Merci pour ces réponses, Gand', mais, dis-moi, tu es vraiment pervers par contre ! Je n'avais pas du tout pensé à ça :
Citation :Ce qui veux dire qu'elle n'a plus beaucoup d'habits sur elle, hein ? ;-)Mais bon, simple cohérence fluffique, comme paradoxalement tu le précises :
Citation :N'oublions pas qu'ils luttent quasiment chaque jour contre leur nature excessive.Difficile donc, fluffiquement, de jouir de la douceur de la brise si on porte une culotte sous sa robe de broderies ajourées réhaussées de voiles transparents (selon les strates sociales, ce peut être du lin ou juste des pierreries. Ce sont des civils, ne l'oublions pas). Bref, le sphincter se relache, sans obstacle.
Citation :Si elle est capable de voir l'origine d'un poison en regardant des sels liquides, je me dis qu'elle est très forte ! Ou bien elle a un laboratoire d'analyse sur elle.Les deux (elle fait goûter en y jetant une donzelle jalouse mais violente, qui meurt également du fait des trucs tortillants qui se cachaient dans la venaison, une sorte de ver solitaire à croissance rapide, annelé, à anneaux reproductifs, 'fin, tu vois, quoi, la Nature, noble, forçant le respect).
Citation :Si on considère qu'Eldrad a vécu près de 10.000 ans et qu'on est adolescent à 1/10ème de notre vie, je dirais qu'un Eldar est adolescent de sa 500 ème à sa 800 ème année environ, pas avant. On pourrait jouer sur ce curseur, mais à 77 ans, je pense qu'un Eldar est encore un enfant (si c'est contredit par du fluff quelque part, fais-moi signe je n'ai pas tout lu non plus !).Ce qui m'ennuie dans l'apparente logique de ton raisonnement, n'ayant rien trouvé moi non plus de relatif à ça dans les fluffbooks, c'est sa relation avec la décadence démographique.
D'une part, Eldrad est un héros, il est donc amha plus vieux que la moyenne.
D'autre part, les eldars semblent se reproduire lentement, trop lentement, et le traumatisme psychique n'explique pas seul cette semi-stérilité (on la retrouve également chez les exodites).
Cette longue durée de vie des eldars, dans un contexte de décadence démographique, décadence accrue par les pertes lors d'actions militaires, induit que la grossesse est elle-même beaucoup plus longue que celle d'une humaine (et je n'ose calculer la durée de la menstruation).
Avec le facteur multiplicateur temporel que représenterait une puberté atteinte au bout d'un quart ou d'un demi-siècle, les usages sociaux depuis la Chute tendraient à faciliter le libertinage, au mépris d'un contrôle de fécondité laissé à l'individu ; ce qui ne cadre pas avec la lutte journalière contre les excès (mais bien avec le harem), ni avec l'absence d'enfants (alors que tous les VM et colonies exodites devraient en déborder, notamment au bout de dix générations après la Chute).
Citation :Donc non seulement ils n'ont pas oublié ce genre de plaisirs, mais il doit bien y avoir une classe aisée qui en profite plus que les autres.Mouais, ils en ont pas fini avec Slaanesh, alors. C'est marrant, je ne voyais pas les eldars VM baffrer. Plutôt de l'eau et des graines (je suis pollué par le souvenir de l'elfe SdA dans son concours de bière avec le nain) : ils vivent longtemps car ils ont une "vie saine", une Voie hygiénique de base. Tu généraliserais Epicure dans les VM, toi ??
Citation :Globalement, une motojet est prévue pour un Eldar et son équipement. (znip) pourrait supporter un poids passager de plus de 200 kilos (enfin, faut être raisonnable quoi).Atha, on peut donc résumer cette charge maximale à deux eldars ou un space marine. Oui, ça correspond à ce que j'imaginais également.
Citation :C'est l'oeil de l'innocence qui surveille vos envies goresques ;)Oui, j'étais en train d'écrire l'écharpement d'un enfant eldar par un termagant quand j'ai constaté ton oeil, là ; ça m'a fait drôle.
Du coup, je me suis senti obligé de rajouter des dialogues : "Maman, je t'en prie, non, ne me laisse pas, Maman, Mam...[knap !!]" et de faire immédiatement tuer cette mère indigne qui l'avait laissé par un grand "Tu es une irresponsable, Eikanil !" doublé d'un coup de sabre hanche-menton qui a peint une belle diagonale, hélas trop rapidement dégoulinante, sur le mur et le visage de son mari, qui n'aime pas l'indignité (ainsi qu'il l'a précisé à sa maîtresse, par ailleurs soeur de la mère indigne qui a tout taché sa robe ajourée en étalant la diagonale dans un débat vertical félicitant le mari pour l'adresse avec laquelle il avait engainé le sabre dans la gueule du termagant).
Bref, même si ça ne me gêne pas (au contraire, je préfère), de conserver un sens moral à mes récits (occasion également de faire référence à des oeuvres d'art scénaristiques inoubliables comme The Patriot, avec Mel Gibson), ça t'oblige quand même à rajouter des tas de "Tata, Père, je me meurs..." etc.