La défense de la Tour
Agnès et Philippe, de concert, continuent sur leur lancée et la sorcière invoque l'esprit d'une des paysanne qu'elle a égorgé sur le parvis de l'église de Mercal pour en faire une Banshee puis lance un assaut sur les ruines d'un sanctuaire de la Dame du Lac, un avatar Ardenois de Notre Dame de Bataille. C'est une tour en ruine, un lieu de pèlerinage pour de nombreux chevaliers et, en cette saison, c'est un bon pan de la noblesse locale qui se recueille sur ses berges accompagnée bien sûr de quelques suivants. Et l'endroit est de toute façon gardé par une prêtresse de Notre Dame.
Surpris par l'assaut soudain les Bretonni ne peuvent que constater les nuées sombre qui masquent le lever de soleil, la presse de Chevaliers Noirs qui traverse les bois et les grands rapaces zombifiés et montés par des spectres qui leur tombent dessus. Les chevaliers, en prière autour du Lac seront trop longs à réagir, sans doute épuisés par les litanies qu'ils ont du tenir toute la nuit, agenouillés sur la grève. Poussés par les sorts d'Agnès, les cavaliers non-morts leur tombe sur le râble et les acculent contre l'eau.
La pleureuse hurlante, elle, fait son office et accompagnée des carrions commet une boucherie parmi les suivants (quelques routiers et archers) des nobles. La prêtresse décède le sang aux oreilles et c'est la goutte d'eau. Le moral des chevaliers cède et pris entre le marteau et l'enclume, ils se font massacrer par les cavaliers adverses et des zombies fraîchement ressuscités de leurs pertes.
La course vers le Pont.
Sur ces entrefaites, Philippe de Valoise mène une nouvelle fois ses Chevaliers Noirs à la bataille et, en stratège avisé, décide de détruire le pont qui relie la vallée de St Eustache à Haumont. Menant un train d'enfer sur ses montures infatigables, il descend vers le Valfleury. Cependant, alarmés par les nuages noirs qui couvre la vallée et les colonnes de fumée des villages détruits, le Baron Gilon et ses hommes s'alarmaient.
Richement, le fils ainé du baron et ses compagnons d'armes, tous de jeunes chevaliers fougueux, ne prirent guère le temps de réflexion et chevauchèrent à bride abattue en direction du Pont de Mortesaigues et du Sanctuaire de la Dame. Malheureusement, le sort sembla encore s'acharner sur les bretonnii et, leurs chevaux déjà fatigués d'un tournoi la veille eurent bien du mal à soutenir le train. La colonne de chevaliers arriva donc au pont en petits groupes séparés, certains ayant même perdu des éléments dont les chevaux sont morts sous eux alors même que le Seigneur Spectre alignait ses troupes et se préparait à user de magie noire pour le détruire.
Le combat, si tant est que la rencontre mérite ce nom- ne dura guère. Poussés par la sombre énergie nécromantique, les cavaliers squelettes fondirent sur les courageux mais épuisés et inexpérimentés chevaliers. Là encore, abusant de la magie, les morts-vivants relevèrent les morts pour coincer leurs adversaires entre leur charge implacable et leurs propres pertes les étrillant sans vergogne.
Le champ de bataille lui appartenant, Philippe de Valoise fit démolir le Pont, coupant la vallée de ses renforts immédiats.
Bref, bon, je sais pas si c'est moi mais les trois premières parties du Cercle de Sang se sont soldées par des victoires assez nettes des non-morts. Sur la première il est probable que mon joli plateau JoB bien chargé en décors ai changé le cours de l'histoire prévue puisqu'Agnès alignait trois unités intangibles alors que les renforts Bretonnii étaient obligés de se farcir les hordes de zombios pour pouvoir prendre la rue menant aux combats...
La seconde était relativement équilibrée, les bretons ont mal manœuvré avec les chevaliers mais ont bien tenus avant de s'effondrer connement à la fin mais les troupes de la sorcière ont salement morflé pour obtenir ce résultat. Mais bon, ça se relève.
La troisième, là c'est moi avec la malemoule aux dés. Le scénario précise qu'on peut faire de la marche forcée pour arriver du bon côté du pont et se déployer sans embouteillage mais que ça n'est pas sans risque. Bah tieng... Trois osts de chevaliers que quatre ont tenté ça et les trois sont arrivés plus ou moins à la bourre et un avec des pertes. Le quatrième qui n'a pas forcé ses chevaux est arrivé le premier, a pu passer le pont sans embouteillage mais s'est pris toute la chevalerie de Valoise dans pendant que les retardataires arrivaient et attendaient sur le pont leur tour de se faire tabasser...
Mais dans l'ensemble, je pense qu'il y a une couille dans le potage de la campagne, les bretons sont un peu à poil en magie mais les morts-vivants en ont forcément et s'ils abusent de mouvements supplémentaires et de relever les morts une fois en close... being sur un adverrsaire qui ne peut l'empêcher, il se fait charger, au mauvais moment et bouffer à l'attrition si besoin.
M'enfin, la suite se refera avec les règles de JoB (Joan of Bretonnii) et va pas tarder à arriver. Avec même un truc pour vous si vous êtes sages.
le squat
qui prend une pause
Agnès et Philippe, de concert, continuent sur leur lancée et la sorcière invoque l'esprit d'une des paysanne qu'elle a égorgé sur le parvis de l'église de Mercal pour en faire une Banshee puis lance un assaut sur les ruines d'un sanctuaire de la Dame du Lac, un avatar Ardenois de Notre Dame de Bataille. C'est une tour en ruine, un lieu de pèlerinage pour de nombreux chevaliers et, en cette saison, c'est un bon pan de la noblesse locale qui se recueille sur ses berges accompagnée bien sûr de quelques suivants. Et l'endroit est de toute façon gardé par une prêtresse de Notre Dame.
Surpris par l'assaut soudain les Bretonni ne peuvent que constater les nuées sombre qui masquent le lever de soleil, la presse de Chevaliers Noirs qui traverse les bois et les grands rapaces zombifiés et montés par des spectres qui leur tombent dessus. Les chevaliers, en prière autour du Lac seront trop longs à réagir, sans doute épuisés par les litanies qu'ils ont du tenir toute la nuit, agenouillés sur la grève. Poussés par les sorts d'Agnès, les cavaliers non-morts leur tombe sur le râble et les acculent contre l'eau.
La pleureuse hurlante, elle, fait son office et accompagnée des carrions commet une boucherie parmi les suivants (quelques routiers et archers) des nobles. La prêtresse décède le sang aux oreilles et c'est la goutte d'eau. Le moral des chevaliers cède et pris entre le marteau et l'enclume, ils se font massacrer par les cavaliers adverses et des zombies fraîchement ressuscités de leurs pertes.
La course vers le Pont.
Sur ces entrefaites, Philippe de Valoise mène une nouvelle fois ses Chevaliers Noirs à la bataille et, en stratège avisé, décide de détruire le pont qui relie la vallée de St Eustache à Haumont. Menant un train d'enfer sur ses montures infatigables, il descend vers le Valfleury. Cependant, alarmés par les nuages noirs qui couvre la vallée et les colonnes de fumée des villages détruits, le Baron Gilon et ses hommes s'alarmaient.
Richement, le fils ainé du baron et ses compagnons d'armes, tous de jeunes chevaliers fougueux, ne prirent guère le temps de réflexion et chevauchèrent à bride abattue en direction du Pont de Mortesaigues et du Sanctuaire de la Dame. Malheureusement, le sort sembla encore s'acharner sur les bretonnii et, leurs chevaux déjà fatigués d'un tournoi la veille eurent bien du mal à soutenir le train. La colonne de chevaliers arriva donc au pont en petits groupes séparés, certains ayant même perdu des éléments dont les chevaux sont morts sous eux alors même que le Seigneur Spectre alignait ses troupes et se préparait à user de magie noire pour le détruire.
Le combat, si tant est que la rencontre mérite ce nom- ne dura guère. Poussés par la sombre énergie nécromantique, les cavaliers squelettes fondirent sur les courageux mais épuisés et inexpérimentés chevaliers. Là encore, abusant de la magie, les morts-vivants relevèrent les morts pour coincer leurs adversaires entre leur charge implacable et leurs propres pertes les étrillant sans vergogne.
Le champ de bataille lui appartenant, Philippe de Valoise fit démolir le Pont, coupant la vallée de ses renforts immédiats.
Bref, bon, je sais pas si c'est moi mais les trois premières parties du Cercle de Sang se sont soldées par des victoires assez nettes des non-morts. Sur la première il est probable que mon joli plateau JoB bien chargé en décors ai changé le cours de l'histoire prévue puisqu'Agnès alignait trois unités intangibles alors que les renforts Bretonnii étaient obligés de se farcir les hordes de zombios pour pouvoir prendre la rue menant aux combats...
La seconde était relativement équilibrée, les bretons ont mal manœuvré avec les chevaliers mais ont bien tenus avant de s'effondrer connement à la fin mais les troupes de la sorcière ont salement morflé pour obtenir ce résultat. Mais bon, ça se relève.
La troisième, là c'est moi avec la malemoule aux dés. Le scénario précise qu'on peut faire de la marche forcée pour arriver du bon côté du pont et se déployer sans embouteillage mais que ça n'est pas sans risque. Bah tieng... Trois osts de chevaliers que quatre ont tenté ça et les trois sont arrivés plus ou moins à la bourre et un avec des pertes. Le quatrième qui n'a pas forcé ses chevaux est arrivé le premier, a pu passer le pont sans embouteillage mais s'est pris toute la chevalerie de Valoise dans pendant que les retardataires arrivaient et attendaient sur le pont leur tour de se faire tabasser...
Mais dans l'ensemble, je pense qu'il y a une couille dans le potage de la campagne, les bretons sont un peu à poil en magie mais les morts-vivants en ont forcément et s'ils abusent de mouvements supplémentaires et de relever les morts une fois en close... being sur un adverrsaire qui ne peut l'empêcher, il se fait charger, au mauvais moment et bouffer à l'attrition si besoin.
M'enfin, la suite se refera avec les règles de JoB (Joan of Bretonnii) et va pas tarder à arriver. Avec même un truc pour vous si vous êtes sages.
le squat
qui prend une pause