Citation :
Il y a 3 heures, Kurtis Koban a dit :
Vous êtes tous des Siths avec vos avis hyper tranchés "oui-non" :p
Moué, oui, j'en suis un vrai mais je me modère.
Rémy lui est au contraire un gentil mou. Son propos est finalement très soft : "moi je trouve que c'est pas si grave mais si vous vous trouvez que ces productions valent la peine de gueuler comme un cochon qu'on égorge et de hurler au copinage malsain, alors vous devriez effectivement boycotter".
Parce que finalement, donner de l'argent à des gens qu'on conspue à ce point, c'est quand même étrange. Ou alors les gens gueulent juste un peu plus fort que nécessaire et au delà de leur indignation réelle. Genre, ça n'est peut être pas tant du sexisme honteux et avilissant et juste du racolage de bas étage comme le dit le ouispe ?
Bon, après, sinon, si le boulot de Paolo vaut autant de bruit, il faut le boycotter, oui, puisque c'est la seule option viable pour lutter contre. Oui, oké, un mec seul dans son coin qui coupe les vivres, ça fera pas mal, il faut un effet de masse. Mais la masse elle se compose de mecs seuls dans leur coin, si chacun fait ce qu'il a à faire, on n'aura ptet pas 500*80 sous en moins, mais 100 ou 200 backers qui quittent le navire, entre la perte sèche, la mauvaise image et le cassage de dynamique du KS, ça fera déjà bien mal au point de remettre les choses en perspectives pour l'éditeur.
Ou alors on cause juste comme certains le font remarquer de "deux pitous qu'on n'aime pas et qui ne méritent pas rater un pledge". Mais dans ce cas, ya pas de quoi vouer Paolo aux Gémonies, non ? Et dans ce cas, ça serait bien que d'autres aussi modèrent leurs propos. On mettra juste ça sur le compte de leur abrutissement de fin de journée.
Bah, oui, Paolo s'abruti au boulot, mais un peu comme tout le monde, eingh... il ne fait pas ces dessins pour le plaisir, c'est une commande et en général on est tous un peu fatigués par notre job quotidien. C'est bien de correctement choisir ses termes mais remis dans le contexte, c'est un peu de l'enculage de portes ouvertes.
le squat
zen comme garçon