Citation : d'autre part le milieu de la figurine était bien différent. En vieillissant, avec le recul, je trouve que la frustration engendrée et constatée à chaque concours, est bien plus néfaste que la stimulation de se comparer à d'autres pour progresser.En contre exemple possible, sur cette époque, j'aurais bien en tête la tournée de Jérémius BT & consorts au canada. J'ai évidemment pas eu le retour des autochtones d'outre-atlantique et de comment ils ont vraiment vécu le truc mais les histoires racontées par le bout de la lorgnette des peindouilleurs français donne l'impression d'un séjour de partage assorti d'un road-trip pour faire plusieurs concours en groupe. C'était à priori globalement bon enfant et sympa -punk détendu, quoi- et avec un effet de bord sensible (en tout cas il me semble de mémoire) qui a vu cette année là une progression des techniques de peinte des GD de là-bas.
Mais ça pourrait aussi corroborer ce que tu disais : ce type de tournée par groupes de représentants nationaux qui font les GD des pays voisins se faisait à ce moment là en europe depuis quelques années et l'ambiance semblait moins franchouillarde qu'aux débuts. D'où ptet un besoin de délocaliser et de repartir aux sources du truc avec des gens qui n'ont pas eu cette évolution vers la compet' ? A la rigueur en coupant la poire : c'est bénéfique pour le niveau et c'est sympa mais ya un risque de dérive qui peut donner vers ce que tu décris/décrie.
Citation : Je suis un fervent défenseur d'un salon qui permettrait d’abord un échange entre les participants et sans médaille, on me rétorque que personne n'y viendrait... Ça se discute.Toujours en causant de l'époque puisque j'ai pris ma retraite de ces balades : autant je suis comme toi preneur de salons mous et civls, autant c'est possible que ça marche moins sans la carotte.
L'asperge Lubrique du Mesnil St Denis ou la GNF avaient des composantes salon/démo fortes mais faut avouer que sans leurs tournois respectifs, les salles auraient sans doute sonné un peu creux. Quand je vois les concours de peinte histo dans les années 90 (Colomiers que j'ai eu l'occase de visiter plusieurs fois par exemple), les vitrines d'expo étaient quand même largement moins garnies que celles des concours, il me semble me souvenir.
Certes, ça se discute et ya moyen d'avoir des salons sympas comme tu décris, ça se trouve. Mais la carotte rameute du monde, c'est quand même avéré.
Bon, oké, mes exemples sentent la naphtaline, mais je cause de ce que je connais.
le squat
qui est assigné à demeure de nos jours