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il y a 10 minutes, Alias a dit :
Je conchie les grands anciens et l'oeuvre de Lovecraft dans son ensemble [...]
Alors juste pour le plaisir...
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<i style="background-color:#ffffff;color:#282828;font-size:medium;">A demented mage, man from the desert, a book, thrice cursed. Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn (here the voice is hissing and baleful as if unaccustomed to human speech).</i>
Update 41 aka "les rêveries de la poulette à grosses loches à moitié sorties"
La bonne nouvelle pour toi c'est que c'est pas du poulpe gratiné issu de la parodie de l'industrie du jeu mais une référence directe à Abdul. C'est déjà ça, c'est moins pire. Voire carrément beaucoup plus fin que les gros tentacules (comment veux-tu ?) habituels, on a juste un arabe fou qui écrit des insanités en ariégeois (ou autre patois inarticulé).
Bref, c'est là aussi plus historico-roman qu'autre chose.
Et en fait, c'est bien mieux que du calamar (tu permets, je grille la file). Un grand ancien qui se pointe, c'est un peu ridicule, ça fait même plus peur, on est morts de toute façon. En fait, c'est même tellement de l'overkill que c'est plus de l'horreur gothique mais du comique de situation.
En revanche la simple mention de Mad Abdul de loin, c'est autrement plus classe. On sait que ça va puer sévère, qu'il faut faire gaffe mais qu'on a nos chances d'en sortir, à condition de pas faire de boulette et de garder nos arrières : on est encore à temps de paniquer à l'évocation de ce nom. D’ailleurs, il faut paniquer. C'est amha plus là le registre de Lovecraft : les allusions vicieuses qui te foutent la pression puisque tu as encore un espoir mais qu'il faut pas que tu te plantes, l'attente, la progression, la déchéance... La fin, les gros streums poulpés, c'est une conclusion, pas l'horreur elle-même mais une ponctuation à la fin de la nouvelle.
le squat
content de pouvoir jouer avec Mireille Dumas aussi