L'histoire Des Sons Of Arès

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Voilà, un gentil délire écrit avec quelques adhérents à la ligue.


Il n'est écrit ni dans un but de promotion, ni dans un but de propagande, ni même dans un but de lutte contre les ornythorinques.


C'est seulement une franche rigolade mise sous forme d'index astartes, avec les inspirateurs (conspirateurs?) placés dedans, comme autant de marines doux dingues.


Je commence à en avoir une petite troupe d'ailleurs (oui je met ça en figurine, c'est triste hein).


J'espère que c'est un minimum fluff (même néo fluff) et que ça vous détendra.


Si Ezarchiel veut poster ici ses récits ayant pour sujet ce chapitre, je l'invite à le faire sans hésiter, vous comprendrez mieux gràce à cet index astartes.


D'ailleurs ils sont vraiment excellent.


Aller, la bête:


<b>Histoire des Sons of Arès:</b>


Ce chapitre fondé assez récemment a plusieurs particularités. Nous verrons ici ses liens difficiles avec l’inquisition, nous compatirons pour ses scribes, nous comprendrons ses personnalités, son équipement et ses troupes, nous en saurons plus sur les mystérieux discaugures… Et tout et tout.


<b>La création :</b>


Ce chapitre fut fondé sans cérémonie (ou pas trop) il y a pas très longtemps de cela.


Les maîtres de chapitre sont au nombre de deux : le fondateur Castorus Magnus qui a prit sa retraite sur une planète de plaisance et le maître actuel du chapitre, Ratus Magnus (c’est facile de reprendre des morceaux de noms).


Il descend d’un tas d’autre chapitre parmi lequel on trouve les Dark Angels et les Space Wolfs (ou leurs chapitres successeurs, eux n’auraient pas laissé faire ça).


En fait les magos génitors ont bidouillés avec tout ça, et les gènes mutés du canis élis sont entrés en contact avec d’autres inconnus, créant une tare propre au chapitre (qui est d’ailleurs non codex).


<b>La Tare sacré :</b>


Cet implant vient du « bande de tarés ! » prononcé par un genitor en voyant que les marines avaient tous de longues dents et rongeaient frénétiquement tout ce qui passait à portée. En effet ils se reconnurent comme portant une tare sacrée, et depuis ils ont répandu le dogme de la LPR sur leur planète.


C’est bien triste d’ailleurs de constater que leur relique la plus sacré est un arbre à moitié rongé, et leur rite d’initiation, qui se tient dans des abîmes insondables loin des yeux trop curieux des hommes pour que cette horreur impie et sans nom ne leur soit jamais révélée, est tout simplement de donner un bon coup de dent dans le tronc massif (le maître de chapitre l’aurait fait selon la légende).


Ensuite les chapelains discutent pendant des mois de la pureté de l’empreinte, de la symétrie des dents, et des holo-matchs de blood bowl.


Les aspirants marines non dignes sont sommairement exécutés (certain disent laissés en pâture à d’énormes rongeurs anthropophages).


Les autres accèdent à l’armure des chapitres après que tout le monde ait chanté « il est des nôôôôôtres-heu… Il a laissé sa marque comme les auuuuuuutres-heu ! »


<b>Le monde d’origine:</b>


Les space marines vivent sur la lune d’Arès, où ils ont fondés leur forteresse dans une curiosité naturelle ressemblant à une noisette.


Néanmoins ils préfèrent se balader sur la planète, monde verdoyant comparé à l’aridité de la lune. Arès est séparé entre des forêts immenses plaines de castors féroces, de rongeurs mutants et de rats géants, et des plaines verdoyantes où vivent des groupes de gentils paysans utopistes, débonnaires, généreux et… non, trop mignons quoi.


C’est pour ça que les marines profitent de leurs excursions pour tester leurs triples ogives thermiques sur ces villages de gens avenants.


Après, c’est des « ‘scusez nous, on pensait pas à mal, mais on ne voulait pas déranger les rongeurs du bois d’à côté, ces pauvres petites bêtes qui vous on bouffé trois hommes trop curieux le mois dernier… »


Evidemment la populace fait profil bas suite à « la destruction par inadvertance d’un village trop hargneux »… Ils avaient en effet « grogné trop forts » selon l’archiviste Apocalipse.


<b>Doctrines de combat et équipement:</b>


Abandonnant l’organisation prescrite par le codex astartes, certaines compagnies présentent des spécifications dans le soutien ou l’assaut, avec plus de troupes spécialisées que la moyenne.


Combattants dans leurs armures tactiques dreadnought, les vénérables vétérans forment la première compagnie, et les scouts la dixième, comme à l’accoutumée.


Généralement, l’armure est blanche et rouge, avec les décorations, les honneurs de batailles, les marquages ou les symboles de QG (comme le crâne du chapelain).


Les marquages des QG spéciaux se portent justement sur l’épaulière droite, la gauche gardant le symbole de chapitre.


Les robes très prisés par les troupes d’élites et les vétérans cacheraient paraît il une déformation grotesque et caudale due à la Tare. Les marines concernés parlent d’un souci d’élégance, les autres ne peuvent pas comprendre.


Pour leur plus grand bonheur, certaines escouades sont spécialisées dans l’utilisation du canon laser et des armes à plasma. Ces formations sont appelées Minus Devus…


Les marquages d’escouades sont d’une complexité aberrante, et il n’est pas rare que le capitaine demande par erreur à des devastators de monter dans un char ou à une escouade d’assaut de tirer au pistolet bolter.


<b>Personnalités du chapitre (et de la 1ère Cie) :</b>


Ratus Magnus : maître incontesté du chapitre, il a lié des liens avec les Golden Eagles. En effet les deux chapitres ont des problèmes avec les différents ordos. On le traîte de mutant, de possédé et de xenos dans les recoins poussiéreux ou les Maîtres se permettent d’en parler.


Il ne part jamais au combat sans une bonne garde, et de préférence quand la victoire est proche.


Un trait commun aux rats paraît il, bien que le maître réfute tous lies avec eux. C’est un marine tout de même !


A noter qu’il combat toujours de la main gauche, au fleuret, avec les yeux bandés et en rigolant… Après avoir fait défoncer les ennemis par ses dévastators.


Ezarchiel : Chapelain supérieur, il a purgé la cité-ruche de Tanatloc après qu’un ignoble culte s’y soit déclaré : le dieu du chaos Bob avait été appelé par le sacrifice d’un castor ! Heureusement, après un jugement expéditif de trente secondes, la cité fut purgé par le feu et accessoirement par la 1ère Cie lors d’une campagne d’extermination de 2 heures.


C’est à la fin de ce massacre que le chapelain déclara « on le savait bien qu’ils n’aimaient pas les dents-longues ici. »


Apocalipse : Archiviste suprême (et champion de compagnie), il tente vainement de compléter sa fameuse bibliothèque des « faits et exploits de nos amis à fourrure ». C’est aussi le gardien du sépulcre où les membres les plus avancés dans leur transmutation (et/ou grièvement blessés) se reposent pour l’éternité dans leurs sarcophages dreadnought. On dit que la robe complète de l’archiviste ne serait pas là que pour représenter sa fonction, et qu’Apocalipse pourrait « finir dans un dread ».


Pouic² : Voir pour cela le chapitre sur les discaugures. C’est le grand techmarine, le seul à pouvoir appliquer les saintes huiles de castor. Détaché par le clergé de Mars, il est aussi chef suprême des discaugures. C’est lui qui a découvert les SCS du célèbre véhicule d’exploration désertique et son moteur à eau. D’ailleurs c’est le seul à l’utiliser.


Estain : L’apothicaire capitaine des troupes d’assaut a été détaché à la première compagnie. Ses hauts faits et ses saintes drogues de castors lui ont valu cette place, mais il s’en est montré digne en sauvant un castor atteint par un bolt lors des batailles des Forêts de Virdia.


Le maître des Ultramarines en a gardé une rancune tenace (il faut dire que lors du sauvetage du rongeur le capitaine de la 1ère Cie des Ultramarine mourrait d’hémorragie) mais Estain regagna en partie son estime avec sa célèbre phrase « moi aussi j’aime les schtroumfs ». Les Sons of Arès en ricanent encore.


Davius : Le Dreadnought vénérable (cette appellation est contestée) a vaincue à lui seul une cohorte de Supers Bobs, les démons majeurs du dieu chaotique mineur du même nom.


La mort d’un titan chaotique et la fuite du reste de l’armée lui sont aussi du.


Utilisant au mieux ses armes, oint des saintes huiles de castor, il est la terreur de la LPR.


A noter qu’il ne vient pas de ce chapitre, mais de celui des Golden Eagles. Peu de gens connaissent le fin mot de l’histoire, mais on parle de dématérialisation Warp, de changement illégal de plaque d’immatriculation et de problèmes avec l’inquisition.


<b>Les discaugures :</b>


Ce sont d’habituels technaugures.


Habituels ?


Non !


Car ces dangereux dissidents sont une plaie pour les disciples de l’omnimessie : Ils réfutent la techno et lui préfèrent la disco !


Lors de leur quête, ces savants découvrirent entre autres les archéo-secrets de la vibro-brochette qui permet d’agresser sauvagement les bouts de viande et le projecteur à panneau solaire qui éclaire parfaitement sous une vive lumière !


Autant de SCS et de reliques qui les rendent intouchables, bien que pénibles et inutile.


Après un obscur incident avec l’inquisition, Castorus Magnus lança à Mars un message astropathique de la plus grande importance. Il était simple : « nous souhaitons que l’omnimessie nous prenne sous son aile, bénie sois le dieu-machine.


Mais l’astropathe bourré (bière de gerbille oblige) envoya un humiliant « les gnous, bisons et ouistitis aiment les abeilles à képis de dentellerie ».


Ce fut bien gênant, car les hauts responsables du clergé mechanicus furent si contrariés qu’ils envoyèrent aux Sons of Arès désespérés le terrible gang des discaugures.


Lors de l’arrivée du vaisseau des discaugures, les plus haut responsables de la LPR étaient rassemblés sur une esplanade sombre dans un silence de plomb.


Quelle ne fut pas leur surprise de voir sortir du vaisseau des types faisant vibrer leur bioniques, écoutant par des vox-diffuseurs une drôle de mélopée leur faisant osciller la tête et tendre les bras pour pointer différentes directions.


L’intérieur même de la nef était baigné dans une lumière colorées changeant sans cesse et dans une ambiance musicale envoûtante, alors que des boules à facettes pendaient du plafond.


A ce moment le maître Castorus Magnus dit cette célébrissime phrase :


-Ca à l’air cool d’adorer le dieu machine…


Depuis les Sons of Arès se coltinent ces doux dingues, et ce n’est pas de tout repos !


Voilààààà...


Je rajouterai peut être un paragraphe (cri de guerre, etc).


Si quelqu'un trouve un rapprochement avec les textes de Yohan, je l'égorge! ^^


Le Rat, pis d'abord j'ai écrit ça avant de le lire.


P.S.: il y a même une référence à un post du Captain ayant pour sujet les déchus, une cacaouhète à qui la trouve. ;)


Je tremble déjà de rencontrer ces dangeureux psycos sur une table de jeu ....


Je dois avouer que même si je suis d'humeur mossade la description de ton chapitre m'a fait pas mal sourrire


Pour l'armée, rien à craindre.


Au rythme ou je vais, plusieurs siècles sont un délai fortr réduit pour affronter ces rongeurs fous furieux!


Sinon je suis content (ouaiiiiis), ça a au moins fait rire quelqu'un. :)


Merci.


Le Rat, et voilà, je n'aurai pas à dépenser de cacahouète...

Wow sa fait longtemps que tu l'as écrit et tu n'as toujours eu qu'une seule réponse? Pourtant ton texte est super! Moi qui fait toujours la gueule sauf devant mes gurines je me suis bien marré. Tu as écrit une suite sur un autre post ou non?

Je me suis bidonné en le lisant.


Petite mise en garde : ne pas lire cela au boulot, on se fait repérer facilement à force de se marrer comme un fou.


J'adore


Un texte excellent ! Une apparence sérieuse, et pis des trucs qui n'ont rien à voir




Citation :A noter qu’il ne vient pas de ce chapitre, mais de celui des Golden Eagles. Peu de gens connaissent le fin mot de l’histoire, mais on parle de dématérialisation Warp, de changement illégal de plaque d’immatriculation et de problèmes avec l’inquisition.

J'adore ! A quand la suite ?