Suite et fin (provisoire ?) de l'affaire :
Voyant que les livraisons hors US sont au point mort complet malgré des affirmations réitérés prétendant le contraire, les backers ayant tous plus ou moins accès au Print&Play complet, plusieurs personnes se sont mises à le distribuer tout aussi librement que libéralement avec des conseils d'impression et de mise en forme.
Les pratiques de Golden Bell ont été mises en lumière, notamment par plusieurs porteurs de projet US qu'ils ont approchés par le passé. En résumé : ce sont des escrocs qui approchent les petits porteurs de projet en leur promettant montes et merveilles, te troussent un contrat te dépossédant de la propriété intellectuelle de ton jeu après quoi ils empochent les sous sans honorer leur promesse...et laisse le porteur se dépatouiller avec les backers . En rajoutant de l'huile sur le feu au besoin...
Comme ils ne sont pas totalement stupides au point de se faire griller au troisième degré, il leur arrive de faire le boulot correctement, à l'occasion.
Le problème c'est que l'information comme quoi Golden Bell va se charger d'un kickstarter n'est communiquée qu'à la fin du projet, quand elle n'est pas découverte de manière fortuite par les backers plus tard.
Le grand perdant dans cette affaire s'avère être Artem Safarov et sa société( Altema Games), dont les deux erreurs capitales auront été d'avoir clairement sous-évalué les coûts de production comme les frais de portage puis d'avoir fait confiance à la mauvaise société.
Les gens faisant aisément l'amalgame (il faut dire que l'affaire est particulièrement difficile à suivre, difficile de démêler qui a dit quoi et qui a merdé...les nombreux dramas ponctuels n'aidant pas à une lecture sereine de la chose...on a tout de même découvert que Golden Bell se permettait d'insulter et de menacer des backers par SMS...), il est probable que le financement de ses projets via les plate-formes de crowdfunding ne soit irrémédiablement compromis.
Conclusion qu'aurait pu écrire Fred Henry : ne vous lancez pas dans le financement participatif en étant mal entouré, mal conseillé et mal préparé car la conclusion ne sera probablement pas des plus heureuses.
(Modification du message : 10-08-2019, 18:18 par Jalikoud.)
Voyant que les livraisons hors US sont au point mort complet malgré des affirmations réitérés prétendant le contraire, les backers ayant tous plus ou moins accès au Print&Play complet, plusieurs personnes se sont mises à le distribuer tout aussi librement que libéralement avec des conseils d'impression et de mise en forme.
Les pratiques de Golden Bell ont été mises en lumière, notamment par plusieurs porteurs de projet US qu'ils ont approchés par le passé. En résumé : ce sont des escrocs qui approchent les petits porteurs de projet en leur promettant montes et merveilles, te troussent un contrat te dépossédant de la propriété intellectuelle de ton jeu après quoi ils empochent les sous sans honorer leur promesse...et laisse le porteur se dépatouiller avec les backers . En rajoutant de l'huile sur le feu au besoin...
Comme ils ne sont pas totalement stupides au point de se faire griller au troisième degré, il leur arrive de faire le boulot correctement, à l'occasion.
Le problème c'est que l'information comme quoi Golden Bell va se charger d'un kickstarter n'est communiquée qu'à la fin du projet, quand elle n'est pas découverte de manière fortuite par les backers plus tard.
Le grand perdant dans cette affaire s'avère être Artem Safarov et sa société( Altema Games), dont les deux erreurs capitales auront été d'avoir clairement sous-évalué les coûts de production comme les frais de portage puis d'avoir fait confiance à la mauvaise société.
Les gens faisant aisément l'amalgame (il faut dire que l'affaire est particulièrement difficile à suivre, difficile de démêler qui a dit quoi et qui a merdé...les nombreux dramas ponctuels n'aidant pas à une lecture sereine de la chose...on a tout de même découvert que Golden Bell se permettait d'insulter et de menacer des backers par SMS...), il est probable que le financement de ses projets via les plate-formes de crowdfunding ne soit irrémédiablement compromis.
Conclusion qu'aurait pu écrire Fred Henry : ne vous lancez pas dans le financement participatif en étant mal entouré, mal conseillé et mal préparé car la conclusion ne sera probablement pas des plus heureuses.