Ce Qui C'est Vraiment Passé Sur La Barge D'horus

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Tout le monde peut participer à ce récit.


N'hésitez pas à faire mourir des personnages!


J'espère que quelqu'un aura le courage de ce lancer...


Bon, voilà l'histoire: c'est une parodie d'un récit, comme il y en a tant dans les LA et WD.


Le sujet est la mort de Sanginius (et de horus!), vu d'une façon débile/rigolote/ridicule.


Bon, ça commence: (première histoire, soyez indulgent...)


Palais de Terra, salle du conseil, il y a 10 ou 20 millénaires de cela...


Le techmarine baillait et toussotait depuis une heure pour faire comprendre qu'il demandait une audience de l'Empereur.


Mais les guardes Custodes avaient autre chose à faire; ils pariaient


bêtement sur les Titans qui se battaient devant le Palais:


-Dix crédits sur le Warlord!


-Tenu! Euhhh... Ca compte si le réacteur a fondu?


-Bah, le Warlord a été désintegré.


-Non non, les chaotiques tirent toujours dessus...


-Ben oui, c'est le seul qu'ils on détruit alors...


-Et bla bla bla...


N'y tenant plus, le Tech passa la porte.


Un peu plus loin, l'Empereur, Sanguinius et Dorn discutaient tactique.


Voyant entrer soudainement un type avec des cables branché dans la tête, Sanguinius crût au service repas qu'il avait demandé.


-Ah, non, mon boudin n'est pas encore arrivé... dit le noble primarque en se retournant, faisant par la même entrer pour la seconde fois ses ailes en contact avec le fisage de Dorn, enterinant une farouche rancune.


L'Empereur dit soudain:


Voilà, à vous d'écrire la suite!

Bon, ça peut être rigolo, mais par pitié relisez-vous et corrigez votre orthographe quand vous faites un récit ! Je corrige le titre...
Je n'arrive pas à retrouver la micro-nouvelle que j'avais écrite sur le sujet il a quatre ans (je suis tout le temps en train de la re-paumer celle-là.) Si Sle ou Patato l'a dans un coin, libre à lui de la balancer.

-P..... fait attention avec tes ailes tu as faillit éborgner ton frère.


-Mais je l'ai pas fait exprès et pourquoi tu le défend lui?


-Parce que horus m'a trahis et faut bien que je le remplace.


-Ouais c'est un bouche trou!


Dorn excédé répond:


-ta g....e, sale tar...e tu essaye de ressembler à Sheylla avec tes cheveux ou quoi.


l'Empereur en train de péter un cable:


-C'est pas fini ce bordel. On doit faire une stratégie efficace pour protéger l'Impérium et, surtout, moi.

(Modification du message : 06-11-2005, 17:43 par Gandahar.)

Ah ouais ouais alors moi j'ai une blague. C'est Sanguinius et Rogal Dorn qui arrive dans les coursives du Warmaster. Bon. Tout est silencieux et désert et il fait noir. Ils commencent à avancer doucement, tous sens en alerte. Soudain Rogal Dorn qui ferme la marche s'arrête et demande à Sanguinius : "c'est toi qui a pété ?"


...


Vous pourriez faire l'effort de rire bande d'ingrats !


La voilà donc, mail 3457.


***


Les théories les plus extravagantes ont été émises sur les événements


qui se sont réellement produits à bord du Warmaster, le vaisseau amiral


de la flotte d’Horus au moment de l’attaque de la terre par les


renégats. Pourquoi Horus a-t-il abaissé les boucliers du vaisseau,


rendant possible l’assaut de l’Empereur ? Quel a été le rôle de


Sanguinius ? Pourquoi Rogal Dorn est-il arrivé trop tard ? Comment s’est


exactement déroulé le combat opposant l’Empereur à Horus ? Quand est-ce


qu’on mange ?


Les réponses à toutes ces questions (et bien d’autres), les voici :....


Il y eut un éclair de lumière. Puis, au milieu de la pièce dévastée par


les combats, apparurent six silhouettes. Six Space Marines portant


d’imposantes armure terminator d’un jaune doré et flamboyant, six des


plus terribles guerriers que connaissait la galaxie. Le plus grand


d’entre eux n’avait pas de casque. Les traits impassibles de son visage


étaient fins et nobles, mais l’expression de son regard était celle


d’une volonté de fer et d’une foi inébranlable en la victoire. Se


tournant doucement vers ses hommes, il prit la parole :


« Ok, les gars , on est ici pour défoncer la face à l’aut’ pauv’ mec et


j’compte sur vous pour casser la baraque. L’Empereur et mon bon pote


Sanguinius doivent d’jà être en train d’leur fout’ sur la gueule, y a


plus qu’a finir le boulot. On va leur faire cracher leurs dents à ces


fumier ! On va… Bon, v’là l’ plan : Toi et toi, par là ; Toi et toi, par


là ; Les autres, vous m’suivez. Vous cassez tous sur vot’ chemin, j’veux


plus qui reste rien d’bout après vot’ passage sur c’te putain d’ barge.


On s’ retrouve au niveau de la passerelle de commandement. C’est clair ?


»


« Oui, Seigneur Dorn, notre chef bien aimé ! clamèrent d’une seule voix


les cinq marines.


« Bon alors, exécution ! »


« Oui, Seigneur Dorn, notre chef bien aimé ! »


Rogal Dorn chercha dans les yeux de ses hommes ce qui pouvait ressembler


à une marque de réflexion, renonça en soupirant, puis s’enfonça dans les


ténèbres d’une coursive.





« Je suis désolé, messieurs, mais le Seigneur Horus est en conférence


et… »


La balle de bolter fit exploser le crâne de la démonette, la coupant net


au milieu de sa phrase.


« J’aime pas les secrétaires, déclara doctement Rogal Dorn, Elles font


du zèle, elles bossent tout l’ temps et quand il s’agit d’ se détendre,


elles peuvent même pas vous apporter vot’ café ou vous sucer la queue. »


« C’est bien vrai chef, beugla Gabriel derrière lui, Y a plus moyen d’


trouver du p’tit personnel qualifié. On vit vraiment une époque


dégueulasse, hein chef ? »


« T’as tout vu mon pote. Bon d’après moi, la passerelle est juste


derrière c’te porte, là. Evidement c’est bouclé. »


« J’ peux p’t-être y foutre un coup d’ canon d’assaut » suggéra


Léonardus.


« Ouais, bonne idée. Fais moi péter la lourde. »


La porte blindé explosa et l’instant d’après, Dorn pénétrait dans la


pièce. Tout y était étrangement calme, mais l’endroit portait les


marques d’une lutte particulièrement sanglante. Des cadavres jonchaient


le sol. Gravissant les marches qui menaient au poste de commandes, Dorn


découvrit avec horreur le corps mutilé et sans vie Sanguinius. « Quel


gâchis », songea-t-il. Quelques mètres plus loin, gisait celui d’Horus.


Le traître avait finalement payé pour ses crimes. En voulant s’approcher


le primarque butta sur un troisième corps qu’il n’avait pas remarqué


jusqu’alors. L’homme portait une armure terminator blanche et or, et ,


bien que gravement blessé, semblait encore en vie.


« Hé, Raphael… Woooooh, Raf’, j’te cause ! Ouais toi…Pointes-toi voir


ici avec le communicateur ! Allez files-moi ça, demeuré… Quoi, t’est


encore là ? Mais casses-toi maintenant !





…Oui allô, le standard de Maccrage ? Bonjour, ici, le seigneur Rogal


Dorn, primarque des Imperial Fists, je souhaiterais parler au seigneur


Guilliman… Oui, merci, je patiente…


…Allô, Roboute ? Ouais, ça va ma poule ? … Ouais, ben, là tu vois, j’


suis sur le Warmaster… C’est horrible, tu verrais l’ boulot, un vrai


massacre… Hein ? Ouais, tout a marché comme prévu… C’est nous les


patrons maintenant ! »


Alors là , champion ! Respect total ! Mais qui a écrit cette co..... ??? ^^


J'adore le complot , sérieux ...


@+


CyBtI


Citation :Je n'arrive pas à retrouver la micro-nouvelle que j'avais écrite sur le sujet il a quatre ans (je suis tout le temps en train de la re-paumer celle-là.) Si Sle ou Patato l'a dans un coin, libre à lui de la balancer.

et




Citation :La voilà donc, mail 3457.

Tu vois le lien de cause à effet ? :-P


Citation :par pitié relisez-vous et corrigez votre orthographe quand vous faites un récit !

Désolé Mr Gandahar... Je l'refrais plus, c'est promis!


N'hésitez plus, comme Diafwl, à participer! (Eh Zugrub, il y a une section spéciale: blague débile... Bon, pour te faire plaisir: Hahaha.)


La suite:


L'empereur, dans sa folie mégalo, voulait fair exploser Terra pour tuer Horus et un max de chaoteux après c'être lachement enfui en vaisseau de plaisance, mais voyant le prix des explosifs, il décida dans un geste de courage et d'altruisme rarement égalé de défendre... heu... sa propre personne.


Après tout juste 3heures de bricolage dans le cambouis, le téléporteur marche enfin; seulement vla-ti-pas que Sanguinius, entendant un 2657784ème juron du tech, se retourne et appui par mégarde sur le bouton -TELEPORTATION-.


Il fait noir. C'est la première pensée de Sanguinius. Se sentant seul, il se retourne et entend le cri étoufé d'un marine Imerial Fist.


-Mon primarque m'avait bien dit qu'il ne fallait jamais rester derrière vous, dit ce dernier, une aile coincée dans le respirateur.


L'Empereur avancait, faisant avancé devant et derrière lui une bonne douzaine de marines. (et aussi sur les côtés, on est jamais trop prudent...)


Soudain, entendant un bruit, les marines s'arètent.


Tac-tac-tac, fait le bruit.


L'Empereur, toujours persuadé de se trouver dans la cave de son palais, dit à sa guarde:


-Sûrement des souris... Tire d'élimination sur la première venue, au cas oû... mais rien ne vient;


Tac-tac-tac, font en effet les genoux de Dorn en claquant l'un contre l'autre.


-Il y a quelqu'un? N'entendant aucune réponse, il va voir une porte qu'il avait remarqué.


De l'autre côté, des démons jouent au bridge, assis autour d'une table.


Il leur demande leur chemin avant de se rendre compte que se sont des ennemis.


-Pour Dorn! crie t-il avant de se souvenir que c'est lui.


Il les anéanti facilement au bridge, en trichant un peu quand même.


(Bah oui, il allait pas tuer ces pauvres bêtes...)


Les démons jetent quelques dés en forme de crânes, mais ils ratent leur test d'instabilité et disparaissent dans un nuage de fumée.


Soudain, Dorn, rassuré, voit...


A vous de trouver la suite!


- Mais t'es un ptit anus évasé, toi. Et il t'a cru ?


Dorn cracha un grain de poivre de la tranche de saucisson exsudé.


- Ouais, plein pot. Il m'a même dit tout content "Prouvette multi-usages ! J'vas m'faire nommer dictator perpetuus eud Maccrage !". Prouvette, tu parles d'un accent.


- Pfff, quel âne. Il est déjà le maître de son monde paumé, preum's qu'il disait, alors qu'on avait fait demi-tour depuis belle lurette.


- Ouais, mais pas légalement. Il veut de la pourpre, la fumée qui pue, regarder de haut le gars avec sa mitre, tout ça.


- N'empêche que vous auriez pu m'attendre, on avait dit qu'on ferait ça ensemble.


- Et puis quoi encore ?! Tu voulais quoi : tu quoque, mi fili ?! Paraît qu'il l'a dit à Sanguinius, de toute façon.


- T'en sais rien, t'étais même pas là !


- Oui, mais les gars me l'ont raconté.


- Quels gars ?


- Ben, les frères Trebonius, Ligarius, Casca, Tullius Cimber, Brutus Albinus et Marcus Brutus, pardi, ceux qu'ont survécu à Horus et que j'ai buté hier, mais proprement, hein.


- Ouais, j'ai su ça.


- Je ne vois pas comment tu as pu savoir ça, j'ai dit proprement, ça veut aussi dire discrètement.


- Faire presser des citrons par un titan garé au bord de l'astroport, faut être en orbite pour pas les voir. Et puis des tas de gens se sont plaints que ça bouchait les gouttières. Pourquoi tu leur as pas simplement enlevé l'armure et lardé de coups de dague ? Pour ce qu'elles nous servent, et ça aurait fait plus classe.


- Moui, c'est vrai, sur le coup, je n'y ai pas pensé. Mais qu'est-ce que t'as à voir avec les gouttières ?


- Sens du service public : on descendait du thunderhawk, un coup de réacteur dorsal et un gros mollard bien acide, ça va plus vite que d'appeler l'Officio Dime Moderato.


- Pfff, coup médiatique. Facile quand on arrive après la bataille.


- Tout est dans le paraître, Rog', la politique, c'est ça. D'ailleurs le jaune criard, ça fait vraiment nouveau rich...


- C'est jaune canari !!


- N'empêche que t'a pas pensé à grand chose : on avait dit d'envoyer les dragées *en recommandé*. Le bol que le service courrier du Warmaster n'a pas été trop regardant...


- Oui, oui, hé, ho, ça va. Il n'y a que ceux qui font rien qui font rien ; ça a marché : ça lui a fait un effet boeuf, Papa a du mettre le paquet.


- En parlant de Papa, il est où, maintenant, vu que Môssieur Dorn a pas été fichu de l'achever sur place...


- Tu sais le nombre de caméras vidéo qu'il y avait ?!! Il y a des yeux plein les murs sur ce rafiot !! Et t'avais dit toi-même que...


- Je te demande pas si le Warmaster était décoré avec goût, je te demande où est Papa ?


- Tu te souviens du sanibroyeur en or massif de Badab ?


- Celui que Papa emmenait toujours avec lui ?


- Ouais, sous prétexte qu'en tirant la chasse ça faisait des trous dans l'univers matériel. Et ben il s'est assis dessus et a demandé qu'on construise la pompe à rêves autour.


- Tu parles d'une gabegie !


- Tu m'étonnes. On voit que c'est pas lui qui rame pour ramener la thune.


- En parlant de fumée qui pue, tu fumes quoi, là ?


- De l'armageddonienne. Chiant à prononcer, mais vachement bonne !


- Je croyais que ça pouvait rien nous faire.


- Rien te faire. Moi, je me suis fait retirer l'implant cataleptique, comme ça, deux-trois feuilles et hop, pour qui c'est la sieste : pour Bibi !


- Ha, la sieste...


- Ouais. R'marque, c'était vicieux de nous faire prendre la plus grosse murge de notre vie pour tout nous interdire ensuite. J'ai compris Horus tout de suite, moi. Tu continues toujours ?


- Ben ouais, va expliquer à un chapelain que biturer les scouts, ça risque d'entrainer à terme des insatisfactions côté rémunération globale.


- Ah, les traditions...


- Ouais.


- Tu retournes dans ta canine ?


- Au Croc.


- Oui, c'est pareil. J'ai vu quelques uns de tes gars, l'aut' jour. Pas mal les dessins sur les épaulières. Tu veux toujours pas qu'ils apprennent à lire, au moins à compter ?


- t'ai-je déjà dit que toi et chaton el fils de john, vous pouviez vous remettre ensemble ?


- Hin hin, t'emballes pas, Leman, j'disais ça pour causer. Car tu sais pas la dernière ?


- Nan, t'as remis la main sur le vernis à ongles de Sanguinius ?


- T'es bête. Il est perdu à tout jamais, pourtant j'avais dit "pas de lances-flammes !" mais non, rien que pour pisser en chantant "Pompier, tu dors" ! J'te jure, paraît qu'on peut pas renier ses enfants mais ces corniauds là n'ont pas que mes gènes ; il était liposuçant, t'imagines, fini les doigts boudinés !


- Ben ouais, et tes fesses en auraient fait bravo pendant mille ans. Moi j'ai hérité de Lui sa haine des coiffeuses, donc bon, chacun sa mal-lavée.


- N'empêche que, quand j'y pense, j'ai du mal à imaginer : vingt fois, dans vingt éprouvettes, il y a de quoi se luxer le pouce.


- Mouais, faut voir. Moi, je crois qu'il a d'abord voulu se taper une coiffeuse et qu'en voyant, elle a pas voulu.


- Possible. Après tout, on est bien placé pour savoir. C'est dingue quand même, dans l'histoire, jamais autant d'hommes n'auront tant dû leur mort à si une petite ombre.


- Ouais, mais tu connais la consigne : never sport.


- Never sport.


- Bon, alors, c'est quoi la dernière ?


- Ta piaule dans le frigo va bientôt avoir de la visite.


- Ma piaule dans le frigo, comme tu dis, doit beaucoup aux abrutis qui se sont précipités pour modifier le testament. Je comprend pourquoi tu L'as pas achevé, Lui, mais que t'as attendu derrière la porte qu'Il bute le frangin : c'était Horus qui récupérait Terra... Car ça aussi, on n'avait pas dit que c'était toi qui garderait la maison de famille !


- Ho l'aut', hé, il n'y a plus un laser en orbite, faut refaire toute la toiture !


- Tu veux que je pleure ? Bon, alors, c'est quoi la dernière ?


- Paraît qu'Horus s'est fait cloner.


- Quoi ?!! Oh, le sale tricheur... !


- Tu m'étonnes, il n'y a vraiment plus de confiance.


KDJE