Pain.
Au.
Raisin.
Je veux bien laisser passer les errances de cuistres dont les deviances chocolatiniennes me laissent au final de marbre.
Mais va falloir arrêter de prendre la langue française à la hussarde comme un gros malpropre...
Pain. Au. Raisin. Je veux bien laisser passer les errances de cuistres dont les deviances chocolatiniennes me laissent au final de marbre. Mais va falloir arrêter de prendre la langue française à la hussarde comme un gros malpropre... Oh ! c'est joliement dit, je ne connaissais pas le terme :°) ![]() C'est clair, bande de tordus ? [img]<fileStore.core_Emoticons>/emoticons/default_biggrin.png[/img] Le point commun c'est que quand on les prends, on a les doigts gluants. [img]<fileStore.core_Emoticons>/emoticons/default_ninja.gif[/img] Je ... que ... ![]() Citation : Rooh j'ai trouvé un mec plus graveleux que moi. Copain ? [img]<fileStore.core_Emoticons>/emoticons/default_biggrin.png[/img] Citation : En même temps vous avez vu la gueule de ce parlement? J'dis ça j'dis rien... Ils ont trouvé que chocolatine c'était pas assez "snackable"? Yslaire, qu'était civilisé du Nord et qu'est maintenant civilisé du Grand Nord http://www.journaldemontreal.com/2017/01...hocolatine (Ça veut quand même dire qu'y a des mecs de nos contrées méridionales qui sont venus EXPRÈS ici se geler les roupettes pour importer en douce leur vocable bucolique). Citation : Y'a une légende à propos d'un bordelais qui aurait fini saoul comme cochon dans la cale d'un navire à destination du Québec. Certains disent qu'il n'a survécu à la traversée que grâce au troupeau de chèvres avec qui il partageait sa cale. Ces animaux lui aurait permis de satisfaire ses besoins de base (boire, manger, baiser) pendant toute la traversée. Une fois arrivé au Canada, il aurait cherché un moyen de rentrer chez lui mais ne trouvant pas d'emploi (sont pas cons les canadiens, ils vont pas embaucher un mec du sud-ouest), il se serait lancé dans la fabrication de "chocolatines" à base de farine douteuse (piquée dans le repas donnée aux chèvres durant la traversée) et d'un ersatz de chocolat sorti d'on ne sait où (espérons que ce n'est pas du cul des chèvres). Le produit aurait connu un certain succès auprès des rudes trappeurs du grand nord même si certaines mauvaises langues insinuent qu'un quart d'heure privé avec une chèvre était offert à l'achat de 3 chocolatines. Le bordelais aurait ainsi fait fortune et serait resté sur place où il aurait laissé une progéniture qui quelques générations plus tard aurait migré vers le sud et les USA. La légende raconte aussi que l'homme s'appelait Daniel Trompe mais le nom de famille se serait anglicisé par la suite. Citation : Copain [img]<fileStore.core_Emoticons>/emoticons/default_biggrin.png[/img]! Une autre pour la route: Schneck, une affaire de goût [img]<fileStore.core_Emoticons>/emoticons/default_rolleyes.gif[/img]! Citation : Zut, je l'avais sur le bout de la langue celle-là. |