C'est ce qu'on nomme un rebondissement !
Charles Bronson dans les 7 Mercenaires...
Désormais nantis de cette progression, le découpage apparaît t'avoir porté préjudice : nous savons désormais qu'il y a quelque chose derrière le titre, et que son actuelle absence de rapport au texte, comme l'angélisme imprudemment reproché plus tôt aux différents protagonistes de l'histoire (au détriment d'un descriptif social que cette suite permet d'apprécier), est une construction volontaire.
C'est très bien de surprendre ainsi le lecteur. La surprise lie à l'auteur, et donc à l'intrigue (et vice-versa).
Et ton style au scalpel s'en confirme d'autant dans l'exigeance qu'il requiert.
Mais qu'il faut toujours mériter.
Quelques bricoles, donc :
Kristof 'dérapa' sur une pierre glissante permettrait de s'affranchir de la répétition ;
la magnificence des yeux bleus, ici encore soulignée, entretient par l'absence d'autre composant une importance considérable au regard, qui définit jusqu'à présent seul la relation entre Kristof et Rafaël (et suffit à hiérarchiser les personnages). Le bleu de ses yeux peut induire la rareté, l'éclat ou la séduction (voire la flemme de décrire Rafaël autrement, voire un clin d'oeil aux imitateurs de Michel Drucker) mais, sauf si lié à un rebondissement postérieur, tu te dois amha d'en choisir un des trois pour compléter la rencontre entre les personnages (au risque que l'emploi répété du qualificatif ne nuise, tel un paradoxe, à l'installation de ton style et de l'ordre des plans).
NB : j'ai noté une seule et unique faute de frappe, sans équivoque
(on peut donc passer à l'ultime : un espace avant et après les signes doubles de ponctuations (deux-points, point-virgule) et en finir ainsi, enfin, avec la forme).