Puisque Messire Geygey se propose (et il n'est pas le seul mais on va garder des surprises), voilà la teneur de nos échanges quand je l'ai abordé sur son arbre perché :
Malheureusement...
Et sa répartie pour le moins brave (pour ne pas dire autre chose) :
le squat
quelques parties à jouer et je reviens, merci aux braves
(Modification du message : 03-12-2020, 14:03 par la queue en airain.)
Citation :Tristan le Mirliflore était plus que satisfait. La missive était claire, sans lui, le monde connu sombrerait dans la ténébritude éternelle. C'était enfin le moment de pouvoir aller guerroyer de la plus noble des manières et montrer à la cour du Roi qu'il vallait la peine d'être appelé Chevalier.Il reste donc là en attente du retour de ses éclaireurs.
C'est donc sous la lumière luneuse que sa petite colonne d'amis Chevaliers approchait le village assiégé. Il les avait rassemblé à la hâte et ne s'était pas encombré d'attendre les hommes d'armes qui arriverait plus tard . Son fidèle écuyer, un nain difforme surnommé l'Airain ( allez savoir pourquoi, certainement son passé de forgeron), se permit de prendre la parole sans sa permission.
Il lui dit que cela valait peut être le coup d'attendre un peu que le gros de la troupe les rejoigne. Tristan haussa les épaules, remis quelques goutes d'huile essentiel d'une plante à l'odeur particulièrement enivrante et forte dans le creux de son gorgerin. Il détestait l'odeur âcre de la sueur qui se dégageait des armure ... absolument en total contradiction avec l'image qu'il se faisait du preux chevalier.
Mais bon, il avait appris à se fier aux conseils de son écuyer.
Malheureusement...
Citation :A nous.(oui, je vous tais des choses concernant le destin des écuyers)
J'en ai fini avec tes écuyers.
Adonc. Ta colonne de chevaliers, les renforts venant de Castelnau d'Arden, est arrivée en vue de Valoise en fin de journée. Tu y as trouvé un de tes rabatteurs, laissé là par le jeune Elric Rosengarten, un écuyer de ta suite, un jeune prometteur (malgré l'odeur de crottin) qui dirige tes éclaireurs.
Il t'a informé qu'iceux sont partis vers l'est, "le col là-bas vers les pâtures où ya rien !" à la poursuite de la sorcière et d'un chevalier bretonnii mort-vivant.
Mais il te faut maintenant te rendre à l'évidence; il ne reviendront pas à temps pour t'informer. Tu vois que la pâle lumière du soleil -qu'on devine plus qu'on ne la voit- est en train de disparaître à l'ouest sous la forêt d'Arden. Et les non-morts qui assiègent le bourg s'agitent... La nuit sera terrible pour les défenseurs de Valoise et c'est à toi de faire un choix.
Vas-tu protéger tes vassaux (malgré leur puanteur de paysans) ou aller chercher la gloire en traquant la vilaine Agnès qui semble être l'instigatrice de tout ça parce que de toute façon tu pourra toujours foutre de nouveaux paysans dans le village ? Ou ptet essayer couillument de faire les deux ? Ou tergiverser et attendre tes routiers ? Ou autre chose ?
Et sa répartie pour le moins brave (pour ne pas dire autre chose) :
Citation :Même si ces faquins de paysans avaient l'odeur de leur situation, nul Chevalier digne de ce nom ne pourrait se permettre de les négliger. La chevalerie existe grâce à son accointance au peuple. Nul ne saurait l'ignorer, si son honneur est au coeur du chemin qu'il compte arpenter. Mais l'origine du Mal est bien plus glorieux à défaire que ses conséquences. Et cette quête est pour Tristan le Mirliflore, Chevalier à la brutalité d'une Rose, à la douceur de l'écorce d'un chêne et au piquant d'une botte de paille.
Tristan part acagner cette sorcière avec son fidèle écuyer et deux de ses plus fidèles chevaliers et laisse le gros de la troupe s'occuper de ce menu fretin.
Lâchez la meute de chasse sur les squelettes et les zombies , mes chiens sauront les éparpiller.
le squat
quelques parties à jouer et je reviens, merci aux braves