Mouais... 24 ça tombe pile pour finir le treant qui s'écroule sous forme de petit bois et reparcourir la carte puisque les différentes étapes sont maintenant vides (maintenant que la fée lée s'est éloigné du chemin pour continuer ses occupations privées). C'est du bol, ça vous amène juste devant la sortie :
le squat
zêtes lents quand même...
EDIT : Ou pas, mince. Bong je vais pas la refaire, mais le griffon-fon-fon est à 13 pv.
(Modification du message : 15-10-2020, 21:07 par la queue en airain.)
Citation :Il y a fort longtemps Franz-René Von Schlossglanzend fut un fier et preux chevalier. Jusqu’à sa rencontre avec la masse d’arme d’un Orc d’un fort beau gabarit – l’orc et la masse d’ailleurs...- qui mit fin à ses jours de vivant en pratiquant une trépanation sur côté droit du crâne du guerrier. Mais, rappelé de son infinie retraite d’outre-tombe, au cours de laquelle Franz-René rédigeait ses mémoires, le chevalier repris du service sous les ordres d’un nécromant, puis d’un sorcier et enfin de Michayouri, au gré des alliances, trahisons et autres vendettas relativement courantes en Transsylbovanie Supérieure. Franz-René, donc, devenu squelette mais toujours revêtu de son armure, désormais un peu large, chevauchait le long d’un paisible chemin forestier, suivi d’une dizaine de squelettes, anciens sergents d’armes mais toujours fringants. Le désavantage d’un squelette, fusse-t-il à cheval, est de ne plus avoir beaucoup de sens. L’ouie, par exemple, a disparu, et hormis le vent soufflant dans le crâne, un squelette ne perçoit guère d’autre son. De même pour la vue. Doté d’une vision magique tout juste acceptable, comparable en terme de qualité et de stabilité à celle d’un noceur quittant l’auberge lorsque l’aube point, le squelette ne peut plus se targuer d’admirer les beautés du monde. Cet état de fait explique vraisemblablement que Franz-René n’entendit ni ne vit, se ruant des cieux vers son dos décharné, l’énorme griffon qui arracha la partie haute de son corps, ne laissant qu’un bassin et deux jambes en selle, et l’emporta loin au-dessus de la frondaison des arbres. De ce vol, Franz-René ne garda pas le moindre souvenir, d’autant plus qu’il se finit pas un spectaculaire piqué lorsque le griffon relâché son emprise, technique emprunté à ses lointains cousins gypaètes barbus, spécialistes es pétage d’os. La chute eu pour fatale conséquence de mettre de nouveau, cette fois-ci définitivement, fin à la mort de Franz-René, le malheureux, du moins sa moitié, percutant de plein fouet ses congénères composant l’avant-garde montée de Michayouri.
le squat
zêtes lents quand même...
EDIT : Ou pas, mince. Bong je vais pas la refaire, mais le griffon-fon-fon est à 13 pv.