquer de rien, entourée de serviteurs et d’esclaves. Mais sa vie prit un tournant inattendu quand son père fit faillite à cause de mauvaises décisions et de coups de malchance. Et les dettes s’accumulèrent, si bien que le père de Seti disparut un jour sans laisser de traces. S’était-il enfui pour échapper à ses créanciers ? Avait-il été assassiné discrètement par un ex-associé mécontent ? Seti ne le sut jamais. Toutefois elle se retrouva seule. Ses serviteurs, n’étant plus payés, avaient pris congé depuis longtemps. Sa mère était morte quand elle n’était qu’un bébé. Et pour couronner le tout, le reste de sa famille la considérait comme une paria, comme si le fait d’être devenue pauvre était uniquement de sa faute.

Plutôt que de devenir une domestique, une concubine, ou pire, une esclave, Seti décida qu’elle ne souhaitait dépendre de personne : ni de ses oncles et tantes, ni d’un éventuel employeur ou d’un maître. Son indépendance passait avant tout, c’est pourquoi elle devint une voleuse sans attache et libre comme l’air. Elle gagnait sa vie au jour le jour en faisant les poches des riches marchands ou en cambriolant les maisons de bourgeois, à commencer par les anciens associés de son père. Néanmoins cela ne pouvait durer éternellement et Seti finit par être identifiée et recherchée comme une criminelle par les gardes.

Afin de s’éloigner de la province d’Asenath et de se faire oublier pendant quelques temps, elle se fit recruter par une mystérieuse magicienne du nom de Djesa qui partait en expédition dans le désert. Seti comprit rapidement que si son employeuse semblait facilement disposée à fermer les yeux sur les anciennes activités de la voleuse, c’était parce que l’expédition se rendait dans un endroit où le passé de Seti n’aurait aucune importance : Horakhis, la cité maudite.

[Image: 20180727-03.jpg]

Tandis que ses compagnons sont menacés par des mort-vivants, Seti, elle, a trouvé le trésor. Mais réussira-t-elle à le ramener ?
Super rendu des photos, ça claque !
Comment as-tu construit ton "donjon-pyramide" ?
Même question que le me du dessus et les figs c'est du crocodile games ? Toujours aussi sympa de te lire.
Le donjon provient de chez Lunesdargent Workshop ; j'ai participé à leur premier KS pour recevoir des sets de tuiles prêtes à peindre, puis à leur deuxième KS pour avoir les fichiers 3D à imprimer afin de compléter ma collec'. D'ailleurs puisque j'en parle, l'imprimante 3D d'un pote tourne quasi en continu depuis quelques jours...

Les figurines, quant à elles, viennent de chez Dark Fable Miniatures. Ils ont une flopée d'égyptiens en stock (ainsi que des orques et, euh... des bunny girls si ça vous branche). Après il y a du bon et du moins bon dans leurs figurines, c'est un peu inégal je trouve. D'ailleurs ce sont les soldes d'été chez DFM en ce moment.

J'ai également figurines de Crocodile Games et de Reaper en stock pour Sandgrave.

@ALGHEROTH : d'ailleurs si tu veux faire des aventures pulp en égypte, cette gamme de figurines chez Wargames Foundry pourrait t'intéresser (si tu ne la connais pas déjà bien entendu).
(Modification du message : 28-07-2018, 14:07 par le Golem qui rêve.)
Ben beau projet. Joli trip. Tu vas en convaincre des gens...

le squat
un zoeil par ici
Ah malheureux qu'à tu fais en me faisant voir cela ! Les arabes feront de très bon medjaiis et les prêtres TT . Je le redis mais ton dungeon est terrible ! Tu es d'où par hasard ^^ .
Vraiment sympa tout ça. ^^ Ça rend super bien.

(28-07-2018, 09:03)Cyrus33 a écrit : Super rendu des photos, ça claque !
Comment as-tu construit ton "donjon-pyramide" ?

Si ça t'intéresse j'ai participé au KS...

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