A prendre au global, il faut relativiser :
- les coûts en matière première type flotte et tout : c'est un peu comme la bouffe. C'est vrai que la viande ou le maïs demande de la flotte et de la place. Mais en règle général, c'est produit dans des pays ayant ces ressources. Du coup, ça va
- les coûts en pétrole : on peut partir qu'un jour on consommera toutes les énergies fossiles de cette planète. En promouvant un produit à base de plastique, vous ne faîtes qu'avancer la date. Et donc pousser les grosses boîtes à sortir les solutions durables 2.0 du futur. Vous êtes limite écolo.
- le foutoir sur le dos : vous pouvez le stocker de manière simple. Vous apprenez qu'un copain refait sa dalle en béton ? Renforcez son machin (clandestinement) avec vos pochettes et cartons, et hop ! Vous avez un peu de place ? Alors direct au compost, et on verra bien
- les conditions sociales : la triste vérité, c'est que le gars exploité, il est bien content de l'être. Il vient généralement d'un pays bien moins riche et ce job lui permettra de renvoyer du pognon au pays, permettant les soins de la famille et l'école aux enfants.
En fait voilà, notre hobby est "pas si pire" : au fond, vous ne précipitez à peine l'inévitable, vous ne gaspillez rien d'important (jetez de la bouffe et de l'eau c'est quelque chose, le plastique c'est trivial et tertiaire) et vous ne rendez pas la vie des gens pire.
- les coûts en matière première type flotte et tout : c'est un peu comme la bouffe. C'est vrai que la viande ou le maïs demande de la flotte et de la place. Mais en règle général, c'est produit dans des pays ayant ces ressources. Du coup, ça va
- les coûts en pétrole : on peut partir qu'un jour on consommera toutes les énergies fossiles de cette planète. En promouvant un produit à base de plastique, vous ne faîtes qu'avancer la date. Et donc pousser les grosses boîtes à sortir les solutions durables 2.0 du futur. Vous êtes limite écolo.
- le foutoir sur le dos : vous pouvez le stocker de manière simple. Vous apprenez qu'un copain refait sa dalle en béton ? Renforcez son machin (clandestinement) avec vos pochettes et cartons, et hop ! Vous avez un peu de place ? Alors direct au compost, et on verra bien
- les conditions sociales : la triste vérité, c'est que le gars exploité, il est bien content de l'être. Il vient généralement d'un pays bien moins riche et ce job lui permettra de renvoyer du pognon au pays, permettant les soins de la famille et l'école aux enfants.
En fait voilà, notre hobby est "pas si pire" : au fond, vous ne précipitez à peine l'inévitable, vous ne gaspillez rien d'important (jetez de la bouffe et de l'eau c'est quelque chose, le plastique c'est trivial et tertiaire) et vous ne rendez pas la vie des gens pire.