<a contenteditable="false" data-ipshover="" data-ipshover-target="<___base_url___>/index.php?/profile/6437-aerthrandir/&do=hovercard" data-mentionid="6437" href="<___base_url___>/index.php?/profile/6437-aerthrandir/">@Aerthrandir</a>: Je suis en total désaccord avec toi sur le déterminisme pour les garçons...
Déjà parce que je ne vois pas en quoi c'est moins grave qu'un petit garçon ne puisse pas devenir père au foyer, par rapport à une petite fille qui veut devenir mécano.
(Et en tant que père au foyer, je parle en connaissance de cause).
Ensuite parce que ça sous-entend que c'est aux filles de lutter pour avoir les mêmes possibilités que les hommes. Alors que c'est à la société (homme et femme) de changer son regard sur les autres. Le problème n'est pas juste de briser le plafond de verre, c'est aussi d'éviter que les hommes érigent ce plafond...
En fait, je trouve tes propos sexistes. Dire que le déterminisme des garçons est moins grave que celui des filles, ça me laisse un goût amer.
Je vais faire un parallèle (qui n'engage que moi): c'est comme les violences conjugales. Alors qu'elles devraient être toutes combattues, ça devient "les violences faites aux femmes". Et ce sous prétexte que les violences faites aux hommes ne représentent qu'un quart des violences totales (et plus ou moins 15% des décès).
Il n'y a pas de "bon" déterminisme de genre...
J'espère ne pas avoir outrepassé tes propos et opinions. C'est toujours un peu délicat, ce genre de débat.
Mais pour savoir comment est considéré un père au foyer actuellement, je me fais autant de soucis pour mon fils (qui a eu un poupon avec lequel il n'a jamais joué) que pour ma fille (qui pique déjà les petites voitures de son grand frère).