La lutte pour la survie :
Comme les brumes écarlates ne s’étaient étendues qu’à une partie de la ville, environ un quart, le Maître de la cité décida de tenter de construire un mur autour de cette zone afin d’empêcher le brouillard de le traverser et de s’étendre encore plus. Un grand chantier fut mis en place et les meilleurs artisans et maçons furent sollicités. Au moins, cela limiterait le nombre d’abominations qui pénétreraient le reste de la cité, se disait-on. Et se fut effectivement le cas.
Une fois construit, ce mur imposant d’une bonne dizaine de coudées de haut retint les brumes écarlate et réduit significativement le nombre de monstres qui pénétraient le reste de la ville. La très grande majorité des hommes du guet furent affectés à la surveillance du mur. Mais ceci ne fut pas sans conséquences négatives. En effet, ces hommes n’étaient plus disponibles pour maintenir l’ordre et traquer les cultes et abominations déjà présents dans la partie indemne de la ville, ou celles qui avaient réussi à y pénétrer malgré le mur et sa surveillance constante.
Une première réponse apportée à ce nouveau problème le fut par l’Église de la Croix de la Sainte Lumière. Elle recruta parmi ses suivants des hommes courageux, capables d’affronter le mal et les plus prometteurs furent entraînés intensivement au sein des Ordres Guerriers. Certains disposaient de pouvoirs cabalistiques, d’autres des talents de guerriers exceptionnels, et après une formation courte du à l’urgence de la situation, les meilleurs furent chargés de diriger des petits groupes de combattants avec pour but d’éliminer la corruption. On les appelait les Traqueurs.
Comme les brumes écarlates ne s’étaient étendues qu’à une partie de la ville, environ un quart, le Maître de la cité décida de tenter de construire un mur autour de cette zone afin d’empêcher le brouillard de le traverser et de s’étendre encore plus. Un grand chantier fut mis en place et les meilleurs artisans et maçons furent sollicités. Au moins, cela limiterait le nombre d’abominations qui pénétreraient le reste de la cité, se disait-on. Et se fut effectivement le cas.
Une fois construit, ce mur imposant d’une bonne dizaine de coudées de haut retint les brumes écarlate et réduit significativement le nombre de monstres qui pénétraient le reste de la ville. La très grande majorité des hommes du guet furent affectés à la surveillance du mur. Mais ceci ne fut pas sans conséquences négatives. En effet, ces hommes n’étaient plus disponibles pour maintenir l’ordre et traquer les cultes et abominations déjà présents dans la partie indemne de la ville, ou celles qui avaient réussi à y pénétrer malgré le mur et sa surveillance constante.
Une première réponse apportée à ce nouveau problème le fut par l’Église de la Croix de la Sainte Lumière. Elle recruta parmi ses suivants des hommes courageux, capables d’affronter le mal et les plus prometteurs furent entraînés intensivement au sein des Ordres Guerriers. Certains disposaient de pouvoirs cabalistiques, d’autres des talents de guerriers exceptionnels, et après une formation courte du à l’urgence de la situation, les meilleurs furent chargés de diriger des petits groupes de combattants avec pour but d’éliminer la corruption. On les appelait les Traqueurs.