Citation :
il y a 37 minutes, L`Eternel a dit :
Le sexe n'est pas non plus égal au viol, je pense qu'on sera d'accord là-dessus.
Non. On est pas d'accord. Le sexe "forcé", c'est du viol. Le sexe sous la contrainte, c'est du viol. C'est la loi qui doit définir si il y a eu viol ou pas. Sinon, les accusés détournent les mots pour dire que "viol il n'y a pas eu".
Tu as déformé les propos ou tu les as mal lu. Les esclaves sont à l'entière disposition de leur propriétaire, ça veut bien dire ce que ça veut dire: on leur demande pas leur avis; c'est donc un viol.
Le fait que pour avoir une "formation" on doit se donner à son "formateur", c'est de l'abus de pouvoir. Donc, du sexe sous la contrainte.
De plus, il n'y a pas de source fiable? <a contenteditable="false" data-ipshover="" data-ipshover-target="<___base_url___>/index.php?/profile/13520-ymgarl/&do=hovercard" data-mentionid="13520" href="<___base_url___>/index.php?/profile/13520-ymgarl/">@Ymgarl</a> t'en as proposé une. Et les sources ne doivent pas manquées sur internet.
En te citant les sociétés Grecques et Romaines, je démontrai justement la différence flagrante faite dans notre société actuelle où "la femme objet" est un produit marketing. Et si on était plus égalitaire au niveau des sexes, "l'homme objet" serait aussi courant que son homologue féminin, et dans tous les domaines (jeux de fig compris, évidemment).
Tu peux nier la réalité historique des Grecs et Romains, mais ça a pourtant bien existé. Même si l'homme se sentait supérieur à la femme de par son sexe, il faisait subir "équitablement" les agressions sexuelles entre hommes et femmes (à savoir sans distinctions).
Donc non, "la femme objet" dans le marketing n'est pas une chose logique. La chose logique, c'est l'équité.
Edit:
Et ce n'était pas seulement les sénateurs ou autres politiciens, mais bel et bien tous ceux qui avaient de l'argent et donc du "pouvoir".