Y'a quant même un truc nouveau et qu'il ne faut certainement pas sous-estimer, car cette crise sanitaire globale est probablement un "premier avertissement" (les guillemets c'est parceque le premier ce fut ebola et y'en a eu d'autre ensuite): la démographie.
Ou plus précisément, les conséquences de cette démographie sur notre environement.
Du point de vue purement des nombres, l'espace entre l’humanité et les réservoirs pathogènes des animaux sauvages et domestiques n'a jamais été aussi réduit. La destruction continue et systématique des espaces naturels commencée au néolithique n'a connu aucune pause jusqu’à l’apogée de ces dernières décennies.
A cote de cela, les familles de virus ARN ayant une histoire commune avec les grands vertébrés n'ont jamais eu un tel terrains de jeu.
Les chiffres donnent le vertige et la médecine ne peut pas tout...
(Modification du message : 14-04-2020, 16:44 par DV8.)
Ou plus précisément, les conséquences de cette démographie sur notre environement.
Du point de vue purement des nombres, l'espace entre l’humanité et les réservoirs pathogènes des animaux sauvages et domestiques n'a jamais été aussi réduit. La destruction continue et systématique des espaces naturels commencée au néolithique n'a connu aucune pause jusqu’à l’apogée de ces dernières décennies.
A cote de cela, les familles de virus ARN ayant une histoire commune avec les grands vertébrés n'ont jamais eu un tel terrains de jeu.
Les chiffres donnent le vertige et la médecine ne peut pas tout...