[KS] Confrontation Classic

Il me semble même qu'un jeu vidéo Paranoïa est prévu pour cette année.

Il est déjà sorti. Et il a pas eu un franc succès au niveau des critiques.

(grand monsieur du milieu) qui à poster ce méssage sur sa page facebook

Grand monsieur, peut être, mais à qui j'ai déjà répondu (ailleurs sur FB) que son annonce, c'était "coucou, qui veut 1M de dette ?".
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personne n'a dit que c'était une offre alléchante meme lui; apres si tu rachete, tu rachète pas les dettes seulement le catalogue et l'infrastructure, meme le KS si il y a repreneur, cela ne sera pas à lui mais bien à piotr de le livrer.

personne n'a dit que c'était une offre alléchante meme lui; apres si tu rachete, tu rachète pas les dettes seulement le catalogue et l'infrastructure, meme le KS si il y a repreneur, cela ne sera pas à lui mais bien à piotr de le livrer.

Mouais, enfin si tu dois livrer un KS dont les fonds sont passés en frais fixes et balbutiement de prod, il te reste beaucoup à financer sans aucune trésorerie. Trésorerie que tu devras donc avancer, en espérant te refaire plus tard sur les ventes hors KS... Or ce KS et sa structure font que le marché aura été déjà largement inondé de pitous - le seul espoir résiderait dans un Confrontation Résurrection et encore, en s'assoyant peut être sur la rétrocompatibilité avec la gamme Classic.

Je ne sais pas. L'image de la boite a l'international est flingué et en francophonie, elle est sacrément écornée : quitte a se lancer dans le jeu de rôles, car SD sait absolument faire du jdr, pourquoi commencer avec SD plutôt qu'avec une nouvelle boite dans laquelle tu injecterais 1M d'euros ?

S'il y avait des anges dans le secteur, ils auraient sauvé d'autres boîtes, telles que Jeux Descartes, Multisim ou TSR. Le milieu ne s'attache pas aux boites, il s'attache aux licences. Or, Confrontation est (très) difficile à reprendre actuellement. Tu ne pourra pas dire "ok, je reprends SD moins Confrontation, débrouillez-vous. Achetez nos jeux !".

Une reprise n'a pas vraiment de sens quand l'offre est vraiment laide comme aujourd'hui.

D'autant plus que la licence "Confrontation" n'appartient pas à SD, mais ) une autre entreprise (Stellar licensing) domiciliée à Hong-Kong. Donc celui qui rachèterait SD ne rachèterait pas du tout Conf', juste une licence d'exploitation dont les termes (prix, durée, exclusivité....) sont inconnus du public que nous sommes...

D'autant plus que la licence "Confrontation" n'appartient pas à SD, mais ) une autre entreprise (Stellar licensing) domiciliée à Hong-Kong. Donc celui qui rachèterait SD ne rachèterait pas du tout Conf', juste une licence d'exploitation dont les termes (prix, durée, exclusivité....) sont inconnus du public que nous sommes...

Stellar dont un dirigeant au moins (y en a-t-il d’autres?) est très lié à Piotr et SD, depuis déjà l’époque de ludikbazar. En fait, je pense que si ce dernier avait une chance de revoir quelque peu ses billes, je serais surpris qu’il se montre obtus sur la possibilité d’enfin livrer et rentabiliser son investissement sachant qu’il a déjà, apparemment, pas mal sacrifié d’oseille pour arranger les affaires de Piotr.
L’avenir nous dira si le gars préfère essayer de rentrer dans ses billes un tant soit peu ou passer cet investissement dans cette propriété intellectuelle maudite par pertes et profits...

Quel investissement ?
(la question n'est pas innocente. A l'epoque du fail Ubik/Millenium, j'avais entendu que Conf partait au pilon et au certains se sont servis dans le tas de cendres)

Alors je vais faire appelle à votre tolérance pour répéter des choses qui ont déjà été dites mille et une fois, mais tant que l'on est dans la transmission de comptes légendaires mais bien réels, que s'est-il passé à la fin de Confrontation et de Rackham?

Parce qu'à l'époque je ne suivais pas le détail de ces histoires, mais ça m'intéresse bien.

Un tas de figurine qui brûle, 99% de gens dégouttés / qui pleurent / en colère devant ce gachi, et 1% de malins, d'après ce que j'ai entendu "il y a longtemps" (me souvient plus des dates).

Attention, même à l'époque on était dans la rumeur.