Une oppression, c'est un truc qu'on subis contre sa volonté.
Alors qu'un jeu est par essence un espace contrôlé : tu filtres avec qui tu joue, et l'expérience est soumise à des règles maîtrisables. Expérience que tu peux modifier voir quitter en cas d'indisposition.
Un jeu est fondamentalement innocent. Je ne retrouve pas la définition, mais en gros j'avais lu un truc du genre : "un jeu, c'est quand tu sais que c'est un jeu, que tu veux y jouer et que tu peux le quitter"
Le problème, c'est surtout avec qui on joue. Il faut avoir le mood ou le mojo compatible, jouer avec des cons n'est jamais plaisant.
En contre partie, jouer à la belotte ou aux panzer avec des copains, binh c'est super sympas.
J'ais un principe, et je pense que pleins de copains ont le même : un jeu n'est qu'un jeu, ce n'est qu'un espace virtuel d'expérimentation. Et des féministes se transformant en reine du sadomaso, j'en ais vu. Le migrant seconde génération qui part coloniser des étoiles, j'en ais eu. Tout comme le défenseur trans-phobe qui a eu beaucoup de plaisir de jouer avec un gars incarnant un coiffeur gay (cliché) de l'espaaace ... sachant que tout ces rôles ont émergé de joueurs et jamais de moi.
A mon sens, un jeu peut refléter les problèmes sociaux actuels. Ou il peut être un endroit "pantoufle et raclette" *. Ou alors être dans la démarche que non, mais je ne pense pas que c'est moins "moral".
Vouloir un écosystème ludique plus "moral" risquerait de nous couper d'un certain nombre d'expériences fun, comme jouer un antisocial skaven ou une brute ork, pour un gain finalement ridicule, car ce qui n'est pas dans le jeu est rarement modifier par ce qui se passe dedans.
* j'entend par là un jeu à la Tokaïdo ou à la Snow Fall : pas de conflit, rien qui gratte. Un concentré de bon moment.
Alors qu'un jeu est par essence un espace contrôlé : tu filtres avec qui tu joue, et l'expérience est soumise à des règles maîtrisables. Expérience que tu peux modifier voir quitter en cas d'indisposition.
Un jeu est fondamentalement innocent. Je ne retrouve pas la définition, mais en gros j'avais lu un truc du genre : "un jeu, c'est quand tu sais que c'est un jeu, que tu veux y jouer et que tu peux le quitter"
Le problème, c'est surtout avec qui on joue. Il faut avoir le mood ou le mojo compatible, jouer avec des cons n'est jamais plaisant.
En contre partie, jouer à la belotte ou aux panzer avec des copains, binh c'est super sympas.
J'ais un principe, et je pense que pleins de copains ont le même : un jeu n'est qu'un jeu, ce n'est qu'un espace virtuel d'expérimentation. Et des féministes se transformant en reine du sadomaso, j'en ais vu. Le migrant seconde génération qui part coloniser des étoiles, j'en ais eu. Tout comme le défenseur trans-phobe qui a eu beaucoup de plaisir de jouer avec un gars incarnant un coiffeur gay (cliché) de l'espaaace ... sachant que tout ces rôles ont émergé de joueurs et jamais de moi.
A mon sens, un jeu peut refléter les problèmes sociaux actuels. Ou il peut être un endroit "pantoufle et raclette" *. Ou alors être dans la démarche que non, mais je ne pense pas que c'est moins "moral".
Vouloir un écosystème ludique plus "moral" risquerait de nous couper d'un certain nombre d'expériences fun, comme jouer un antisocial skaven ou une brute ork, pour un gain finalement ridicule, car ce qui n'est pas dans le jeu est rarement modifier par ce qui se passe dedans.
* j'entend par là un jeu à la Tokaïdo ou à la Snow Fall : pas de conflit, rien qui gratte. Un concentré de bon moment.