De L'aube Au Crépuscule...

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Je crois qu'il n'y a pas grand chose à dire si ce n'est que l'histoire est en plusieurs parties, que je n'attend pas spécialement des commentaires mais si vous voulez faire des remarques, allez-y.


Chapitre 1 ; partie 1


Nous sommes en –2005 du calendrier impérial. Gotrek Brise-Etoile règne sur tout l’empire nain. Celui-ci s’étend alors du nord des « Montagnes du Bord du Monde » jusqu’au sud. Quelques années auparavant, plusieurs colonies s’étaient installer dans les plaines et vivaient du commerce avec les elfes. Les deux peuples s’entendaient bien mais la trahison d’un seigneur elfe déchira cette nouvelle alliance. Les elfes se scindèrent ainsi en trois groupes distincts. Les elfes noirs, corrompu et avide de sang, voulaient détruire alliance des nains et des elfes. Les elfes sylvains, indifférents, partirent au cœur des forêts et le reste devinrent des Hauts Elfes Et depuis, la situation n’a toujours pas changé.


Malheureusement, les elfes noirs attaquent les convois et les villages nains. Ceux-ci ne différenciant nullement les différentes branches nouvellement créées chez les elfes firent de même quel que soit l’elfe en face. Les nains furent donc obligés de protéger leurs convois à l’aide de guerriers.


C’est dans ce climat de peur et de vengeance qu’est envoyé Alrik, héros nain accompagné de Morgrim son second et cousin du roi, loin de leur cité : Karaz-a-Karak. Ils ont pour mission d’aller explorer une grotte qui pourrait abriter des filons très riches d’or et de métaux. Malheureusement, celle-ci se situ à la lisière d’une forêt aussi grande et mystérieuse que l’Athel Loren.


Les éclaireurs ne revinrent pas au bout de l’heure qui leur avait été accordé. Alrik savait qu’ils ne reviendraient jamais. Il avait été envoyé par le haut roi Gotrek Brise-Etoile accompagné d’un Throng capable d’annihiler n’importe quelle armée qui pourrai se présenter sur leur route. Mais les forêts sont habitées par de nombreuses créatures tel que les hommes bêtes ou les gobelins. Et il n’est pas rare qu’à la recherche de nourriture, ils s’attaquent à de puissantes armées. Ainsi, le Throng tombât de nombreuses fois dans des embuscades et l’on pouvait facilement y perdre des nains par centaine. Malheureusement pour le peuple des montagnes, c’est ce qui arriva. Associé à un grand nombre d’incidents, le nombres effrayant d’embuscade avait fini par restreindre la puissante colonne naine à son quart. Alrik continua donc sa mission avec 300 nains, le reste de l’armée étant retourné au Karak, blessé ou allongé pour toujours dans la paix et le silence de la mort.


Ils avaient quitté leur montagne pour entrer dans la forêt il y a deux semaine et ils n’en voyaient toujours pas l’ orée. Y resté plus longtemps signifiait d’autres embuscades, d’autres morts. S’y perdre signait à tous leur mort…D’après ses informateurs, Alrik déduisait que la grotte se situait à quelques lieux d’ici. Il espérait donc y parvenir rapidement mais dans ces contrées hostiles et inconnues, le crépuscule arrive très vite. Alrik dut se résoudre à faire installer le campement sur un terrain dégagé. Il savait que les bois était habités par des elfes et des esprits. Aussi, pour éviter d’accentuer leurs rancunes envers son peuple, il ordonna de n’utiliser que du bois mort pour les feux et de ne pas trop s’éloigner du campement. Tout avait l’air de bien se passer. L’air était calme. Trop calme peut-être pour les plus anciens. Beaucoup, par crainte gardaient leur armes à porter de mains.


Des tours de garde avaient été organisé. Toutes les demi-heure les 10 binômes étaient relevés et chacun devait sillonner le campement.. Alrik, comme tous ses guerriers, avait lui aussi ses tours mais sa garde personnelle ne voulait pas se séparer de lui. Elle était composé de trois vétérans appelés longues barbes mais aussi d’un jeune novice, son protégé : Furgil. C’est ainsi qu’à une heure assez avancée de la nuit, où le froid se fait le plus sentir et les feux sont les plus faibles que le tour d’Alrik arriva. Les cinq nains allèrent jusqu’à l’extrémité nord du campement où ils commencèrent à en faire le tour. Malgré la fraîcheur de l’air, on pouvait sentir l’anxiété pesée sur les épaules des nains. C’est alors qu’un craquement de branche se fit entendre. Par réflexe, tous relevèrent leur bouclier mais trop tard. Deux des trois longues barbes vinrent s’effondrer aux pieds de Furgil un carreau dans la poitrine. Les trois nains restant se mirent dos à dos. Le troisième longue barbe voulut donner l’alerte mais un éclair blanc vint lui trancher la gorge. Une vingtaine d’elfes noirs sortir alors de l’obscurité des bois. Alrik, abattu d’un coup de hache le premier ennemi tandis que le jeune novice reculait face aux assauts de deux autres. C’était le premier combat de Furgil contre des elfes. Il fut surpris de la rapidité et de l’aisance avec laquelle ils se déplaçaient. D’un coup, une lame transperçât sa côte de maille et Furgil sentit le métal froid pénétré sa chair. Il poussât un grand cri de douleur et s’effondra à terre. Alrik jeta un coup d’œil par-dessus son épaule pour voir son protégé au sol. Un elfe profita de la distraction du héros pour l’assommé.


Plusieurs nains, réveillé par le bruit de l’escarmouche, arrivèrent mais trop tard pour voir les elfes fuir. Ils découvrirent Furgil dans un buisson, laisser pour mort, une large entaille à l’épaule.


Chapitre 1 ; partie 2


Furgil se réveilla en sursaut. Malgré les faibles rayons qui passaient à travers la toile de tente, il avait chaud. Il voyait l’ombre de ses frères, s’activant à ranger le camp. En quelques minutes les feux furent éteints, les tentes démontées et rangées. Encore peu sûr de lui dans ses mouvements, il se leva. Mais une douleur à l’épaule l’assailli soudainement et lui scia les jambes. Il s’écrasât lourdement sur le lit de camp et attendit quelques minutes avant de rouvrir les yeux. Il regarda son épaule bandée et essaya de se souvenir de ce qui s’était passer. Les seules images qui lui revinrent furent les trois longues barbes à terre, quelques passes d’armes avec des créatures sorties de nul part puis le trou noir. Morgrim fit alors son apparition sous la tente. Le cousin du fils du Haut Roi était de nature belliqueuse et avide de pouvoir mais ayant toujours le sens de l’honneur et de la famille. Depuis qu’Alrik avait disparu, il était devenu le chef du Throng et il en était fier. Même si son ascension au poste de commandement était de courte durée, il voulait néanmoins en profiter. Tout en rangeant ses affaires, il intima à Furgil de faire de même. Il était inutile de s’attarder plus longtemps en cet endroit. A peine avait-il fini sa phrase que des cors de guerre résonnèrent au loin. Jurant dans sa barbe, il ordonna au jeune nain de rester ici et de se cacher. Sa blessure l’empécherait de se battre et sa présence sur le champ de bataille qui approchait lui serait fatale. Morgrim sortit en courant de la tente. Le novice l’entendit hurler des ordres pour organiser la défense. L’embuscade était imminente. Il n’y avait que peu de temps avait que les premières troupes ennemies ne soient en vue. Pendant que l’ensemble du Throng se préparait aux combats, Furgil faisait de même. Il desserra son bandage et commença à affûter sa hache. Calmement, il sortit de dessous la tente et pria les dieux. Il se mit à regarder le ciel bleu à travers la canopée et rêva les yeux fermés devant le soleil. Furgil était un nain « différent ». Contrairement aux autres de sa race, il n’avait aucune rancœur envers les elfes sylvains et les Hauts Elfes bien qu’on lui ait raconté toutes les offenses que ces peuples avaient faits aux siens. Il aimait la nature. Il ne saurait dire pourquoi mais les sous-sols ne l’ont jamais vraiment rendu heureux. C’est préférant le doux chant des oiseaux de la forêt au bruit assourdissant des pioches dans les mines qu’il avait accepté de partir avec cette expédition.


La durée d’un instant, une branche masqua le soleil et sortit Furgil de sa torpeur. Curieux de nature, il chercha à savoir quelle magie avait bien pu faire cela. Il vit rapidement la branche en question, et crut que s’en était une, mais il se rendit compte qu’il s’agissait en fait de la patte velue d’une énorme araignée.. En observant le feuillage des arbres, il aperçut d’autres arachnides évoluer sur les troncs. Chacune d’entre elles portait un gobelin sur son dos.


-« Des gobelins dans les arbres ! Abritez-vous ! » cria-t-il.


C’est à ce moment que les dizaines de gobelins et leurs araignées se jetèrent sur les nains. Il en descendait de partout. L’effet de surprise fut total. Les nains tombaient par dizaines. Furgil se battait comme un lion. Les nains les plus proche vinrent l’aider mais ils succombèrent rapidement au venin des araignées ou des lames rouillées des gobelins. Furgil ayant récupéré l’arme d’un de ses camarades à terre se rua sur les trois créatures les plus proche.


-« Pour Alriiiiiiiiiiik ! »


Fendant l’air de ses deux haches, il trancha la tête d’un gobelin et évita la morsure de son araignée. Passant sur la gauche de celle-ci, il évita le dard d’une deuxième et leur trancha les pattes à toutes les deux. Le gobelin encore vivant tomba à terre et Furgil l’acheva avant qu’il n’ait pu se relever. Alors qu’il allait attaquer la troisième arachnide, une douleur fit chuter notre jeune héros et il sombrât dans l’inconscience. Les guerriers finirent par se ressaisirent et formèrent d’épais murs de boucliers. Les gobelins eurent alors beaucoup plus de mal à défaire le peuple des montagnes. Après quelques minutes de combat, l’avantage revint finalement aux nains. Les gobelins prirent la fuite face au stoïcisme des nains et les pertes qu’ils infligeaient. Alors que les peaux vertes ayant survécu étaient massacrées par les nains, Morgrim s’approcha de Furgil. Il gisait toujours inconscient à terre. Il le prit dans ses bras et l’emmena sous la tente, ou du moins ce qu’il en restait. Il l’allongea sur le lit de camp et mit une serviette d’eau froide sur sa tête. Il essaya de le faire boire un peu de bière mais sans résultat. Morgrim ressortit, regarda le reste de l’armée face à lui. Ils avaient encore perdu beaucoup de compagnons aujourd’hui et le fait que les gobelins aient fui aussi vite n’était pas forcément une bonne nouvelle.


Chapitre 1 ; partie 3


Après s’être rapidement réjoui de leur petite victoire, les nains de Karaz-a-Karak décidèrent de rassembler les morts, soigner les blessés et réorganiser la défense. Le campement en forme de cercle avait été endommagé au niveau des palissades qui entouraient le camp. Elles étaient faites de pierre et de bois ; même cela n’avait pas suffi à ralentir les araignées. Au centre, se trouvait un petit promontoire. On y accédait par sa face sud grâce à une pente douce. Long d’une cinquantaine de mètres, il se finissait par une petite falaise. On avait l’habitude d’installer l’artillerie sur des positions élevées en temps de guerre et la situation ne changea rien aux habitudes. Ainsi, les deux canons et leurs six artilleurs furent placés au sommet du campement en vue d’une autre attaque.


Furgil se réveilla doucement. Il lui fallut plusieurs minutes pour comprendre ce qui lui était arrivé. Il s’était battu comme un fou pour sauver sa vie et venger celle de son maître. A plusieurs reprise, il avait été en infériorité numérique face aux ennemis et il s’en tira sans aucune blessure alors que ses camarades tombaient à côté de lui. Pourquoi les dieux voulaient-ils le garder en vie ? Soudain, Morgrim entra, furieux, sous la tente. Ses paroles n’étaient que reproches et leçons. Furgil s’était montré trop imprudent, trop téméraire et qu’il aurait put mourir s’il n’était pas arrivé à temps. Mais notre jeune héros ne l’écoutait que d’une oreille distraite. Il pensait à Alrik. Alors que son supérieur continuait à lui faire la morale, Furgil, prit d’une envie folle, sortit de la tente et courut jusqu’au promontoire. De ce point stratégique, il réclama le silence des artilleurs et de Morgrim qui l’avait suivi. Il fermât les yeux et se concentra. Il ne bougeait plus. Après quelques minutes, il rouvrit les yeux alarmer.


-« Qu’entendez-vous ? » demanda-t-il d’un ton inquiet.


Un des servants fit remarquer qu’il entendait les autres nains s’activer. C’est ce qui inquiétait Furgil. Aucun chant d’oiseau, même pas le bruit du vent dans les branches. Seul les nains faisaient du bruit. Soudain, comme le tonnerre, un grondement grave et rauque se fit entendre. Morgrim scrutât dans la direction du grondement mais ne vit rien, jusqu’au moment où il aperçut un arbre, probablement centenaire, ployer sous la pousser d’une main géante.


-« Aux armes, aux armes, un géant nous attaque ! »


L’appel fut bref mais suffit aux nains pour comprendre le danger imminent. Un géant dans une forêt n’était certes pas banal mais où qu’il se trouve, cela constituait toujours une menace sérieuse. Les artilleurs s’activaient. Tirer dans une forêt était une action difficile à réaliser à cause des arbres mais il valait mieux tirer que ne rien faire. Ainsi, les batteries furent rapidement mises en place et armées. Les arquebusiers se tinrent prêt à faire feu et la ligne de défense fut reculer pour permettre à tous de tirer par-dessus les guerriers. Il ne fallut que quelques secondes au géant pour apparaître. Haut d’une demi-douzaine de mètre, il avançait d’un pas rapide vers les nains. Il ne portait qu’un simple pagne et avait quelques boucliers attachés au son corps par de grosse corde, en guise d’armure. Son arme, rustique mais dévastatrice, était constituée d’un tronc d’arbre qu’il maniait tel un gourdin. Comme deux coups de tonnerre, les canons tirèrent leurs ogives sur leur cible. Fendant l’air, les deux atteignirent leur but mais seul une semblât affecté le géant. Il s’arrêta, tangua puis se remit à avancer. C’était au tour des arquebusiers de tirer mais leurs balles ne lui firent pas plus mal que de simples piqûres d’abeille. Finalement, il arriva assez prêt des lignes naines pour frapper les premiers rangs. Alors que les guerriers se ruaient sur le géant pour le mettre à terre, des trolls des cavernes contournaient la défense naine. Trois fois plus grand qu’un nain, ces monstres ont une peau aussi dur que la pierre ce qui leur permet d’être quasiment insensible à toutes attaques. De leurs gueules partent des crocs d’une coudée et une haleine à faner des fleurs. En moins de deux minutes, ils arrivèrent sur les artilleurs en train de recharger. Ceux-ci, pris par surprise ne tinrent pas longtemps face aux six bras armés de griffes et de pierres et furent rapidement massacrés. Alors que le géant succombait face aux nombres des nains, les trolls s’étaient rapprochés des guerriers en laissant fuir les arquebusiers mort de peur. Croyant la fin de la bataille proche et n’ayant pas aperçut les trolls fondant sur eux, les guerriers se relâchèrent. C’est le moment que choisir des centaines de gobelins pour sortir de la forêt.


Chapitre 1 ; partie 4


Pris de court, les nains ne surent de quel côté se battre. Ils n’avaient plus aucun tireur et étaient encerclés par des hordes de gobelins et trois trolls. Morgrim avait échoué. Il n’avait réussi à sortir de la forêt. A cause de lui, l’armée sera décimée. Son entraînement à la guerre ne lui avait servi à rien. L’histoire se souviendrait de lui comme un mauvais général si jamais elle se souvenait de lui… Seul la mort pourrait le soulager de cette pensée. De grossières flèches vinrent s’abattre sur les nains. Quelques malchanceux tombèrent, rapidement remplacé. Des guerriers se tournaient vers Morgrim pour savoir ce qu’ils devaient faire. Voyant leur nouveau chef les bras ballants et le regard vide, ils se sentirent abandonnés. Lorsqu’il avait fait le serment de donner sa vie pour son peuple, il ne se doutait pas que la situation viendrait aussi vite. Aujourd’hui, il n’avait pas respecté ses paroles : il n’avait pas protégé son supérieur. Il les respecterait envers son armée, son peuple, son roi. Morgrim se retourna violemment et jouant des coudes, il alla se placer en première ligne, face aux trolls, face au danger, là où tout bon chef se devait d’être. Ce revirement d’attitude chez leur général redonna confiance et l’envie de se battre aux nains même si l’espoir avait définitivement disparu. Il ordonna de former le dernier carré alors que les trolls et les peaux vertes chargeaient. Ces derniers vinrent s’abattre sur le mur de bouclier alors que les trolls commençaient à l’entamer à coup de pierres et de griffes. Furgil se battait contre les gobelins. Malheureusement, lorsqu’une de ces horribles créatures tombait, trois prenaient sa place. Furgil serrait les dents à cause de son épaule qui le faisait souffrir et tranchât la tête d’un gobelin à porter de sa hache. Alors que Morgrim avec l’aide de quelques compagnons achevait le deuxième troll, les nains effrayés virent le premier se relever et se remettre à combattre ce qui avait pour effet de saper le moral des nains. Malgré l’héroïsme grandissant des survivants, le nombre d’ennemis ne cessait de croître. Comme si les dieux avaient décidé de participer à cet affrontement, les gros nuages noirs commencèrent à lâcher des trombes d’eau sur les protagonistes. Bientôt, plusieurs éclairs zébraient le ciel, qui faisant apparaître la haine dans les yeux des gobelins, la détermination chez les nains. Les combats se déroulaient à présent dans un immense lac de sang et d’eau où gisait morts et blessés. Le fier peuple des montagnes ne fut bientôt qu’une cinquantaine encore debout. On entendit alors à travers les éléments déchaîner un chant de mort résonner sur tout le chant de bataille.


Le Haut Roi était assis sur son trône regardant avec dégoût le colis que venait d’apporter le messager. Dessus avait été dessiner des symboles elfiques. A moitié recouvert de taches, il avait été découvert devant l’entrée d’une mine en contrebas de la montagne qu’abritait Karaz-a-Karak. Il fut immédiatement apporter à Gotrek dans la salle du trône. Entouré de ses quatre gardes et de son clan, il s’approchât du colis posé au centre de l’immense salle sur un piédestal. Il fit un signe à un garde qui sortit une dague de sa ceinture. D’un geste précis, il ouvrit le colis. Lentement, il en soulevât le couvercle quand horrifié le garde fit un bond en arrière. Dans son élan, il renversât la boîte qui tombât au sol et volât en éclat. Toute l’assemblée put alors voir la tête d’Alrik dans les débris de bois…


Wow wow wow qu'est ce que c'est que ça ?En -1589 Caradryel, le Roi Phénix d'Ulthuan, rappelle les armées elfes du Vieux Monde pour affronter les elfes noirs qui menacent Ulthuan mais la plupart de ceux qui habitent les colonies refusent. Donc qu'est ce que feraient des Druchis en Athel Loren ? De plus, la forêt elle-même rejette tout ce qui touche au Chaos.Ensuite, les Elfes Sylvains sont apparus en -1501. pour finir,

Citation :Ils découvrirent Furgil dans un buisson, laisser pour mort, une large entaille à l’épaule.

Il est très rare que des Elfes noirs laissent des survivants ou fassent craquer une brache.


C'est bien de faire un récit mais si tu te fous de l'historique...


pour les réponses, je commencerai par la fin.


Lorsque je fais craquer une branche, je ne spécifie pas que ce sont les elfes noirs qui la font craquer. Mais sans aucune autre solution, ils se sont résolu à attaquer maintenant. Maintenant, il est vrai que je connais peu de choses sur les elfes noirs. Cela répond aussi au fait que, comme tous elfes (je pense), il ne sont pas prêt à affronter tous les guerriers du Throng, rameuter par les bruits et se faire "démonter". C'est pourquoi ils s'enfuient. Aprés, ce n'est que mon point de vue.


Je ne précise nul part que mon histoire ce passe en Athel Loren. Je fais juste une comparaison avec cette forêt qui a une grande réputation dans le monde wh battle.


Mon histoire se déroule quelques années aprés -2005. Pour moi, -1589, c'est quelques siécles aprés. Hors, et je pose la question, pourquoi les elfes noirs ne pourraient-ils pas se trouver dans le Vieux Monde ? Je ne parle nullement de la guerre entre les les elfes et mon histoire se déroule avant.


Pour finir, c'est peut-être exacte que les elfes sylvains ne soit arriver qu'en -1501 dans l'histoire. C'est pour cela et pour ce point que je plaide coupable. Je n'aurai jamais du mettre cette intro car elle ne consistait en fait qu'à mettre dans l'ambiance ceux qui ne connaissent pas le monde de warhammer (je le fais lire à d'autre personnes pas forcement sur le forum)... ce n'est qu'une grossière simplification.


voilà donc mes réponses Shas'OSa'ceaShovahVior'laKais


merci de tes com.


furgil


partie 2 mise en ligne à la suite du 1.


merci pour ceux qui suivent.


laisser vos commentaires, n'hésitez pas.


furgil


Il va dire que je suis chiant. Je suis sur qu'il va dire que je suis chiant. J'ai trouvé ce récit aussi bien que le précédent (que j'avais déjà trouvé bien) mais j'ai tout de même deux remarques (oh il va dire que je suis chiant) :




Citation :A peine avait-il fini sa phrase que des cors de guerre résonnèrent au loin. [...] L’embuscade était imminente.

Quand je regarde dans mon dictionnaire à "embuscade" je vois :  Manœuvre par laquelle on dissimule une troupe en un endroit propice, pour surprendre et attaquer l'ennemi.


Cele m'étonnerait que même des gobelins soient assez bêtes pour faire sonner un cor alors qu'ils doivent surprendre l'ennemi...ou alors ils ne leur laissent pas le temps de se préparer et de regarder le ciel (lol)


Pourquoi parle-tu de la disparition d'Alrik alors que dans l'épisode 1 il était juste assomé ?


Autre remarque mais c'est juste pour le fun. Tu aimes bien que tes héros meurent avant la fin de la bataille.


mon erreur de vocabulaire m'aura coûté une remarque... :)


quand je disais embuscade, c'est surtout le fait de ne pas savoir d'où viendrat l'attaque (ce que je ne précise pas dans l'histoire). Par manque de chance, elle vient par en haut, là où on s'y attendait le moins (ou du moins les nains).


Oui dans l'épisode 1 Alrik est assomé. Un héros nain, ça ne se tue pas aussi facilement... :) Mais comme on n'a pas retrouvé son corps (on = les autres nains bien sûr...) et bah on dit qu'il a disparu...


Si j'aime bien que mes héros meurent avant la fin de la bataille ? Oui bien sûr... Au départ, quand je me suis lancé dans cette histoire et que j'écivai la première partie, c'était pour faire mourir des nains... (je m'excuse auprès de tout les joueurs nains surtout en étant l'un des leurs... =). )


Shas'O..... être chiant ??? non pas du tout... J'aime bien les remarques qu'il fait : je peux expliquer ce que les lecteurs n'ont pas compris, et à moi aussi par la même occasion... ;)


merci


furgil


(partie 3 en relecture ; partie 4 en écriture)


correction d'une petite erreur dans la deuxième partie...


c'est bizzard que personne ne l'ai remarqué ! enfin pour les connaisseurs...


Morgrim était le cousin du fils du Haut Roi Gotrek à l'époque et non son cousin...


excuser moi mais j'apprend encore le nom et la généalogie de ma famille. Je n'ai que 163 ans... :)


Furgil, poil au menton.


(partie 3 dans peu de temps...)


voilà donc la partie 3 de ce chapitre...


même remarque pour les com.


furgil


Je trouve ça bien de ta part de te lancer dans un récit pareil, ce n'est pas évident ...


Bravo à toi mais, tu pourrais vérifier les dates la prochaine fois, hein ^^


Aller a+.


Merci.


Honnêtement, je n'ai aucune remarque à faire à part que les nains sont dans une sacré mouise (pour ne pas dire autre chose). Et Oh miracle ! Aucun héros n'a été blessé ou tué !


Bonne continuation on attend la fin avec impatience