Citation :
il y a 34 minutes, Egill a dit :
(encore une fois, je suis persuadé qu'un jour une forêt primaire occupera l'emplacement actuel de Paris)
Ca devrait te plaire :
https://www.babelio.com/livres/Andrevon-...fin/263277
C'est marrant, ce fond de misanthropie mâtiné de nihilisme qu'on retrouve toujours derrière les vegans et les scientistes 'antispécistes', sous couvert de leur amour du vivant, l'homme excepté.
Aussi chez le vieux Claude :
http://bibliobs.nouvelobs.com/essais/200...emble.html
Le sophisme principal est là :
"Les droits de l'humanité cessent au moment où leur exercice met en péril l'existence d'autres espèces.
Le droit à la vie et au libre développement des espèces vivantes encore représentées sur la terre peut seul être dit imprescriptible, pour la raison très simple que la disparition d'une espèce quelconque creuse un vide, irréparable, à notre échelle, dans le système de la création."
Je vous laisse le méditer.