Tieng, avant un dernier fragment d'histoire de JoB (que je cherche à agrémenter pour vos beaux zoeuils), je vous fait patienter avec un nouveau développement pour ma campagne WFB principale. La faute à un vil individu qui cherche à me faire chuter dans une histoire d'abonnement en me susurrant "achêêête" à l'oreille (ou un truc du genre).
C'est un trip qui date des années 90 avec une envie de jouer une liste full éthérés qui a un peu évolué avec le temps, s'est développé avec l'arrivée d'AoS et des nighthaunts et qui va maintenant pouvoir justifier fluffiquement un peu tout ce que je vais me foutre dans les fouilles :
CDOW : Xaladiktas et Nane Tsoxa, les amants damnés.
Avant les orks, avant même Mourkain, les badlands étaient une terre fertile et habitée. Parmi les peuples qui s'y sont succédé, on trouve les Dhraces, une tribu oubliée de l'histoire, contemporaine des Nehekariens et ayant subi leur joug comme beaucoup d'autochtones des terres arides et du vieux monde. Leurs bandes irrégulières vêtues de lin et de fourrures et armées d'épées et de haches de bronze n'avaient certes que peu de chances contre les légions bien armurées et armées venues du sud qui ont conquis le monde pour instaurer leur empire. Les Dhraces étaient au nombre de leurs victimes.
Plutôt que de vivre en territoire conquis, les fiers Voïvodes -la noblesse de la tribu- ont mené les leurs dans les contreforts des Montagnes du Bord du Monde pour établir leur nouveau royaume dans quelques vallées isolées au mépris du danger d'être pris dans les Guerres Gobelines qui battaient leur plein.
Fondant une société presque florissante à ses débuts, les Dhraces préférèrent rester coupés du monde, sacrifiant à leurs dieux moribonds tous les estrangers ayant découvert leur petite ville au nom perdu, à l’architecture typique. En autarcie complète, leurs us finirent par tourner en rond et s’amplifier outrageusement à mesure que s’établissait en contrepartie une forte tradition eugénique de mariages endogames liée à la population décroissante.
Toute leur culture, leur civilisation, devint une autoparodie, rythmée d’une inconvenante litanie d’offices dédiés à leurs divinités mourantes faute d’adorateurs mais aussi à cause de la versatilité de leurs rares dévots survivants. De cultes animistes sacrifiant des bières riches en les versant dans la terre, ils développèrent des cérémonies plus codifiées faisant la part belles à des sacrifices plus sanglants, animaux d’abord mais très rapidment humains. Dévoyant leur culture et leur religion notre petite peuplade survécu presque quatre siècles en dévoluant, jusqu’aux temps de Xaladiktas et Nane Tsoxa.
Xaladiktas était un Voïvode Dhrace, un champion du peuple mais aussi de son Dieu au nom depuis longtemps oublié. Enfin, il faut le dire vite, tellement fut rapide la dérive du culte. ll était aussi un homme et son amour était sa faiblesse. Amour pour sa sœur et cousine, la grande prêtresse de son culte. Amour que la belle Nane Tsoxa lui retournait d'ailleurs ardemment. Nos tourtereaux, au mépris des interdits se fréquentaient donc parce qu'ils étaient beaux, jeunes et braves. Malheureusement pour eux, la grossesse de Nane Tsoxa censée rester une vierge dédiée à son Dieu mit un terme brutal à leur clandestinité en jetant leurs amours coupables en pâture à l'opprobre. Leur lien de sang n’important que peu finalement dans cette petite communauté isolée où la consanguinité était devenue la norme mais le parjure de leurs vœux spirituels, lui, appelait punition.
Malgré le blasphème (ou peut-être grâce à icelui), l'entité de l'Empyrean derrière leur culte jeta ses dernières forces en un signe franc exigeant la survie du couple. Nos héros maudits furent exilés dans un petit manoir -du nom de Peles- en périphérie de la vallée avec leur mère (et tante) et une poignée de servantes. Vivant d'amour, d'eau fraîche, de racines et d'un peu de chasse, ils eurent si ce n'est quelques mois heureux au moins presque tranquilles avant que les inquisiteurs du culte, faisant fi de la volonté de leur Patron Divin de laisser tranquille ces deux fouteurs de merde, ne prennent leur parti de rendre la justice.
Dans un impressionnant élan d'unité sociale contre les bons boucs émissaires, une masse de paysans, quelques factionnaires et gens d'armes locaux mais aussi les grouillots du château Peles -les anciens domestiques de nos héros- et leur propre famille accompagnèrent les inquisiteurs. Alors que nos héros, prévenus au dernier moment par leur dernier fidèle, s’enfuyaient pour sortir de la vallée, cette foule cria l’hallali en agitant des chaînes, cadenas, lames et impléments de torture. Grimpant vaillamment la montagne à la poursuite des amoureux maudits pour achever leur traque et mettre à mort (lentement et douloureusement, on ne badine pas avec les interdits) Xaladiktas et Nane Tsoxa mais aussi leurs jumeaux issus de leur union contre nature.
Leurs enfants formant un bagage encombrant, surtout à la mauvaise saison, nos héros ne purent fuir bien loin : ralentis par les versants abrupts, la pluie, le vent et les torrents de boue des intempéries. Acculés contre une falaise, sous une averse torrentielle, ils ne purent qu'observer la foule ivre de rage leur arrivant dessus à la lumière des éclairs. Refusant de se soumettre simplement à leur funeste destin, nos amants crachèrent une dernière fois à la face des Dieux en égorgeant leurs enfants avant de se donner la mort, une dernière malédiction pour leurs poursuivants sur les lèvres.
Leurs quatre cadavres s’effondrant dans un buisson de roses abreuvé de leur sang, leurs anciens amis braillant leur haine, le dernier des Dieux Dhraces rendit son dernier soupir devant cet ultime tableau de la déchéance de son culte. Mais, dans l’Empyrean, Zuvassin, tout sourire devant ce spectacle à son goût, accéda à leur requête et un éclair s'abattit à flanc de montagne. L'éboulement emporta leurs cadavres mais aussi l'attroupement des vindicatifs dans la vallée, enterrant tout ce petit monde.
Un second éclair vint frapper la canopée proche et enflammer les arbres malgré la pluie torrentielle. Plus loin la rivière sortit de son lit, entraînant une coulée de boue menaçant le village des Dhraces qui était lui-même violemment frappé par l’orage… Selon la dernière malédiction de nos héros, la vallée fut frappée de calamités multiples, ensevelissant presque toute trace du passage de leur communauté, le château Peles disparaissant en dernier dans un épouvantable brasier alors que les cadavres de toute une peuplade, brisés, brûlés, finissaient sous des tonnes de roc et de terre.
Des siècles plus tard, quand Manus Kokkalaros, le Strigoï, fonda son propre petit domaine dans la vallée devenue celle de la rivière Riège, il le fit en sentant un grand nombre d’esprits tourmentés en ces lieux. Pas un cadavre ne se leva à son appel pourtant -mais ça n’est guère étonnant- mais bon nombre de fantômes, spectres et autres revenants incorporels répondirent, les âmes tourmentées et maudites incapables de trouver le repos de l’Empyrean ou de rejoindre leur déité dispersée.
Les amants, par leur volonté farouche revinrent sous l’aspect d’un puissant spectre, les esprits de leurs bébés se manifestant autour de leur mère sous la forme de roses, de ronces. Se retrouvant à la tête d'une coterie de morts-vivants éthérés formée des esprits de leurs poursuivants, l'ironie leur agréant, il en prirent leur parti malgré leur soumission au vampire.
Soumission heureusement matinée de moments de liberté quand le Strigoï à moitié fou se perd dans ses délires. C’est dans ces périodes que nos héros cherchent un moyen de s’affranchir de leur invocateur, quitte à se lancer dans des alliances contre nature.
Le tout se cale dans un flouffe déjà existant que je posterai ptet un jour à nouveau par ici et que vous pouvez chercher sinon (mais que certaines personnes voulant jouer EW devraient éviter, ya du spoil). Le Strigoï, par exemple, a un peu plus de son histoire définie.
Côté règles on verra mais déjà par exemple en Herohammer, c'est une bande qui pourrait justifier de jouer un lichemeister qui entre son épée méchante, son manteau d'ombres et de brumes qui le rend intangible et ses sorts peut coller à la représentation du couple (qui sera la Reine des Roices ou un nom du genre et un gros fantôme ptet monté en mini diorama). Des éthérés divers : fantômes, spectres, carrions... feront le reste. Sachant, en aparté, que le Strigoï est stupide mais haineux envers les Von Carstein et -oeuf corse- les orques.
Après c'est un projet qui a plus d'un quart de siècle, pour lequel j'ai enfin trouvé des gurines qui me causent et maintenant accessibles à un coût qui cause à ma bourse. Plusq qu'à stocker ça et à les ressortir à l'horizon 2038. En attendant, les quelques fantômes et esprits de l'anneau que j'ai qui sont dans une échelle plus proche du 25 qu'autre chose vont continuer à servir mais seront normalement réorientés. De la même manière que mes chevaliers bretons 25mm sont devenus des halflings dans les 90's, l'Ordre du Pain Perdu (mais pas pour tout le monde) -fondé par Fierabras Spouque, le fameux halfling qui pouvait battre un orque en close-, je vais développer les traditions de l'ordre qui enterre ses héros (dont le fameux Fierabras, forcément) dans des Galgals (même pas honte) à la frontière du Moot. Et comme j'ai du necromanchien qui traîne par là (et nos héros ci-dessus aussi, d'ailleurs), je sens que je vais avoir des spectres de halflings.
le squat
j'ai ptet du 4ok/SHulk à rédiger aussi
(Modification du message : 30-03-2021, 09:56 par la queue en airain.)
C'est un trip qui date des années 90 avec une envie de jouer une liste full éthérés qui a un peu évolué avec le temps, s'est développé avec l'arrivée d'AoS et des nighthaunts et qui va maintenant pouvoir justifier fluffiquement un peu tout ce que je vais me foutre dans les fouilles :
CDOW : Xaladiktas et Nane Tsoxa, les amants damnés.
Avant les orks, avant même Mourkain, les badlands étaient une terre fertile et habitée. Parmi les peuples qui s'y sont succédé, on trouve les Dhraces, une tribu oubliée de l'histoire, contemporaine des Nehekariens et ayant subi leur joug comme beaucoup d'autochtones des terres arides et du vieux monde. Leurs bandes irrégulières vêtues de lin et de fourrures et armées d'épées et de haches de bronze n'avaient certes que peu de chances contre les légions bien armurées et armées venues du sud qui ont conquis le monde pour instaurer leur empire. Les Dhraces étaient au nombre de leurs victimes.
Plutôt que de vivre en territoire conquis, les fiers Voïvodes -la noblesse de la tribu- ont mené les leurs dans les contreforts des Montagnes du Bord du Monde pour établir leur nouveau royaume dans quelques vallées isolées au mépris du danger d'être pris dans les Guerres Gobelines qui battaient leur plein.
Fondant une société presque florissante à ses débuts, les Dhraces préférèrent rester coupés du monde, sacrifiant à leurs dieux moribonds tous les estrangers ayant découvert leur petite ville au nom perdu, à l’architecture typique. En autarcie complète, leurs us finirent par tourner en rond et s’amplifier outrageusement à mesure que s’établissait en contrepartie une forte tradition eugénique de mariages endogames liée à la population décroissante.
Toute leur culture, leur civilisation, devint une autoparodie, rythmée d’une inconvenante litanie d’offices dédiés à leurs divinités mourantes faute d’adorateurs mais aussi à cause de la versatilité de leurs rares dévots survivants. De cultes animistes sacrifiant des bières riches en les versant dans la terre, ils développèrent des cérémonies plus codifiées faisant la part belles à des sacrifices plus sanglants, animaux d’abord mais très rapidment humains. Dévoyant leur culture et leur religion notre petite peuplade survécu presque quatre siècles en dévoluant, jusqu’aux temps de Xaladiktas et Nane Tsoxa.
Xaladiktas était un Voïvode Dhrace, un champion du peuple mais aussi de son Dieu au nom depuis longtemps oublié. Enfin, il faut le dire vite, tellement fut rapide la dérive du culte. ll était aussi un homme et son amour était sa faiblesse. Amour pour sa sœur et cousine, la grande prêtresse de son culte. Amour que la belle Nane Tsoxa lui retournait d'ailleurs ardemment. Nos tourtereaux, au mépris des interdits se fréquentaient donc parce qu'ils étaient beaux, jeunes et braves. Malheureusement pour eux, la grossesse de Nane Tsoxa censée rester une vierge dédiée à son Dieu mit un terme brutal à leur clandestinité en jetant leurs amours coupables en pâture à l'opprobre. Leur lien de sang n’important que peu finalement dans cette petite communauté isolée où la consanguinité était devenue la norme mais le parjure de leurs vœux spirituels, lui, appelait punition.
Malgré le blasphème (ou peut-être grâce à icelui), l'entité de l'Empyrean derrière leur culte jeta ses dernières forces en un signe franc exigeant la survie du couple. Nos héros maudits furent exilés dans un petit manoir -du nom de Peles- en périphérie de la vallée avec leur mère (et tante) et une poignée de servantes. Vivant d'amour, d'eau fraîche, de racines et d'un peu de chasse, ils eurent si ce n'est quelques mois heureux au moins presque tranquilles avant que les inquisiteurs du culte, faisant fi de la volonté de leur Patron Divin de laisser tranquille ces deux fouteurs de merde, ne prennent leur parti de rendre la justice.
Dans un impressionnant élan d'unité sociale contre les bons boucs émissaires, une masse de paysans, quelques factionnaires et gens d'armes locaux mais aussi les grouillots du château Peles -les anciens domestiques de nos héros- et leur propre famille accompagnèrent les inquisiteurs. Alors que nos héros, prévenus au dernier moment par leur dernier fidèle, s’enfuyaient pour sortir de la vallée, cette foule cria l’hallali en agitant des chaînes, cadenas, lames et impléments de torture. Grimpant vaillamment la montagne à la poursuite des amoureux maudits pour achever leur traque et mettre à mort (lentement et douloureusement, on ne badine pas avec les interdits) Xaladiktas et Nane Tsoxa mais aussi leurs jumeaux issus de leur union contre nature.
Leurs enfants formant un bagage encombrant, surtout à la mauvaise saison, nos héros ne purent fuir bien loin : ralentis par les versants abrupts, la pluie, le vent et les torrents de boue des intempéries. Acculés contre une falaise, sous une averse torrentielle, ils ne purent qu'observer la foule ivre de rage leur arrivant dessus à la lumière des éclairs. Refusant de se soumettre simplement à leur funeste destin, nos amants crachèrent une dernière fois à la face des Dieux en égorgeant leurs enfants avant de se donner la mort, une dernière malédiction pour leurs poursuivants sur les lèvres.
Leurs quatre cadavres s’effondrant dans un buisson de roses abreuvé de leur sang, leurs anciens amis braillant leur haine, le dernier des Dieux Dhraces rendit son dernier soupir devant cet ultime tableau de la déchéance de son culte. Mais, dans l’Empyrean, Zuvassin, tout sourire devant ce spectacle à son goût, accéda à leur requête et un éclair s'abattit à flanc de montagne. L'éboulement emporta leurs cadavres mais aussi l'attroupement des vindicatifs dans la vallée, enterrant tout ce petit monde.
Un second éclair vint frapper la canopée proche et enflammer les arbres malgré la pluie torrentielle. Plus loin la rivière sortit de son lit, entraînant une coulée de boue menaçant le village des Dhraces qui était lui-même violemment frappé par l’orage… Selon la dernière malédiction de nos héros, la vallée fut frappée de calamités multiples, ensevelissant presque toute trace du passage de leur communauté, le château Peles disparaissant en dernier dans un épouvantable brasier alors que les cadavres de toute une peuplade, brisés, brûlés, finissaient sous des tonnes de roc et de terre.
Des siècles plus tard, quand Manus Kokkalaros, le Strigoï, fonda son propre petit domaine dans la vallée devenue celle de la rivière Riège, il le fit en sentant un grand nombre d’esprits tourmentés en ces lieux. Pas un cadavre ne se leva à son appel pourtant -mais ça n’est guère étonnant- mais bon nombre de fantômes, spectres et autres revenants incorporels répondirent, les âmes tourmentées et maudites incapables de trouver le repos de l’Empyrean ou de rejoindre leur déité dispersée.
Les amants, par leur volonté farouche revinrent sous l’aspect d’un puissant spectre, les esprits de leurs bébés se manifestant autour de leur mère sous la forme de roses, de ronces. Se retrouvant à la tête d'une coterie de morts-vivants éthérés formée des esprits de leurs poursuivants, l'ironie leur agréant, il en prirent leur parti malgré leur soumission au vampire.
Soumission heureusement matinée de moments de liberté quand le Strigoï à moitié fou se perd dans ses délires. C’est dans ces périodes que nos héros cherchent un moyen de s’affranchir de leur invocateur, quitte à se lancer dans des alliances contre nature.
Le tout se cale dans un flouffe déjà existant que je posterai ptet un jour à nouveau par ici et que vous pouvez chercher sinon (mais que certaines personnes voulant jouer EW devraient éviter, ya du spoil). Le Strigoï, par exemple, a un peu plus de son histoire définie.
Côté règles on verra mais déjà par exemple en Herohammer, c'est une bande qui pourrait justifier de jouer un lichemeister qui entre son épée méchante, son manteau d'ombres et de brumes qui le rend intangible et ses sorts peut coller à la représentation du couple (qui sera la Reine des Roices ou un nom du genre et un gros fantôme ptet monté en mini diorama). Des éthérés divers : fantômes, spectres, carrions... feront le reste. Sachant, en aparté, que le Strigoï est stupide mais haineux envers les Von Carstein et -oeuf corse- les orques.
Après c'est un projet qui a plus d'un quart de siècle, pour lequel j'ai enfin trouvé des gurines qui me causent et maintenant accessibles à un coût qui cause à ma bourse. Plusq qu'à stocker ça et à les ressortir à l'horizon 2038. En attendant, les quelques fantômes et esprits de l'anneau que j'ai qui sont dans une échelle plus proche du 25 qu'autre chose vont continuer à servir mais seront normalement réorientés. De la même manière que mes chevaliers bretons 25mm sont devenus des halflings dans les 90's, l'Ordre du Pain Perdu (mais pas pour tout le monde) -fondé par Fierabras Spouque, le fameux halfling qui pouvait battre un orque en close-, je vais développer les traditions de l'ordre qui enterre ses héros (dont le fameux Fierabras, forcément) dans des Galgals (même pas honte) à la frontière du Moot. Et comme j'ai du necromanchien qui traîne par là (et nos héros ci-dessus aussi, d'ailleurs), je sens que je vais avoir des spectres de halflings.
le squat
j'ai ptet du 4ok/SHulk à rédiger aussi