Citation :
il y a une heure, L`Eternel a dit :
<p style="margin:0px;color:rgb(39,42,52);font-family:'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, sans-serif;font-size:14px;font-style:normal;font-weight:normal;letter-spacing:normal;text-indent:0px;text-transform:none;white-space:normal;word-spacing:0px;background-color:rgb(255,255,255);">
Source ? Chiffres ?
En dehors de ces éléments : Peut-on généraliser l'exemple de ces deux sociétés à l'ensemble des sociétés humaines ? Peut-être que je généralise aussi hein, mais j'ai tendance à croire que le viol se fait davantage de l'homme vers la femme que de l'homme vers l'homme ou la femme vers l'homme (voire la femme vers la femme même si on doit pour ça faire dériver la définition du viol).
Je n'ai pas les sources ni les chiffres pour les romains et les Grecs, mais quand des centaines de mecs partent en guerre et tombe un village/une ville ennemi, j'ai dans l'idée que c'est pas les hommes qui sont violés en priorité.
C'est une réalité approuvée par la plupart des historiens: la sexualité chez les Grecs était liée à un rapport dominant/dominé plus qu'à un rapport homme/femme ou homme/homme.
De fait, un homme pouvait avoir des rapports avec n'importe qu'elle personne qu'il considérait comme "belle", du moment qu'il était dominant (comprendre, celui qui pénètre). Avec tout un tas de conventions, avec des considérations sur l'âge, les relations entre amant et aimé, etc...
Tu peux aussi aller voir du côté de la pédérastie à visée éducative, qui était la norme chez les citoyens: les adolescents futur citoyens devaient s'offrir à l'homme plus âgé qui se chargeait de leur formation.
Quand aux esclaves, ils étaient à l'entière disposition de leur propriétaire, sans distinction de sexe.
Par contre, les hommes efféminés étaient très mal vus...