Tieng, au fait, que s'est-il passé ?
Et bien, alors que les morts-vivants, menés par un apprenti Nécromant et un champion Revenant avançaient sur Valoise à la tombée de la nuit, les chevaliers, laissés à eux mêmes se disputaient pour la gloare du commandement. Profitant de l'indécision des renforts, deux gros régiments de squelettes et de zombios lancent l'assaut sur le flanc ouest du village tenu par les locaux en condition de se battre et De Servolles et ses arbalétriers Tiléens.
Le combat ne commence d'ailleurs pas mal pour les bretonnii et pendant que les civils non-combattants profitent du temps gagné pour s'enfuir, les arbalétriers qui tiennent l'extrême ouest au pied de l'église, planqués derrière un muret de pierres sèches font leur boulot sur les squelettes du Revenant. Les zombios et leur Nécro, eux, semblent caler avant même d'arriver au village et les piquiers Tiléens en profitent pour se rapprocher et garder le flanc des paysans en armes.
Et là, c'est le drame.
La magie des vilains non-morts fait son office et les squelettes se relèvent et avancent magiquement vite jusqu'au pied du muret avant de déborder les arbalétriers par leur masse. De Servolles, blessé, est obligé de reculer malgré le mur et les assaillants l'enjambent et pénètrent le village. Les zombies, eux, se sont contenté de laisser charger les piquiers mercenaires mais encaissent bien et le Nécromant invoque les vents de magie et leur permet de riposter -violement- sur la charge avant d'user d'une bourrasque magique pour repousser les survivants de l'assaut. D'un coup, les pauvres gueux se retrouvent quasiment seuls et encerclés par les régiments de cadavres ambulants.
Menant la retraite en lutant pour chaque hexagone de terrain, De Servolles lutte avec courage, presque jusqu'à son dernier paysan. Heureusement pour lui les civils et notables continuent à bien s'enfuir dans les contreforts des montagnes au nord du village et le sacrifice ne semble pas vain. Les quelques piquiers mercos qui restent ont sans doute compris qu'ils n'en réchapperaient pas devant cet adversaire inhumain qui les a coincé dans la cuvette et, faisant fi de leurs intérêts pécuniers, donnent aussi de leur personne pour ralentir les zombios.
Sur ces entrefaites, les chevaliers commencent enfin à arriver mais sans doute un peu tard. Le Nécromant bouge enfin ses renforts et interpose les fantômes et charognards devant l'élite bretonnienne le temps d'en finir avec les villageois. Malgré l'absence de héros pour les mener, la charge de chevalier sera suffisante pour disperser les non-morts devant eux et rejoindre les derniers piquiers. Mais le manque de commandement se fait sentir et leur avancée est embourbée dans les morts-vivants qui décèdent très vite et se relèvent presque aussi vite.
Alors que la nuit avance et que De Servolles est finalement débordé et jeté bas par les fantômes immortels tout juste réapparus dans le village, un second groupe de chevaliers apparait et le premier finit par avoir l'opportunité de charger les zombies et de les enfoncer. Le Nécromants, malheureusement, se montre veule mais malin et s'esquive, relevant de nouvelles troupes des cadavres des gueux et multipliant les obstacles entre lui et les nobles Bretonnii.
Préférant sans doute se battre un autre jour, les non-morts s'éclipsent dans les bois à l'ouest de Valoise, laissant les chevaliers maîtres du terrain. Le village est arrachés aux doigts crochus de la mort, le lieu de culte n'a pas été désacralisé et les villageois importants ainsi que les inutiles sont finalement sauf. C'est la première victoire Bretonnienne depuis le début de la campagne. Mais elle a été acquise à un prix élevé et le Chevalier Pirusse qui a finalement réussit à faire prévaloir son ancienneté et à récolter les trophées de la victoire ne peut que constater que le village est à moitié détruit, l'église pillée (où est passée cette Dame Noire pour laquelle était célèbre Valoise ?), le gros des paysans morts et relevés par ses adversaires du jour (enfin, de la nuit) et les mercenaires qui défendaient la région sont tous passés par l'épée rouillée...
Mais c'est une victoire et comme pas un seul noble Gisoréen n'est tombé, il n'y a pas mort d'homme.
'tain ça pique une charge de chevalerie sur du gueux, patron ou pas. Mais sans le commandement d'un petit patron, ils sont lents à se mettre en branle. Sinon les cartes de bonification et les jetons qui vont avec sont pas mal pour représenter la magie, c'est un truc qui tourne.
Reste à voir ce qu'il est advenu aux pâtures.
le squat
qui joue au lieu de peindouiller
(Modification du message : 27-12-2020, 22:50 par la queue en airain.)
Et bien, alors que les morts-vivants, menés par un apprenti Nécromant et un champion Revenant avançaient sur Valoise à la tombée de la nuit, les chevaliers, laissés à eux mêmes se disputaient pour la gloare du commandement. Profitant de l'indécision des renforts, deux gros régiments de squelettes et de zombios lancent l'assaut sur le flanc ouest du village tenu par les locaux en condition de se battre et De Servolles et ses arbalétriers Tiléens.
Le combat ne commence d'ailleurs pas mal pour les bretonnii et pendant que les civils non-combattants profitent du temps gagné pour s'enfuir, les arbalétriers qui tiennent l'extrême ouest au pied de l'église, planqués derrière un muret de pierres sèches font leur boulot sur les squelettes du Revenant. Les zombios et leur Nécro, eux, semblent caler avant même d'arriver au village et les piquiers Tiléens en profitent pour se rapprocher et garder le flanc des paysans en armes.
Et là, c'est le drame.
La magie des vilains non-morts fait son office et les squelettes se relèvent et avancent magiquement vite jusqu'au pied du muret avant de déborder les arbalétriers par leur masse. De Servolles, blessé, est obligé de reculer malgré le mur et les assaillants l'enjambent et pénètrent le village. Les zombies, eux, se sont contenté de laisser charger les piquiers mercenaires mais encaissent bien et le Nécromant invoque les vents de magie et leur permet de riposter -violement- sur la charge avant d'user d'une bourrasque magique pour repousser les survivants de l'assaut. D'un coup, les pauvres gueux se retrouvent quasiment seuls et encerclés par les régiments de cadavres ambulants.
Menant la retraite en lutant pour chaque hexagone de terrain, De Servolles lutte avec courage, presque jusqu'à son dernier paysan. Heureusement pour lui les civils et notables continuent à bien s'enfuir dans les contreforts des montagnes au nord du village et le sacrifice ne semble pas vain. Les quelques piquiers mercos qui restent ont sans doute compris qu'ils n'en réchapperaient pas devant cet adversaire inhumain qui les a coincé dans la cuvette et, faisant fi de leurs intérêts pécuniers, donnent aussi de leur personne pour ralentir les zombios.
Sur ces entrefaites, les chevaliers commencent enfin à arriver mais sans doute un peu tard. Le Nécromant bouge enfin ses renforts et interpose les fantômes et charognards devant l'élite bretonnienne le temps d'en finir avec les villageois. Malgré l'absence de héros pour les mener, la charge de chevalier sera suffisante pour disperser les non-morts devant eux et rejoindre les derniers piquiers. Mais le manque de commandement se fait sentir et leur avancée est embourbée dans les morts-vivants qui décèdent très vite et se relèvent presque aussi vite.
Alors que la nuit avance et que De Servolles est finalement débordé et jeté bas par les fantômes immortels tout juste réapparus dans le village, un second groupe de chevaliers apparait et le premier finit par avoir l'opportunité de charger les zombies et de les enfoncer. Le Nécromants, malheureusement, se montre veule mais malin et s'esquive, relevant de nouvelles troupes des cadavres des gueux et multipliant les obstacles entre lui et les nobles Bretonnii.
Préférant sans doute se battre un autre jour, les non-morts s'éclipsent dans les bois à l'ouest de Valoise, laissant les chevaliers maîtres du terrain. Le village est arrachés aux doigts crochus de la mort, le lieu de culte n'a pas été désacralisé et les villageois importants ainsi que les inutiles sont finalement sauf. C'est la première victoire Bretonnienne depuis le début de la campagne. Mais elle a été acquise à un prix élevé et le Chevalier Pirusse qui a finalement réussit à faire prévaloir son ancienneté et à récolter les trophées de la victoire ne peut que constater que le village est à moitié détruit, l'église pillée (où est passée cette Dame Noire pour laquelle était célèbre Valoise ?), le gros des paysans morts et relevés par ses adversaires du jour (enfin, de la nuit) et les mercenaires qui défendaient la région sont tous passés par l'épée rouillée...
Mais c'est une victoire et comme pas un seul noble Gisoréen n'est tombé, il n'y a pas mort d'homme.
'tain ça pique une charge de chevalerie sur du gueux, patron ou pas. Mais sans le commandement d'un petit patron, ils sont lents à se mettre en branle. Sinon les cartes de bonification et les jetons qui vont avec sont pas mal pour représenter la magie, c'est un truc qui tourne.
Reste à voir ce qu'il est advenu aux pâtures.
le squat
qui joue au lieu de peindouiller