Citation :Je suis vraiment surpris parce qu'ils font très "génériques", un comble quand même vu que AOS c'est sensé être plus marqué visuellement.
Au final une armée de l'Empire du Vieux Monde c'était plus facilement repérable, l'identité était plus forte, les cités de sigmar je trouve que ça n'arrive pas à "son identité" et pour cause, on sait qu'il y autant d'allures possible que de cité, donc on se retrouve avec un exemple de look, associé à un royaume, mais pas aux autres.
Je pense que les concepteurs ont dû opérer un compromis délicat entre la faisabilité pratique (impossible de faire un kit qui collerait à toutes les grandes cités de Sigmar connus avec des bitz pour chacune d'entre elle), le lore 'écrit' (la plupart des Franches Companies des Cités de Sigmar ont un look soit bien typé, soit plutôt sobre/passe-partout) et la direction artistique existante (où on oscille entre du Lansquenets survivance de l'Empire et des soldats humains médievaux relativement classiques). Leur sobriété fait un bon contraste avec les soldats du rang et les fusiliers qu'on a pu voir jusqu'ici, qui eux étaient baroques.
Là, tu as un look assez passe-partout et standardisé. Ils sont probablement équipés par les armureries d'une des grandes cités de Sigmar où les artisans doivent donner dans le fonctionnel pas très cher. En plus ce sont des éclaireurs alors les équipements tape à l’œil sont à sûrement à proscrire. Ils n'ont pas l'utilité de pièces d'armure très ouvragées. Ce n'est pas étonnant.
Citation :C'est un peu comme la GI (ou les FDP plutot, pour faire plaisir au Chat) à 40k, il peut y avoir une grande diversité, mais eux ont la justif d'avoir un même matos standardisé.
Ah la pour le coup on est d'accord : le garde plastique est en réalité un Cadien, point final. Pas pour tous les kits mais pour la grande majorité. L'équipement de la Garde est pas si standardisée que ça, c'est même un fameux bordel logistique (rien que les fusils laser standard, il en existe plein de modèles différents...ça peut poser problème quand un régiment n'a pas celui auquel il est habitué).