@Noha : faut pas me lancer sur Cursed City 
, un projet qui a toute les apparences d'avoir été salopé de bout en bout. Tellement mal géré qu'on pourrait même parler d'auto-sabordage. Heureusement que tu as réussi à trouver le matériel en français.
Les baleines se rencontrent surtout dans les jeux avec microtransactions. Ça doit exister dans tous les secteurs (encore que, pour les poignées de portes, j'ai des doutes
)mais je doute qu'ils constituent le gros du chiffre d'affaire. Games Workshop renouvelle une large partie de ses clients par vagues successives (avec les ados et jeunes adultes), le but est de leur faire dépenser (plutôt : que leurs parents dépensent) une somme déraisonnable avant qu'ils se lassent et passent à autre chose. C'était déjà l'essentiel de leur stratégie dans les années 90, 2000 et 2010. Si je me base sur la vidéo de l'interview du concepteur de la gamme Contrast Paint, ça n'a pas beaucoup changé, même avec le renouvellement du CEO et du conseil d'administration. La stratégie est efficace alors tant qu'elle marche, pourquoi en changer ?
Mais maintenant, ils font de l'appel du pied aux vieux avec la ressortie des jeux Specialist, Blood Bowl et Epic en tête. Ils se sont fortement diversifiés aussi. Pendant très longtemps, il ne proposait que Warhammer Battle, 40k et LoTR. Warcry, des jeux de plateaux à durée de vie limitée... tout ça c'est vraiment récent dans leur stratégie globale. Leur offre restreinte a failli provoquer leur chute au milieu des années 2010.
Ils ont aussi énormément développé leur IP, notamment dans les jeux vidéo, justement pour faciliter ce renouvellement. Je n'ai aucune idée du taux de conversion jeu vidéal =>figurines mais il doit probablement être faible. Et surtout grâce aux éditions Atlas, ils proposent une porte d'entrée à bas coût à leur jeu, ce qu'ils avaient déjà fait avec un grand succès pour Lord of the Rings.
Même en les appréciant pas (et même si ça m'arrache la gueule de l'écrire
) : on peut trouver leurs stratégies prédatrices, que leur respect du client ne fait pas semblant d'être absent mais les personnes qui impulsent la stratégie de l'entreprise savent très bien ce qu'elles font, comment le faire et elles connaissent aussi très bien leurs cibles. Ils sont très doués dans leur domaine.
Bon après ce ne sont pas non plus les génies en échec 4D que certaines personnes semblent s'imaginer parce qu'ils leur arrivent de faire de belles conneries de temps en temps. Mais ils sont vraiment très forts. Je ne vois pas de concurrents actuellement, dans le domaine de la figurine de jeu à monter et à peindre sur table, qui pourraient réellement leur bouffer des parts de marché.
, un projet qui a toute les apparences d'avoir été salopé de bout en bout. Tellement mal géré qu'on pourrait même parler d'auto-sabordage. Heureusement que tu as réussi à trouver le matériel en français.Les baleines se rencontrent surtout dans les jeux avec microtransactions. Ça doit exister dans tous les secteurs (encore que, pour les poignées de portes, j'ai des doutes
)mais je doute qu'ils constituent le gros du chiffre d'affaire. Games Workshop renouvelle une large partie de ses clients par vagues successives (avec les ados et jeunes adultes), le but est de leur faire dépenser (plutôt : que leurs parents dépensent) une somme déraisonnable avant qu'ils se lassent et passent à autre chose. C'était déjà l'essentiel de leur stratégie dans les années 90, 2000 et 2010. Si je me base sur la vidéo de l'interview du concepteur de la gamme Contrast Paint, ça n'a pas beaucoup changé, même avec le renouvellement du CEO et du conseil d'administration. La stratégie est efficace alors tant qu'elle marche, pourquoi en changer ?Mais maintenant, ils font de l'appel du pied aux vieux avec la ressortie des jeux Specialist, Blood Bowl et Epic en tête. Ils se sont fortement diversifiés aussi. Pendant très longtemps, il ne proposait que Warhammer Battle, 40k et LoTR. Warcry, des jeux de plateaux à durée de vie limitée... tout ça c'est vraiment récent dans leur stratégie globale. Leur offre restreinte a failli provoquer leur chute au milieu des années 2010.
Ils ont aussi énormément développé leur IP, notamment dans les jeux vidéo, justement pour faciliter ce renouvellement. Je n'ai aucune idée du taux de conversion jeu vidéal =>figurines mais il doit probablement être faible. Et surtout grâce aux éditions Atlas, ils proposent une porte d'entrée à bas coût à leur jeu, ce qu'ils avaient déjà fait avec un grand succès pour Lord of the Rings.
Même en les appréciant pas (et même si ça m'arrache la gueule de l'écrire
) : on peut trouver leurs stratégies prédatrices, que leur respect du client ne fait pas semblant d'être absent mais les personnes qui impulsent la stratégie de l'entreprise savent très bien ce qu'elles font, comment le faire et elles connaissent aussi très bien leurs cibles. Ils sont très doués dans leur domaine.Bon après ce ne sont pas non plus les génies en échec 4D que certaines personnes semblent s'imaginer parce qu'ils leur arrivent de faire de belles conneries de temps en temps. Mais ils sont vraiment très forts. Je ne vois pas de concurrents actuellement, dans le domaine de la figurine de jeu à monter et à peindre sur table, qui pourraient réellement leur bouffer des parts de marché.