J'ai réussi à faire une faute dans le nom de mon propre personnage...
Je remet son petit texte de présentation ici, que j'avais déjà présenté ailleurs.
Zurbogh la nécromancienne faisait les cent pas au plafond de la bibliothèque de ses quartiers de la tour souterraines de l'aile nord-ouest. Elle habitait le donjon de Bois Flétris depuis plusieurs siècles. Elle même avait oublié la date exacte où le fond de commerce lui fut cédé.
De l'extérieur, un sort ancestrale faisait paraître l'immense donjon labyrinthique comme une bâtisse abandonnée de taille modeste. C'est d'ailleurs principalement pour cette raison que Zurbogh était tombée sous le charme de la coquette propriété. Le donjon était tellement grand que malgré tous ses serviteurs, certaines pièces continuaient de prendre la poussière.
De plus, celui-ci avait une forte tendance à changer de lui même son architecture interne. Mais Zurbogh réussissait toujours à retrouver son chemin, contrairement à Jocelin, le nain zombie coincé depuis cent quatre-vingt trois ans dans une pièce désormais sans ouverture du sixième étage du donjon sud.
De temps à autres, quelques troupes de héros réussissaient par hasard à trouver un accès dérobé et découvraient le donjon qu'ils tentaient de parcourir à la recherche de quelques trésors. Zurbogh en riait bien, profitant de l'occasion pour entraîner et distraire ses serviteurs. Et très peu étaient les héros à en ressortir vivant.
Mais voilà que depuis quelques années, les incursions se faisaient plus fréquentes, et certains héros ressortaient les poches pleines de babioles uniques et précieuses à la valeur inestimable. Et Zurbogh commençait à en avoir ras le turban. Elle se retrouva dans la nécessité d'engager des mercenaires pour pouvoir gérer plusieurs front en même temps et éliminer la vermine envahissante. L'aide de quelques orcs hargneux et de perfides skavens fut la bienvenue. Quelques ajout dans la nourriture et malédiction distraitement dissimulés lui permettaient de les garder sous son contrôle sans avoir à payer un prix trop exorbitant.
Mais bien sûr, cela ne suffit point. Les rumeurs devaient courir, et ces foutus héros et héroïnes affluaient. Le vol de ses pantoufles qu'il avait malencontreusement oublié dans la troisième chapelle fut la goutte d'eau qui fit déborder la cruche. Si les héros voulait venir à elle, elle irait elle-même au héros. Elle réunirait tout ces serviteurs, et entreprendrait de raser toutes les échoppes et tavernes sur des centaines de kilomètres à la ronde. Et rien ne pourrait l'arrêter dans sa quête vengeresse.
Je remet son petit texte de présentation ici, que j'avais déjà présenté ailleurs.
Zurbogh la nécromancienne faisait les cent pas au plafond de la bibliothèque de ses quartiers de la tour souterraines de l'aile nord-ouest. Elle habitait le donjon de Bois Flétris depuis plusieurs siècles. Elle même avait oublié la date exacte où le fond de commerce lui fut cédé.
De l'extérieur, un sort ancestrale faisait paraître l'immense donjon labyrinthique comme une bâtisse abandonnée de taille modeste. C'est d'ailleurs principalement pour cette raison que Zurbogh était tombée sous le charme de la coquette propriété. Le donjon était tellement grand que malgré tous ses serviteurs, certaines pièces continuaient de prendre la poussière.
De plus, celui-ci avait une forte tendance à changer de lui même son architecture interne. Mais Zurbogh réussissait toujours à retrouver son chemin, contrairement à Jocelin, le nain zombie coincé depuis cent quatre-vingt trois ans dans une pièce désormais sans ouverture du sixième étage du donjon sud.
De temps à autres, quelques troupes de héros réussissaient par hasard à trouver un accès dérobé et découvraient le donjon qu'ils tentaient de parcourir à la recherche de quelques trésors. Zurbogh en riait bien, profitant de l'occasion pour entraîner et distraire ses serviteurs. Et très peu étaient les héros à en ressortir vivant.
Mais voilà que depuis quelques années, les incursions se faisaient plus fréquentes, et certains héros ressortaient les poches pleines de babioles uniques et précieuses à la valeur inestimable. Et Zurbogh commençait à en avoir ras le turban. Elle se retrouva dans la nécessité d'engager des mercenaires pour pouvoir gérer plusieurs front en même temps et éliminer la vermine envahissante. L'aide de quelques orcs hargneux et de perfides skavens fut la bienvenue. Quelques ajout dans la nourriture et malédiction distraitement dissimulés lui permettaient de les garder sous son contrôle sans avoir à payer un prix trop exorbitant.
Mais bien sûr, cela ne suffit point. Les rumeurs devaient courir, et ces foutus héros et héroïnes affluaient. Le vol de ses pantoufles qu'il avait malencontreusement oublié dans la troisième chapelle fut la goutte d'eau qui fit déborder la cruche. Si les héros voulait venir à elle, elle irait elle-même au héros. Elle réunirait tout ces serviteurs, et entreprendrait de raser toutes les échoppes et tavernes sur des centaines de kilomètres à la ronde. Et rien ne pourrait l'arrêter dans sa quête vengeresse.