Tout d'abord merci pour les commentaires et ne vous inquiétez pas, la suite arrive (elle est ci-dessous en fait) mais le brevet aussi donc j'ai assez peu la tête à écrire (donc qu'est-ce que je fais ici moi ?)
Citation :Duncan passe de scribe à soldat de troupe de choc ???
Non en fait il ne devient pas troupe de choc mais simple soldat après un entraînement rudimentaire (un fusil laser dans les mains et basta) mais après sa bataille sur Zéta355 il intègre un nouveau régiment où il impressionne son sergent par ses prouesses au combat qui le fait passer aux troupes de chocs où il impressionne son sergent qui veut le faire passer sergent.
Citation :combien de temps s'est écoulè entre les deux scène ???
Entre son engagement et son aterissage sur une planète pleine de Tyranides ? Environ 9mois.
Citation :les Sm auraient compris que Ducans avait quelque chose de particulié ...
Hmmm tout le monde connaît le faible Q.I des spaces marines (sauf ceux qui les jouent et qui refusent de l'admettre. lol) mais pour ne pas (tous) les vexer, je dirais simplement qu'ils étaient trop occupés à retirer la sécurité de leurs armes (faudrait pas que les ultimes défenseurs de l'humanité se tirent dessus tout de même) et à viser (ben oui ils sont pas génétiquement modifiés non plus... Ah si mince).
Ce qui devait arriver arriva. Les buissons se figèrent un instant puis des gaunts en sortirent, toutes griffes dehors. En quelques secondes, ils tuèrent deux gardes de dos. Les autres furent lents à réagir et un autre tomba avant qu’ils épaulent leurs fusils laser et commencent le tir. Ce furent évidemment un massacre à coup de griffes, de grenades, d’acide et de laser. Un autre garde tomba avant que les viles créatures ne soient toutes éliminées. Ils n’étaient à présent plus qu’une quinzaine, démoralisés, sans soutien logistique, avec peu de chances d’obtenir des renforts et sur une planète qui devait sûrement grouiller de tyranides. MacCaraine ordonna que l’on se mette en marche et le sergent mit en place son auspex afin de prévenir de nouvelles attaques. Ils marchèrent comme cela une heure avant de tomber nez à nez avec une route. Enfin, ce qui semblait être une route car c’était plus une longue plaque plate de métal large d’environ 5 mètres et défoncée en plusieurs endroits. Tout le monde regarda le commissaire qui était le seul à pouvoir décider si ils devaient aller à gauche ou à droite. Tout le monde retint son souffle, conscient que sa décision pourrait les mener aussi bien à un spatioport qu’à un nid tyranide. Il se concentra un long moment, fixant la route puis, finalement, prit la parole.
« Gouverneur, c’est votre planète, d’après vous nous devrions plutôt aller à gauche ou à droite ? Au nord ou au sud ?
Le Gouverneur, totalement prit au dépourvu bafouilla un moment, regardant à gauche et à droite, pour finalement donner une réponse intelligible.
-Eh bien, euh, vers le sud il y a des mines d’acier ainsi que des champs de fougère et vers le nord la cité ruche Amantia, qui fut celle où je me trouvais lors de l’invasion.
Un soldat crut bon de se faire entendre
-Des mines d’acier ?! Des champs de fougères ?! C’est quoi cette planète à la con ? Pourquoi vous cultivez des fougères ? Pourquoi…
Le regard noir que lui lança le commissaire l’interrompit net mais le gouverneur crut bien faire en lui donnant quelques explications. En effet, sur Ymbrax, le climat et la végétation étaient tels qu’il était impossible d’y faire pousser autre chose que de la fougère et le citoyen lambda devait se contenter de soupe, de pain et de gâteau à la fougère. Les nobles faisant importer des mets venant d’autres systèmes solaires. Pour les mines d’acier, elles étaient la principale raison pour laquelle Ymbrax avait été colonisée. Effectivement, cette planète était la seule où l’on trouvait cet alliage à l’état naturel. Ce qui faisait faire d’énormes économies aux fabricants de chars impériaux.
Ce petit exposé mit MacCaraine de mauvaise humeur. Comme tout bon commissaire, il n’aimait pas que des civiles répondent aux insubordinations de ses soldats. Pour punir tout ce beau monde, il décida qu’ils se dirigeraient vers la cité en ruine, prétextant que les champs et les mines auraient sûrement été envahies par le tyranides à la recherche de biomasse (et en plus il n’avait pas tout à fait tort). Ils marchaient depuis deux heures quand, soudain, la route se mit à trembler et l’auspex à s’affoler.
« A COUVERT ! »
L’ordre qu’hurla MacCaraine n’était pas nécessaire car tout le monde s’était déjà prestement caché dans les buissons…
C’est à ce moment que Duncan entendit la voix. C’était une voix sifflante, inhumaine. Duncan pensa tout d’abord que c’était Tzench qui lui parlait, mais s’aperçut rapidement que ce n’était pas à lui que la voix s’adressait mais plutôt aux créatures.
« allez-y mes suivants cherchez de la nourriture pour votre reine »
Il entendait la voix de la reine des tyranides dans sa tête ! Il crut qu’il devenait fou mais il remarqua que, plus la masse semblait se rapprocher, plus la voix se faisait forte.
Il ferma les yeux et attendit. Les autres gardes crurent qu’ils allaient avoir une crise cardiaque en voyant le spectacle qui se déroulait sous leurs yeux : des dizaines de Gaunts, accompagnés (pour ne pas dire piétinés) par de gigantesques Carnifex. Ils restèrent comme cela un long moment, attendant que la sinistre troupe passe. Quand ils furent passés, les pauvres hommes restèrent hagards quelques instants avant de pouvoir se remettre à marcher. Après avoir retrouvé leurs esprits, ils recommencèrent à ce diriger vers la ville qui peut-être était déjà vide de tyranides. La plupart se mirent soudain à penser à leurs familles qui devaient les attendre. Ils en étaient à cette sinistre réflexion quand l’auspex se mit à bipper (à faire bip bip quoi) et le sol à légèrement vibrer. Ils pointèrent leur regard vers ce qui était sûrement une nouvelle menace.
Mais il n’en était rien. D’abord un nuage de fumée s’éleva de la route, puis les soldats démoralisés purent distinguer une chimère ! Le transport semblait en bon état et piloté par des humains. De plus, il s’arrêta devant les hommes. Quatre hommes en descendirent