Tieng, à être dans le thème né chrome antique, on va remonter un peu le thread.
Pas de peinte pour moi mais je continue à exploiter les IA éhontément -mais poliment, le jour de rise uv da machine, j'espère qu'elle s'en souviendra- pour du flouffe. Le chat qui pète m'a pondu des trucs basés sur mes premiers textes. Il a fallu corriger un peu quelques trucs (et j'en ai ptet oublié) mais dans l'ensemble c'est pas si déconnant, ça fait un bon brouillon. Et je suis même étonné par sa capacité "créatrice", il se démerde bien pour reprendre le boulot de GW et le mettre à ma sauce.
Je vous pose ça là.
Parfois un peu trop d'emphase pour son propre bien et quand même un petit manque d'imagination pour les noms. Mais ya de l'idée.
le squat
j'en vois qui glandent au fond
(Modification du message : 01-10-2024, 11:38 par la queue en airain.)
Pas de peinte pour moi mais je continue à exploiter les IA éhontément -mais poliment, le jour de rise uv da machine, j'espère qu'elle s'en souviendra- pour du flouffe. Le chat qui pète m'a pondu des trucs basés sur mes premiers textes. Il a fallu corriger un peu quelques trucs (et j'en ai ptet oublié) mais dans l'ensemble c'est pas si déconnant, ça fait un bon brouillon. Et je suis même étonné par sa capacité "créatrice", il se démerde bien pour reprendre le boulot de GW et le mettre à ma sauce.
Je vous pose ça là.
Citation :Les Goules de la Déchéance
Dans les ombres d’un ancien cimetière, où les tombes sont effondrées et la terre gorgée de pluie, se meut une bande de goules aux corps décharnés. Leurs peaux, tendues sur des os saillants, brillent d'une lueur maladive sous la lumière blafarde de la lune. Les membres, maigres et squelettiques, s’agitent dans un ballet d’angoisse et de désespoir, tandis que leurs yeux, vides de vie, cherchent désespérément une proie à dévorer.
Sous la direction de Thorgar, un esprit malin d’un ancien nain, ces créatures affamées sont poussées par une volonté sournoise. Autrefois fier guerrier, Thorgar a vu son clan tomber, trahi par des alliés et abandonné par ses ancêtres. Dans cette mort sans fin, il a acquis une sagesse tordue, un mélange d'amertume et de ruse. Son rire sardonique résonne dans l’air, une mélodie macabre qui galvanise ses goules affamées.
La bande se déplace avec une grâce grotesque, unis par l’odeur de la chair morte qui les attire, mais leur corps éreinté est un reflet de leur malheur : leurs doigts sont griffus, et leurs mâchoires, souvent déformées, claquent dans un bruit sinistre. Thorgar, jouant de la magie nécromantique, insuffle un semblant de conscience à ses goules, leur murmurant des promesses de festin et de chaos.
Dans leurs errances, elles ne trouvent que des vestiges du passé — des cadavres en décomposition, des souvenirs d'un monde jadis plein de vie. Mais chaque tentative de festin se transforme en désillusion, creusant encore plus leurs corps affamés et décharnés. Leur souffrance devient leur force, et leur désespoir, leur motivation. Thorgar, cependant, rêve d'un jour où la chair fraîche coulera à flots, où son influence pourra réveiller un semblant de pouvoir. Ses goules, à la fois victimes et monstres, continuent leur quête, à la recherche de quelque chose qui pourrait enfin apaiser leur insatiable appétit.
Nuln la Sépulcrale, jadis cœur industriel de l'Empire et célèbre pour ses forges colossales et son savoir-faire en matière de poudre noire, n'est plus qu'une ombre silencieuse de sa grandeur passée. La fumée noire qui s'élevait jadis en colonnes denses s'est évanouie, remplacée par des relents stagnants de mort et de désolation. Les cheminées, autrefois symboles de puissance et de production, sont maintenant des sentinelles de briques qui se dressent tristement sous un ciel blafard, leurs ombres étirées sur une ville immobile.
Les anciens quartiers commerçants ont été désertés par les vivants, les étals ayant cédé leur place à des dépôts d'ossements, témoins silencieux des derniers jours de la grande cité. Mais même dans cette mort collective, Nuln a su conserver un semblant de "vie". Les forges ont été réanimées, mais leurs maîtres ne sont plus que des silhouettes squelettiques, des forgerons qui, par une parodie cruelle de leur ancienne vie, martèlent des métaux corrompus avec des mouvements lents et méthodiques. Le métal forgé n'est plus destiné à des mousquets ou des canons, mais à de grotesques équipements nécromantiques, comme si la ville cherchait toujours à servir, dans une ironie cruelle, le rêve martial de l'Empire.
L'esprit de Nuln, pourtant, ne s'est pas complètement éteint. Le Cauchemar de l'Ingénieur règne sur les restes de la ville. Cet esprit malin, né de la fusion des ambitions de multiples maîtres ingénieurs, est une entité éthérée qui habite les bâtiments délabrés et les anciennes machineries de la ville. Il prend possession de tout ce qui peut être utilisé pour la guerre ou pour maintenir l'ordre de ce royaume funeste. À la tête d'une légion de créatures mécaniques animées et de cadavres d'anciens soldats, le Cauchemar d'Ingénieur veille sur ses forges dévoyées et ses arsenaux rouillés. On le dit sans visage, se matérialisant sous forme de vapeur noirâtre ou de lueur spectrale traversant les engrenages antiques et rouillés, comme si les âmes de Nuln elles-mêmes refusaient le repos et laissaient leurs derniers rêves de grandeur sombrer dans la folie.
Les rues, autrefois pavées et animées, ne sont plus qu'un labyrinthe de ruelles encombrées de débris, de gravats, et de carcasses abandonnées. Parfois, un chariot spectral, tiré par des chevaux squelettiques, traverse la ville en silence, ses roues grinçant sur les pavés inégaux. Ses passagers sont des nobles décédés, enveloppés dans leurs vêtements en lambeaux, qui rejouent encore et encore les cortèges d'une gloire révolue, alors que la ville elle-même semble les ignorer, toute entière concentrée sur son autodestruction mécanique.
Les égouts, où jadis grouillaient les Skavens, ont vu leur population décupler en nombre... mais il ne s'agit plus de skavens vivants. Ces ratons zombifiés sont hantés par les échos de leurs anciennes vies, ramassant des morceaux de métal rouillé et des pierres broyées. On dit qu’une entité secrète a lié leurs volontés pour alimenter une armée souterraine, leur donnant le semblant d’un but, une misérable tentative de perpétuer leur gloire passée, si tant est qu’ils ont été glorieux un jour.
Nuln est devenue une parodie d'elle-même : la ville des artisans, des canons et des académies, autrefois vibrante de vie et de progrès, est maintenant une machine cruelle où les rouages sont faits d'os et les mécanismes huilés par des relents de désespoir. Les rêves de gloire de l'Empire, figés pour l'éternité, se sont transformés en un cauchemar de servitude et d'illusion morbide, une ville morte qui se complaît dans le miroir brisé de son passé.
Le Seigneur des Fétides est une abomination qui incarne la dégénérescence ultime de la race Skaven. Il est né de la convergence de plusieurs malédictions. Jadis, un Prophète Gris, il fut trahi et dévoré par ses congénères lors de la panique causée par le Grand Sortilège qui a amplifié les innombrables luttes intestines des Skavens. Mais la magie de Nagash a réanimé ses restes en un être nouveau, fusion de son cadavre et des pierres distordantes qu’il portait lors de son trépas. Sa chair n’est plus que des lambeaux, ses os couverts de gangue noire de malepierre ; ses yeux, deux orbes vert émeraude qui luisent d’une intelligence malfaisante. L'ambition qui l'anime désormais est muée en une haine froide, implacable, contre le monde entier.
Le Seigneur des Fétides n’est plus limité par les peurs et les vices qui marquent ses semblables encore vivants. Il est une entité froide et calculatrice, bien loin de la mesquinerie typique des Skavens. Sous son règne, la population des égouts de Nuln a été transformée en une légion macabre. Les Skavens décharnés répondent à ses appels d'une voix silencieuse, mus par un lien intangible à leur maître. Contrairement aux hordes de rats vivants qui grouillent dans la panique, ses serviteurs ne connaissent ni la peur ni la faim - seulement la soif de servir le Seigneur des Fétides, leur fureur alimentée par la malepierre incrustée dans leurs os.
Ce qui distingue véritablement le Seigneur des Fétides, c’est sa capacité à manipuler la Malepierre, cette pierre maudite que les Skavens vénèrent tant. Sa maîtrise des résidus de malepierre et de magie nécromantique lui permet de créer des abominations bien au-delà des simples corps réanimés. Ses lieutenants sont des monstruosités fusionnées de restes de skavens et de métal, imbibées de malepierre et animées par des esprits enragés. Ces horreurs sont des armes qui servent à la fois d’exécuteurs et de symbole de son pouvoir. On murmure que le Seigneur des Fétides peut même insuffler une forme de pseudo-vie à des amalgames de rats morts, les transformant en gigantesques créatures multi-têtes qui dévorent tout sur leur passage, une masse grouillante de griffes et de crocs.
La rivalité entre le Seigneur des Fétides et le Cauchemar de l'Ingénieur est une guerre souterraine, où les égouts et les tunnels de Nuln deviennent le théâtre de combats incessants. Le Seigneur des Fétides méprise la machinerie du Cauchemar, la voyant comme une insulte à la malepierre, et il rêve de réduire les forges hantées à des ruines silencieuses. En revanche, le Cauchemar voit en son adversaire une anomalie indigne de l’ordre qu'il cherche à instaurer dans cette ville d’outre-tombe.
Le Seigneur des Fétides est plus qu'un simple leader nécromantique ; il est une personnification du côté le plus sombre des Skavens : leur avidité, leur penchant pour la trahison, leur obsession pour la malepierre, poussés à leur paroxysme. Dans ce monde où la mort a été vaincue, il est devenu le héraut de la malepierre vivante, l'incarnation de la malédiction ultime des Skavens, déterminé à conquérir les souterrains de Nuln et à affronter l'autorité du Cauchemar de l'Ingénieur.
Les Carrosses Fantômes de la Noblesse Oubliée
Sous la lumière blafarde des lunes jumelles, un cliquetis fantomatique de roues de carrosses résonne dans les rues désertes de Nuln. Des silhouettes éthérées et déterrées s'agitent à l'intérieur de ces lourds véhicules bardés de dorures ternies et de blasons effacés, dont les portes claquent sans bruit. Ces carrosses, semblables à ceux d'une noblesse autrefois brillante, glissent sans jamais toucher le sol alors que leurs roues tournent dans le vide simulant les sons dont se souviennent leurs passagers. Ttirés par des chevaux décharnés qui n'ont plus de chair que les pâles souvenirs de leur vivant.
À l’intérieur, la noblesse de Nuln s’ignore morte. Les dames discutent avec ferveur, les éventails battant l'air d'une politesse que nul ne peut respirer, tandis que les hommes discutent affaires et mondanités, les regards rivés sur des horizons imaginaires. Aucun d'eux ne semble percevoir les murs effondrés ou les ténèbres qui ont envahi la ville. Pour eux, la vie continue sans que la Mort ne soit qu'une ombre parmi tant d’autres.
Les carrosses traversent des places où l'herbe morte a remplacé les pavés, passent devant des statues profanées de héros oubliés, et se fraient un chemin au milieu des décombres où les goules faméliques se terrent. Les esprits restent sourds aux lamentations des âmes piégées autour d'eux ; ils sont enfermés dans une éternelle répétition de ce que fut leur existence, condamnés à organiser des réceptions, à maintenir des alliances fantoches et à préserver un monde de convenances depuis longtemps en ruine.
Leur cortège fantomatique n’est pas toujours paisible ; les carrosses s’entrechoquent parfois, comme si des rivalités anciennes cherchaient encore à se régler sur les chemins dévastés. Les chevaux immatériels hennissent sans bruit, et les nobles, indignés, traversent les décombres pour imposer leur rang à des concurrents tout aussi vains qu’eux, leurs arguments résonnant comme des échos du passé, perdus dans un monde qui ne leur prête plus aucune attention.
Il arrive aussi que des bandes du Cauchemar ou du Fétide entravent la course de ces cavalcades funèbres. La plupart du temps, les spectres passent à travers les obstacles mais des yeux morts ont aussi pu observer les carrosses s’arrêter le temps que leurs passagers ordonnent à leurs gens de bastonner les vilains qui traversent la route. Terribles adversaires, les laquais fantomatiques s’en prennent alors aux bandes de non-morts qui écument la cité avant de repartir vers leur destination.
La Fête des Esprits
Lors des rares nuits où les lunes s’alignent juste au-dessus de Nuln, une brume épaisse envahit les jardins moribonds du Palais des Festivités, comme si le temps lui-même avait décidé de refaire surface. Des tables longues, garnies de mets invisibles et de verres vides aux reflets intriguants, apparaissent dans des salles éventrées dont les vitraux brisés ne peuvent plus retenir le silence.
Les convives, des silhouettes translucides parées de robes aux dentelles usées, s'installent en suivant un protocole oublié depuis longtemps. Des violons invisibles jouent une mélodie sans âge, trop douce pour être perçue par les vivants, et des couples se lèvent pour une danse gracieuse qui ignore les fissures béantes du sol. Ils dansent au bord du vide, inconscients de la chute qui les guette, suivant des pas que seule leur mémoire morte conserve encore.
Le maître de cérémonie, la Comtesse Emmanuelle à la perruque aussi fine que sa patience, fait lever des toasts à des alliances disparues, à des guerres qui n'ont plus lieu d'être. Leurs voix s’élèvent en échos, créant une cacophonie sinistre. Des fantômes de serviteurs circulent entre les tables, leurs traits figés dans une expression d'inquiétude éternelle, comme s’ils savaient que la fête ne s'arrêterait jamais et qu’ils sont condamnés à servir pour l’éternité.
Les Universités de Spectres Ignorants
Les universités de Nuln, jadis centres d’érudition respectés, n'ont pas été épargnées par la malédiction qui a enveloppé la ville. Leurs salles de cours, aux murs couverts de symboles occultes et de formules incompréhensibles, résonnent toujours des leçons d'anciens professeurs. Les spectres des érudits continuent leurs conférences comme si les étudiants face à eux n'étaient pas des squelettes poussiéreux, les orbites vides figées sur des livres décomposés.
Les professeurs, perdus dans leurs pensées, évoquent des théories sur la lumière alchimique et l’art de la métallurgie, ignorant que le monde en dehors de ces murs n'a plus besoin de leurs connaissances. Dans les laboratoires, des apprentis, leur chair s'étant mêlée aux alambics rouillés, manipulent des fioles qui ne contiennent plus rien, répétant inlassablement des expériences dont les résultats n'ont plus de sens. Leur agitation fantomatique est telle qu’on pourrait presque croire que la vie y continue, mais il suffit de passer la porte pour se rendre compte que ce n'est qu'une répétition vide, une pantomime macabre.
Dans la bibliothèque principale, des spectres d'étudiants cherchent encore les livres sur les étagères délabrées, passant leurs mains transparentes sur des volumes réduits en lambeaux, comme s’ils pouvaient encore apprendre quelque chose pour se préparer à des examens qui n’auront jamais lieu. L'écho de leurs murmures remplit l'espace, un grondement de pensées qui ne mènera nulle part, piégés dans une quête de savoir dont l'aboutissement a été effacé par la mort elle-même.
Ces universités, autrefois fières de leur rigueur académique, sont désormais des prisons de savoir stérile, où les âmes sont condamnées à poursuivre éternellement leur apprentissage, ignorant la futilité de leurs efforts. Chaque cours, chaque leçon, est donné avec la même ferveur que jadis, mais rien de tout cela n’a plus aucune signification, si ce n’est de remplir un vide abyssal que même la mort ne saurait combler.
Parfois un peu trop d'emphase pour son propre bien et quand même un petit manque d'imagination pour les noms. Mais ya de l'idée.
le squat
j'en vois qui glandent au fond