Je n'ai pas lu le livre ni vu le film des années 80, tout ce que je savais de Dune c'était "épices" et "vers des sables" ^^
Merci beaucoup pour les explications, globalement y a quand même 2-3 trucs qui mériteraient d'être explicités, surtout sur l'épice qui sert un peu de macguffin pour le moment (on nous dit que c'est indispensable, c'tout).
Voilà j'ai envie de le re-re-re-relire. Bravo.
Sans épice point de voyage spatial donc point de commerce et d Empire etc...
La fin de la civilisation galactique.
Tout ceux qui ont vu le film sans avoir lu le livre ont plein de questions frustrantes.
Tout est logique dans les bouquins c est d ailleurs le génie d Herbert.
Ça fait un moment que j'ai pas lu les livres, corrigés moi si je dis une bêtise:
Citation :L'épice permet les voyages spaciaux, ok mais on sait pas comment ? Ils sont rapides ou pas ? La famille Atréides ils ont 2h, 2 jours, 2 mois de trajets pour aller sur Arrakris ? J'aurai bien aimé un peu de détails.
Ça c'est dit. Les navigateurs de la guilde ont besoin de l'épice pour développer et stimuler leurs faculté à voir l'avenir. Cela leur permet de définir les trajets sûr.
Dans l'univers de Dune, le problème du transport n'est pas de construire et faire marcher un vaisseau interstellaire PRL (l'investissement est colossal mais la technique connue) c'est de s'assurer que celui-ci arrive à bon port. Avant la guilde et l'épice, l'humanité se déplaçait déjà l'espace mais quand d'un coup tu passes de 15% de naufrage à zéro... On comprend vite comment elle est devenue indispensable 10000 ans plus tard.
Je ne me souviens plus si l'auteur donne des délais pour les voyages. De toute manière ce n'est pas le facteur important. Ce qu'il faut, c'est que la guilde daigne te transporter: ce qui veut dire la contacter, entamer des négociations, disposer de fond colossaux et organiser ta logistique d'embarquement et surtout qu'un vaisseau soit disponible (soit parce que c'est une liaison régulière soit parce qu'on le fait venir exprès).
Citation :La grosse ville du désert, elle est vraiment peuplée ? J'ai pas bien compris ça, on dit que sur Arrakris il y a les Fremens trop mystérieux qui vivent cachés, alors c'est qui ceux qui accueillent les Atréides ? Des fremens modérés ?
A l'échelle de Dune Arrakeen est une grande ville mais c'est relatif vu le contexte. Pour les habitants d'Arrakeen, c'est un mélange de fremen et d'immigrants/colons.
Citation :On passe tout le film à dire "oulala y fait chaud attention" et les gars se promènent pépouzes à l'extérieur ou dans le désert (dans la première moitié), surtout lors de la scène des palmiers. J'ai pas compris.
Arrakeen est dans l'hémisphère nord de la planète. Elle tient plus de Paris que du Caire. Par contre, je comprend pas à quoi tu fais référence sur les mecs qui se baladent tranquillement dans le désert... Soit c'est très temporaire (défilé militaire à l'atterissage des Atréïdes) soit ils ont des distilles...
Citation :Le plan du Bene Gesserit, je pense qu'il aurait été pertinent de faire comprendre que c'est sur du long terme. Quand Charlotte Rampling dit "on vous a préparé le terrain" ça donne un peu l'impression qu'ils ont distribués des flyers deux semaines avant.
Sans spoiler mais ça sera plus mis en avant après. Et puis pour une institution millénaire qui planifie la reproduction des maisons nobles génération après génération, on se doute bien que quand elles font un truc, elles le font en profondeur et qu'ils ont pas éduqués les freemens en colonie de vacance pendant l'interrègne sur la planète...
Citation :Maman Atréides qui maitrise le chef des Fremens en 2 coups de cuillère à pot, mais laisse son fils risquer sa vie juste après ? Elle pouvait pas s'en sortir toute seule ?
Déjà, ni elle ni Paul ne comprend que c'est un duel à mort (Dans l'empire, ça se pratique aussi mais dans des cas bien plus particuliers). En général, c'est comme nos duels Européens qui se faisaient très majoritairement au premier sang. D'où le fait que Paul enrage son adversaire sans le vouloir en lui demandant de se rendre.
Le film souligne aussi que se sont les freemens qui refusent la participation de Jessica: elle est ne peut pas participer à un combat à cause de "ses pouvoirs de sorcière". Ce serait tricher (pour un rituel sacré c'est pas top) et comme c'est un combat à mort tu peux pas lui demander de se contenir... Dans le livre et d'autres versions, Paul est plus directement la cible du freemen querelleur.
J'aime bien cette variante parce qu'elle met en avant le fait que Paul cherche à s’intégrer en se proposant et ainsi résoudre un problème posé par la coutume. Seulement, à cause de nos propres stéréotypes, on peut le mésinterpréter comme un réflexe de protection machiste.
J'en profite pour conseiller un bouquin de vulgarisation scientifique très bien fait sur l'univers de Dune: "Dune Exploration scientifique et culturelle d'une planète-univers" chez Le Bélial.
(Modification du message : 28-09-2021, 00:46 par Jaguar_Flemmard.)
Alors oui c'est dit "L'épice sert à définir des trajets sur" mais si tu connais pas l'univers tu te demandes comment. A aucun moment on parle des navigateurs de mémoire.
Se balader à l'extérieur, j'exagère, mais la scène des palmiers, on a un local tout protégé par sa tenue qui fait à Paul "ohlala attention fait chaud" et Paul, sans lunettes de soleil ni goutte de sueur qui tape la discute tranquille. Il porte peut être une distille, mais il me semble qu'à ce moment du film elles n'ont pas été introduites, je peux me tromper.
Oui le Bene gesserit ne fait pas dans le club med, mais leur plan est ""révélé"" en un dialogue assez court, entre Jessica et Miss Rampling, de mémoire elle lui reproche surtout d'avoir eu un fils au lieu d'une fille et dit vite fait qu'elles ont préparé le terrain. C'est vachement flou si tu connais pas déjà le plan. De même, quand à l'arrivée sur la planète Paul est acclamé, moi j'avais compris que le bene gesserit s'était appuyé sur une croyance lointaine pour dire "le mec qui arrive bientôt, c'est lui l'élu", pas que l'organisation avait tout planifié du tout début.
Il ne comprends pas que c'est un duel à mort, même avec sa vision ? Je sais pas, en tant que spectateur ça me paraissait limpide. De mémoire, le film passe assez rapidement sur le choix de Paul, c'est un peu "Elle t'a battu donc c'est elle que je dois affronter.... oh elle a un champion", j'ai peut être loupé une ligne de dialogue, mais je me souviens avoir réagit à ce moment là en me disant que c'était un peu étrange.
Je peux avoir loupé/oublié des infos bien sur, je l'ai vu une fois, il fait 2h30, ce qu'on t'introduit à la 3ème minutes c'est pas dit que ça reste dans la tête une semaine après l'avoir vu.
Ah par contre, Zendaya, pfou c'est lourd ces rêves. Ils reviennent tous les 4 matins, je veux dire, la scène d'exposition est avec cette fille donc on sait qu'elle existe, et à partir du premier rêve on connecte assez facilement que Paul va la rencontrer. Nous le rappeler toutes les demies heures (dans des scènes façons pub de parfum) je ne pense pas que ce soit très nécessaire.
Et les 2 secondes où on voit un mec surfer sur un ver ? WTF ? C'est tellement dommage de "spoiler" la suite si c'est pour rien n'en faire dans ce film. On en parle pas, on l'a montré et... c'tout.
Tant que j'y pense, y a deux petites déceptions qui me reviennent :
- sur les couteaux des fremens, a première fois qu'on en voit un on se dit que c'est une relique importante, et puis en fait tout le monde en a. Ça parait logique aussi, vu que quand un ver meurt, il fournit de quoi faire des couverts pour la moitié de la planète, mais ça m'a fait bizarre.
- ok les boucliers individuels obligent de se fritter à l'arme blanche, mais est-ce que pour autant il faut s'équiper de couteaux de cuisines et se battre sans aucune formation ? On a juste les défenseurs de l'escaliers à un moment qui montrent une vraie technique intéressante, sinon une bataille c'est mille duels en fait.
Merci encore pour tout ces détails, évidemment ici je déblatère tout ce qui m'a interrogé/déplu, je tiens à rappeler que j'ai aimé ^^
(Modification du message : 28-09-2021, 01:15 par Slagash.)
Mais tu as raison car tu n'as pas tort
Tout à fait mon ressenti mais bon comme j'ai vu le premier film, forcément j'avais les réponses.
Mais j'ai trouvé ça long pour le peu d'explicitation de l'univers.
Citation :Ah par contre, Zendaya, pfou c'est lourd ces rêves. Ils reviennent tous les 4 matins, je veux dire, la scène d'exposition est avec cette fille donc on sait qu'elle existe, et à partir du premier rêve on connecte assez facilement que Paul va la rencontrer. Nous le rappeler toutes les demies heures (dans des scènes façons pub de parfum) je ne pense pas que ce soit très nécessaire.
De mon point de vue, Dune c'est philosophique plus que de l'action pure. Donc oui il y a des passages lent, qui pose une ambiance, qu'on aime ou pas, et un rythme, là encore lent, mais pas inintéressant.
Citation :Et les 2 secondes où on voit un mec surfer sur un ver ? WTF ? C'est tellement dommage de "spoiler" la suite si c'est pour rien n'en faire dans ce film. On en parle pas, on l'a montré et... c'tout.
De ce que j'en sais, ce n'est pas n'importe qui, qui les chevauche. Je comprends ça comme : T'es un vrai guerrier fremen quand t'as chevauché un ver des sables.
Citation :- sur les couteaux des fremens, a première fois qu'on en voit un on se dit que c'est une relique importante, et puis en fait tout le monde en a. Ça parait logique aussi, vu que quand un ver meurt, il fournit de quoi faire des couverts pour la moitié de la planète, mais ça m'a fait bizarre.
Peut-être que pas tout le monde, on a vu uniquement des guerriers Fremens en porter. Voir ma phrase ci-dessus.
Aller j'y vais aussi de mon grain de sel ^^
A titre liminaire : je n'ai jamais JAMAIS lu les livres (si si ^^') mais j'ai toujours eu envie de m'y plonger vu tout le bien que j'en ai toujours entendu depuis des années.
J'ai vu plusieurs fois le film de 85 : quand j'étais gamin puis adulte. Il m'a beaucoup marqué suivant ce qu'on considère :
- les musiques parfois très aériennes qui m'ont rappelé un peu le Blade Runner premier du nom
- l'ambiance plus que méga-malsaine des Harkonnen : on dirait la fin de race des Weasley de Harry Potter ayant viré dans un trip snuff-incestueux non stop avec une violence ultra-débridée à tous les étages... A opposer aux Atréides qui semblent bien propres sur eux mais qui ont également pas mal intrigué au cours des siècles.
- l'imperium qui intrigue encore plus que tout le monde juste pour garder le pouvoir
- les paysages à tomber
- le Bene Gesserit et la guilde des voyageurs qui rajoutent leur bordel au merdier général ^^
Je ne suis pas ultra-fan donc je suis allé voir (tout seul) ce film (en VO, pluss mieux) en touriste : je n'ai pas spécialement suivi les infos de son développement/teasing et je ne savais même pas que c'était une première partie ni qu'il durait 2h30. Un vrai touriste je vous dis ^^'
J'ai été absolument emballé.
- Les musiques, très différentes de 85 mais qui ont leur propre spécificité et sont très bonnes
- les paysages... Bon ok surtout le sable et les étendues désertiques... Mais ces paysages... wouahou !! ^^
- le rythme lent. C'est pour moi ZE bon plan : cette lenteur quasiment contemplative me donnait l'impression que l'univers écrasait de toute son importance l'humanité. Que pendant que les hommes se livrent à leurs petites chamailleries pour savoir qui se fera le plus de pognon et qui sera le pluss'trotro fort, les mers continuent de battre paresseusement les rivages, les sables sont maîtres partout et la chaleur met tout le monde d'accord...
Clairement, si on va au cinéma en espérant se retrouver devant un énième marvel à base de "grosse mandale/blague pouët-pouët-tagada/scène acrobatique avec vue sur des roploplos-cucu de Black Widow", on en sera un peu pour ses frais... On n'était pas nombreux dans la salle (une quinzaine) mais au début, 4 ados d'une quinzaine d'années, purs produits absolument cliché de notre société moderne (comprendre fringués uniquement avec de la marque, smartphone greffé à la main en permanence et absolument sans-gène) ont débarqué... Et non pas cessé de bavarder avant-pendant et après le début du film... A tel point qu'un mec s'est levé pour aller les engueuler... Et même s'ils ont tenté quelques bravades ("oué 'azy ça va reste cool quoi")... Ils se sont finalement levés et se sont barrés au bout de 40 minutes XD
- On a évoqué le caractère très dépouillé des habitations... Pour ma part, j'ai bien aimé car ça m'a rappelé l'esthétique japonaise (^^) : pas de place pour les fioritures qui encombrent les murs et les sols : la richesse et le pouvoirs, ce sont les vivants qui l'incarnent et le font savoir.
- Les personnages qui sont bien entendu différents de 1985 mais qui prennent une nouvelle dimension au milieu de ce dépouillement : les Atréides qui ne savent pas forcément sur quel pied danser (ils savent que la récupération d'Arrakis est un coup de trafalgar de l'imperium... Mais ça représente un joli paquet de pognon quand même ! Donc un pouvoir non négligeable), les Harkonnen qui affichent (pour l'instant ?) beaucoup moins leur sauvagerie mais on sent très bien que les mecs se contiennent à peine, surtout Bautista et mention toute particulière pour le Baron qui a l'air d'être une sacrée araignée tissant ses intrigues dans les ombres... Les fremen qui sont bien loin du peuple mystérieux un brin gentillets en 1985 : ici c'est un peuple mystérieux qu'il ne vaut mieux pas trop chercher non plus, surtout sur leur terrain car ce sont de vrais survivalistes pragmatiques (le coup de "bon ben t'façon, vous êtes des rupins et vous savez pas vivre dans le désert alors on va vous faire une fleur : on va vous buter vite-fait, on va vous siphonner tous vos fluides corporels pour alimenter nos propres réserves et bonsoir chez vous, c'est le mieux pour tout le monde, ne nous remerciez pas, ça s'passe comme ça chez nous"... énorme ^^')... Juste en passant, je les compare un peu aux changement de comportement des elfes sylvains de GW : à l'origine c'était un peu un peuple-fée merveilleux assez sympa mais pas trop... Puis ensuite ils sont devenu un peuple plutôt dangereux qu'il valait mieux laisser tranquille, déchiré par des luttes intestines) etc etc etc...
J'aime beaucoup la prestation de Jason Momoa qui n'interprète pas, pour une fois, un gros bœuf bas de plafond qui ne sert qu'à montrer ses muscles et s'en servir : on voit plutôt un guerrier qui réfléchit un minimum et qui tente de comprendre son environnement, voire de l'intégrer, tout en restant fidèle aux Atréides... ça change d'un Kal Drogo qui ne fait que la bagarre et la baise en permanence ^^'
Également, j'ai beaucoup aimé la prestation d'Oscar Isaac que j'ai connu avec les nouveaux star wars et qui m'avait laissé assez froid avec son rôle de héros bouffon "pouët-pouët tagada" (oui j'aime bien écrire les pouët-pouët ^^)... Peut être qu'il a aussi joué ce qu'on lui a imposé mais là, pfooouuu... La belle leçon d'acteur jouant un dirigeant de Grande Maison sans cesse torturé par ses devoirs de noble et ses désirs amoureux interdits (il a quand même mis le souk dans les plans du Bene Gesserit, fallait y aller quand même ^^') face aux coups de putes de l'imperium et des autres Grandes Maisons... Surtout qu'il n'a pas de recette miracle à refiler à son gamin pour qu'il prenne la suite... J'ai bien aimé cette vulnérabilité cachée qui est le lot de tout un chacun : "est ce que je suis à la hauteur de ce qu'on attend de moi, aussi bien pour ma famille que pour les autres" ?
Enfin, j'ai vraiment BEAUCOUP apprécié le mélanges des ethnies parmi les acteurs/figurants : là où en 1985 il n'y avait que du caucasien à tous les étages, là on ressent bien le cosmopolitisme de l'imperium et les différences de peuples entre Arrakis et la planète des Atréides par exemple. Cela ajoute à l'exotisme, au voyage et davantage à l'immersion dans le film.
- Les Sardaukars... Houlàààà Alors voilà ce qu'auraient pu être les space marines sans leur armure énergétique... Putain les mecs sont de véritables molosses de guerre qui n'attendent qu'une chose : que l'imperium les lâchent sur leur prochaine proie... La scène où ils se préparent rituellement à partir à la baston... ouch ! Des World Eaters et rien de plus ^^'
- Enfin le jeune couple star de cette nouvelle version : j'aime assez. Bien entendu il fallait qu'ils soient bankables pour plaire au jeune public et tout le reste... Mais j'aime assez leur prestation qui s'inscrit (je trouve) dans la lignée de 1985 : ils ont l'impétuosité de la jeunesse et ils sont désireux de faire leurs preuves aux yeux des ainés (surtout Paul, pour le moment) et fort heureusement on nous a épargné le cliché de la parfaite tête à claques capricieuse qui n'écoute rien et qui agit avec la justesse d'un poulet décapité "passske c'est trotro cool d'être un rebelle" comme c'est devenu un peu trop la mode dans les block-busters commerciaux depuis quelques années (Vous voyez Valérian ? Le "truc" de Cul Besson ? Oh pardon j'ai fait une interversion dans son prénom... Mais je ne vais pas corriger). On sent un Paul qui quitte un milieu très protégé mais dans lequel on lui a visiblement inculqué très tôt ses devoirs : il veut bien faire mais se questionne aussi... A voir avec la fille dans le 2e opus.
Le truc qui m'a laissé sur ma fin : l'épice qui est assez peu traitée (pour le moment ?) : c'est une substance visiblement recherchée par tous et tout le monde, ça rapporte un putain de blé, ça fait un peu planer ceux qui en inhalent... Mais c'est tout ? C'est un peu léger ici... Et corrélativement, la guilde des voyageurs est passée sous silence. Pas de face de cul avec un bec de perroquet qui fume en parlant... Ok, ce n'est pas non plus méga ultime mais j'aurai bien voulu voir le truc remis au goût du jour pour le fun ^^'
Voilà c'était la bonne grosse tartine de Morikun comme vous l'aimez bien ^^'
Serviteur,
Morikun
(Modification du message : 28-09-2021, 11:50 par Morikun.)
En tout cas c’est un film qui s’apprécie en salle avec un bon son Dolby ATMOS , voir IMAX pour ceux qui en ont près de chez eux.
La version VOD/Blue Ray risque d’être moins captivante
Clairement, j'ai pas revu Blade Runner 2049 depuis le ciné par exemple, mais en effet ça doit perdre beaucoup à moins d'avoir une belle taille d'écran chez soi.
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