La vidéo du jeu de plateau révèle surtout toute la complexité du phénomène.
Par exemple, l’ambiguïté de la promotion-canapé, le fait que les plaignantes interpellent des années après, que personne n'a dénoncé les agissements fait à quelqu'un d'autre, etc. ...
#MeToo a surtout mis en avant l'hypocrisie du milieu du cinéma, car "tout le monde savait". Et personne ne faisait rien, malgré le nombre de personne impliqué. C'est aussi la première fois qu'un réseau social a pu servir de bouche de lion vénitienne tout en étant aussi bien accepté : la chose préoccupante étant que l'on est arrivé à un stade où la justice privée est favorisée par rapport à la justice d'Etat. Où l'on finit avec des cas comme #BalanceTonPorc, qui part d'une calomnie et d'une dénonciation (jugée) abusive.
Car le troisième problème, c'est que c'est un phénomène de masse, et que fatalement, il y a des gens qui vont décrédibiliser le "mouvement" (phénomène serait un mot plus exacte) à force d'en abuser : c'est le cas de l'histoire de Neymar (je me trompe ?) qui a mis en avant qu'une femme pouvait être vénale et pouvait accuser quelqu'un à tord pour lui soutirer de l'argent. Et ce n'est pas isolé.
Par contre, faire un chapitre Space Marine féminin ... ça ne fait aucun sens. Si l'Empereur n'en n'a pas fait et n'a pas développé la technologie pour, c'est car c'était un gros beauf sexiste. Fabius Bile a prouvé que l'on pouvait créer des spaces marines femelles (et des astrates qui pouvaient se reproduire) quand on en s'en donnait la peine. Je dis Space Marine, se sont des Hommes Nouveaux, mais la technologie derrière est très proche (greffe des glandes entre autre que l'on pense rejeté à tord par les organismes féminins).
En gros, le jour où on a un Space Marine féminin impérial, c'est comme si l'Imperium quittait ses considérations moyen-âgeuses pour devenir progressiste. C'est contre l'ADN de l'Imperium.
Franchement, je supporte assez bien l'idée qu'une force armée fanatique et génocidaire soit sexiste. Voir même que ça lui donne un côté encore plus absurde.
Par exemple, l’ambiguïté de la promotion-canapé, le fait que les plaignantes interpellent des années après, que personne n'a dénoncé les agissements fait à quelqu'un d'autre, etc. ...
#MeToo a surtout mis en avant l'hypocrisie du milieu du cinéma, car "tout le monde savait". Et personne ne faisait rien, malgré le nombre de personne impliqué. C'est aussi la première fois qu'un réseau social a pu servir de bouche de lion vénitienne tout en étant aussi bien accepté : la chose préoccupante étant que l'on est arrivé à un stade où la justice privée est favorisée par rapport à la justice d'Etat. Où l'on finit avec des cas comme #BalanceTonPorc, qui part d'une calomnie et d'une dénonciation (jugée) abusive.
Car le troisième problème, c'est que c'est un phénomène de masse, et que fatalement, il y a des gens qui vont décrédibiliser le "mouvement" (phénomène serait un mot plus exacte) à force d'en abuser : c'est le cas de l'histoire de Neymar (je me trompe ?) qui a mis en avant qu'une femme pouvait être vénale et pouvait accuser quelqu'un à tord pour lui soutirer de l'argent. Et ce n'est pas isolé.
Par contre, faire un chapitre Space Marine féminin ... ça ne fait aucun sens. Si l'Empereur n'en n'a pas fait et n'a pas développé la technologie pour, c'est car c'était un gros beauf sexiste. Fabius Bile a prouvé que l'on pouvait créer des spaces marines femelles (et des astrates qui pouvaient se reproduire) quand on en s'en donnait la peine. Je dis Space Marine, se sont des Hommes Nouveaux, mais la technologie derrière est très proche (greffe des glandes entre autre que l'on pense rejeté à tord par les organismes féminins).
En gros, le jour où on a un Space Marine féminin impérial, c'est comme si l'Imperium quittait ses considérations moyen-âgeuses pour devenir progressiste. C'est contre l'ADN de l'Imperium.
Franchement, je supporte assez bien l'idée qu'une force armée fanatique et génocidaire soit sexiste. Voir même que ça lui donne un côté encore plus absurde.