Une fois encore, les gens, il débarque sur la planète en temps que privilégié et lui ne manque pas d'eau. A aucun moment il est dangereux pour lui de faire une ballade de 5 minutes dehors pour aller voir les palmiers.
C'est précisé à de multiples reprises dans le bouquin que les Atréides ont du mal à saisir l'étendue de la richesse que représente l'eau. Dans les expressions ou les coutumes, ils sentent que c'est un point crucial mais ça leur apparait assez éloigné. D'ailleurs ils ont pour la plupart un certain dégoût du "distille" parce que le fait de boire sa sueur, son urine ou ses selles c'est impensable pour eux. Jessica refuse d'ailleurs d'utiliser l'eau du Distille alors que Paul lui s'y met de bon coeur quand s'éveille ses pouvoirs.
Une scène est assez marquante à ce sujet et absente du film (de manière compréhensible) : la coutume Harkonnen de tremper une serviette et la jeter au sol puis la donner aux mendiants afin qu'ils l'essorent (preuve que les riches s'en battent les reins). Un peu plus loin, Paul parle de "noyade" et les gens d'Arrakis présent ne comprennent pas, il est obligé d'expliquer qu'on peut mourir d'avoir trop d'eau.
Le fait qu'ils prennent un peu à la légère, dans le film, le soleil et la chaleur permet de faire un habile contrepoint avec la situation de Paul et de sa mère plus tard. Nonobstant, je vous l'accorde, c'est pas le point le mieux traité du film.
C'est précisé à de multiples reprises dans le bouquin que les Atréides ont du mal à saisir l'étendue de la richesse que représente l'eau. Dans les expressions ou les coutumes, ils sentent que c'est un point crucial mais ça leur apparait assez éloigné. D'ailleurs ils ont pour la plupart un certain dégoût du "distille" parce que le fait de boire sa sueur, son urine ou ses selles c'est impensable pour eux. Jessica refuse d'ailleurs d'utiliser l'eau du Distille alors que Paul lui s'y met de bon coeur quand s'éveille ses pouvoirs.
Une scène est assez marquante à ce sujet et absente du film (de manière compréhensible) : la coutume Harkonnen de tremper une serviette et la jeter au sol puis la donner aux mendiants afin qu'ils l'essorent (preuve que les riches s'en battent les reins). Un peu plus loin, Paul parle de "noyade" et les gens d'Arrakis présent ne comprennent pas, il est obligé d'expliquer qu'on peut mourir d'avoir trop d'eau.
Le fait qu'ils prennent un peu à la légère, dans le film, le soleil et la chaleur permet de faire un habile contrepoint avec la situation de Paul et de sa mère plus tard. Nonobstant, je vous l'accorde, c'est pas le point le mieux traité du film.