Je pense (j'espère) que cette perte du second degré est une impression déformée par internet, on a amené tout le monde sur les mêmes plateformes, qui sont des supports écrit par lequel le second degré n'est pas toujours visible, on provoque ainsi beaucoup de malentendus. Ensuite c'est boule de neige : si 2-3 s'insurgent, ça devient 2000-3000, qui ne représentent qu'une goutte d'eau mais qui vont être les seuls à gueuler, obligeant la personne/entreprise/cible à réagir : excuse, mea culpa, contrition à la soviet.
Pendant ce temps 2 à 3 millions de personnes se disent "pfff c'est disproportionné, c'était du second degré".
Pendant ce temps 2 à 3 millions de personnes se disent "pfff c'est disproportionné, c'était du second degré".