Sévérian

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Le travail est en cours d'écriture il reste pas mal de chapitre et le 2eme est en cours d'élaboration.


Merci de me lire et critiquer, flamer autorisé suaf pour manolo^^


<span style="font-family:Garamond;"><span style="font-family:'Times New Roman';"><span style="font-family:Arial;"><span style="font-family:'Microsoft Sans Serif';"> <span style="font-family:'Century Gothic';"><span style="font-size:12pt;line-height:100%;"><b> Sévérian</b>
</span></span></span></span></span></span>


Chapitre 1: l'enfant:



Sévérian était un enfant d'une famille nombreuse, son père travaillait dans un adminstratum et sa mère élevait son petit frère et sa petite soeur, son grand frère fut recruté dans l'armée mais il prit malheuresement une balle ork en sauvant son colonel. Pour sévérain son frère était un héros, il se disait qu'un jour il combattrait et qu'il vengerait son frère mais pour l'instant il s'occupait d'aider son mère et sa mère. Dans son adolescense, lui et son meilleur ami se faisait souvent attaquer par un gang des rues, en combattant un membre du gang a main nues, il le blessa mortellement en attrapant une barre de fer dans la ruelle dans laquelle il se battait, il lui envoya la barre en plein milieu du front, son sang gicla sur le sol et il s'effondra. Sévérian récupéra sur son cadavre son pistolet laser. Un membre de l'adeptus arbites qui avait assisté à la scène alla le voir, Sévérian crut qu'il était fichu mais il lui dit simplement que cet homme était dangereux pour cette ville et il le félicita. Deux années sans grande importance plus tard, la troisième guerre d'Armageddon commença.


Chapitre 2: le garde impériale:


Peu de temps après, des gardes impériaux arrivèrent dans cette ville pour recruter des soldats, Sévérian ne se fit pas prier et il 'intégra le peloton de combat n° 156, de toute façon si il ne se serait pas engager les gardes serait revenus quelques semaines plus tard et les aurait enrôlés de force. Le sergent de ce peloton était le sergent Friekler, un brave homme surnommée "le survivant" car ayant combattu maintes fois les orks et il fut le seul rescapé d'un peloton d'une cinquantaine d'homme et il abbatitt leur chef d'une balle ente les deux yeux. Pour l'instant son unité n'était pas sur le front mais restait en retrait à faire d'innutile patrouille dans des villes desertes et abandonnées.


Il s'installèrent dans une usine désaffectée. Ils parlèrent de leur vie, leurs motivation, pourquoi ils s'étaient engagés:


<< Alors vous foutiez quoi de votre vie avant ça? demande Kramer


-Bof,soupira Fishig, je bossais dans les champs.


-Ah toi aussi s'exclama! Grail


-Haha! d'la bleusaille, riat Friekler. Pourquoi vous vous êtes engagés? Ptet qu'on vous as recrutez de force.


-Je me suis engagé pour vengez mon frère, dit Sévérian.


-Alors on veut jouer les héros, rigola Dundle, moi c'est soit les mines soit l'armée j'ai préférée me battre.>>


Leur longue discussion continua tard dans la nuit avec de l'alcool et de l'obscura.


Quelques jours plus tard ils furent envoyées plus près des lignes de combat. La guerre commençait mal pour l'impérium. Le moral de l'unité était au plus bas:


<< Mourrir c'est pas si terrible, ce n'est que le commencement dit Friekler


-Tu vas bien chef? s'exclama Dundle, tu causes bizarremnt!>>


Et les autres rigolèrent. Le peloton 156 fut envoyée au combat à neuf heures du matin, les soldats étaient animés de la force du désespoir, mais Sévérian était enhardi par la mort de son frère. A dix heures, ils étaient en train de combattre. L'unité était à couvert derrière les ruines d'une usine. Ils tiraient sans s'arrêter sur la horde verte, toujours en progression, qui ne se souciait même pas de ses pertes.


<< Tirez sur les chokboys sur la droite! Hurla Friekler


-Ok, chef crièrent les gardes>>


Les chokboys mourrurent un par un sous les tirs de fusil laser et aussi grâce à la mécanique très approximative des orks.Mais le reste des xénos avançait inexorablement. Le corps à corps était inévitable. Friekler s'exclama:


<< Continuez à tirer mais soyez prêts à sortir vos couteau et pistoles laser>>


En entandant ça, Sévérian se remémora son premier acte héroïque contre un voyou des rues mais la c'était des orks, des brutes sans cervelle qui ne pensent qu'à se battre.


<< Sortez vos pistolets et vos couteaux! VIte bordel! Ils sont sur nous!!>>


Les orks se jetèrent sur leur unité. les gardes se battirent comme de beaux diables. Sévérain se battit contre un ork deux fois plus gros que lui, il esquivat ses coups et il lui tira une balle dans la tête avec le pistolet qu'il avait récupéré dans ans auparavant. Dundle mourrut sous un kikoup ork, les autres fou de rage abbatirent les orks restant à coup de couteaux ou de crosses de fusils.


Une bataille fut remporté mais on pleurait de nombreuses victimes. Sévérain était blessé au bras mais un bandage suffisait.


Le moral des troupes grimpa en flèche lorsqu'ils aprirent que les Black Templars, les fils de l'empereur leur portèrent secours.


Salut


Beau récit, avec des fautes mais c'est inévitable.


Pour les critiques (ce qui va pas)


adeptus arbites est la police je crois ? donc si un policier assiste à une baston, il va pas regarder et féliciter le vainqueur.


Le voyou il a un flingue et il se fait trucider par un gueu ?


Quand on s'enrole dans la garde, on est fourni en équipement, munitions etc et on a une formation (non ?)


donc ca le fait pas il se fait recruter et 2 jours après il est au front.


La baston le fait pas mal, sauf la fin ou une escoude de gi massacre un horde de zorcs.


Pour la suite, il va se faire enroler en Black templar, c'est sur ; Donc pas trop de suspens.


J'aime bien ton récit dans l'ensemble, par contre les détails que je t'ai signalés plus haut (complétez si j'oublies qq'chose) sont à revoir.


Vivement la suite, a+


Contrairement à aela sekura, mes remarques ne porteront pas tant sur le fond et la cohérence fluffique du récit que sur la forme.


Premier point purement typographique : en règle générale, les polices sans serif (comme la police par défaut du forum) sont plus faciles à lire à l'écran que les polices avec sérif (comme celle que tu utilises pour ton récit). Et en plus, c'est tout rikiki, merci de penser aux malheureux travailleurs du front intellectuel qui se bousillent déjà les yeux à longueur de journée devant leur écran :)


Il y a des progrès à faire en ce qui concerne la grammaire (surtout) et l'orthographe (nettement moins), mais ce n'est pas absolument catastrophique. Par contre niveau syntaxe, il y a des choses qui me font pleurer. Par exemple :




Citation :Dans son adolescence, lui et son meilleur ami se faisaient souvent attaquer par un gang des rues, en combattant un membre du gang a main nues, il le blessa mortellement en attrapant une barre de fer dans la ruelle dans laquelle il se battait, il lui envoya la barre en plein milieu du front, son sang gicla sur le sol et il s'effondra.

Dans une même phrase, tu passes d'une généralité (son enfance et les bastons régulières) à un cas particulier (la baston lors de laquelle il tue le ganger), puis tu enfonces le clou en nous fournissant une description détaillée (la barre, le sang qui gicle). À cela s'ajoutent une absence de transitions valables, une accumulation de pronoms et de participes présents, et au final on a une phrase indigeste et maladroite qui donne une forte impression de "bâclé pendant le dernier quart d'heure du cours de math"...


Tu devrais donc essayer de mieux structurer ton propos, revenir à des choses simples vu que, de toute évidence, tu as encore du mal avec les structures compliquées. Essaye, pour commencer, de reformuler ce passage en trois ou quatre phrases, selon les subdivisions données plus haut (généralité/cas particulier/description détaillée).


Autre exemple, pas aussi flagrant mais pas joli-joli non plus :




Citation :Le sergent de ce peloton était le sergent Friekler, un brave homme surnommée "le survivant" car ayant combattu maintes fois les orks <b>et il</b> fut le seul rescapé d'un peloton d'une cinquantaine d'homme <b>et il</b> abbatitt leur chef d'une balle ente les deux yeux.

Fais gaffe à la concordance des temps, là elle s'en prend plein la gueule.


Outres les problèmes avec la fluidité, il y a celui de l'ambiance, du degré d'implication du lecteur. Je suis désolé, mais pour l'instant ton Sévérian, il m'en touche une sans bouger l'autre. Si tu veux que le thème de la vengeance du frère soit le pivot de ton récit, alors n'hésite pas à insister dessus. Lourdement s'il le faut, quitte à en faire un peu trop par moments. Prenons cette phrase par exemple :




Citation :Pour sévérain son frère était un héros, il se disait qu'un jour il combattrait et qu'il vengerait son frère mais pour l'instant il s'occupait d'aider son mère et sa mère.

La fin de la phrase ruine complètement ton intention. "Il s'occupait d'aider" ? On a l'impression, qu'en fait, au fond, il s'en cogne de son frère. Il manque un contraste, quelque chose de plus frappant. Par exemple "il était bien obligé d'aider" ou "il n'avait pas d'autre choix que d'aider". Tu t'en tires beaucoup mieux dans la deuxième partie :




Citation :les soldats étaient animés de la force du désespoir, mais Sévérian était enhardi par la mort de son frère

Là, OK, j'ai nettement plus envie d'y croire. ;)


De manière générale, creuse ton personnage, dévoile-le nous sous toutes les facettes au lieu de te contenter de le "survoler". Essaye aussi de te poser la question suivante à chaque paragraphe, chaque phrase, chaque mot : "qu'est ce que j'ai apporté à mon récit avec ce que je viens d'écrire ?". Ou, mieux encore : "qu'est ce que je veux apporter à mon récit ?", et rédige la suite en te basant sur l'idée que tu te fais du rendu global de ton texte. L'épisode de l'Arbites, selon moi, n'apporte rien, mais alors rien de rien. Il n'aurait pas été là, c'aurait été pareil.


Bon, je vais m'arrêter là. J'espère que ces quelques remarques certes sévères mais que j'estime assez constructives t'aideront à rectifier le tir.


--


A.K.


Déjà je vous remercie de m'avoir lu.




Citation :adeptus arbites est la police je crois ? donc si un policier assiste à une baston, il va pas regarder et féliciter le vainqueur.

En fait je vais tout réécrire de toute façon le gars de l'adeptus voit la fin de la scène et accourt après.




Citation :Le voyou il a un flingue et il se fait trucider par un gueu ?

hum... ça va devenir un héros alors on peut pardonner ça




Citation :Quand on s'enrole dans la garde, on est fourni en équipement, munitions etc et on a une formation (non ?)
donc ca le fait pas il se fait recruter et 2 jours après il est au front.

C'est la guerre voyons je pense pas que quand l'ennemi surtout les orks attaque tu ait le temps d'un formation.


Et l'équipement il en reçoit il garde juste le pisto laser un peu en souvenir




Citation :La baston le fait pas mal, sauf la fin ou une escoude de gi massacre un horde de zorcs.

Je vais changer ça




Citation :Pour la suite, il va se faire enroler en Black templar, c'est sur ; Donc pas trop de suspens.

Mouais je vais changer le titre avant que quelqu'un d'autre s'en aperçoive




Citation :Vivement la suite, a+

Merci


bon ça c'était pour le fluff je vais maintenant répondre à Ingos Strakh, les remarques sont certes un peu sévére mais en même temps si à chaque fois qu'on fait quelque chose on nous dit que c'est bien on progresse pas.




Citation :Premier point purement typographique : en règle générale, les polices sans serif (comme la police par défaut du forum) sont plus faciles à lire à l'écran que les polices avec sérif (comme celle que tu utilises pour ton récit). Et en plus, c'est tout rikiki, merci de penser aux malheureux travailleurs du front intellectuel qui se bousillent déjà les yeux à longueur de journée devant leur écran :)

No comprendo senor, j'ai utilisé la même police que celle du fofo. Ou alors il n'y a que moi qui voit ça sur mon pc.




Citation :Dans une même phrase, tu passes d'une généralité (son enfance et les bastons régulières) à un cas particulier (la baston lors de laquelle il tue le ganger), puis tu enfonces le clou en nous fournissant une description détaillée (la barre, le sang qui gicle). À cela s'ajoutent une absence de transitions valables, une accumulation de pronoms et de participes présents, et au final on a une phrase indigeste et maladroite qui donne une forte impression de "bâclé pendant le dernier quart d'heure du cours de math"...

Comment t'as su pour le cours de math?^^


Je vais réécrire ce passage et le développer




Citation :Fais gaffe à la concordance des temps, là elle s'en prend plein la gueule.

C'est pas faux.




Citation :Outres les problèmes avec la fluidité, il y a celui de l'ambiance, du degré d'implication du lecteur. Je suis désolé, mais pour l'instant ton Sévérian, il m'en touche une sans bouger l'autre. Si tu veux que le thème de la vengeance du frère soit le pivot de ton récit, alors n'hésite pas à insister dessus. Lourdement s'il le faut, quitte à en faire un peu trop par moments.

Oui en fait c'est le "moteur de son courage"




Citation :La fin de la phrase ruine complètement ton intention. "Il s'occupait d'aider" ? On a l'impression, qu'en fait, au fond, il s'en cogne de son frère. Il manque un contraste, quelque chose de plus frappant. Par exemple "il était bien obligé d'aider" ou "il n'avait pas d'autre choix que d'aider". Tu t'en tires beaucoup mieux dans la deuxième partie

Tu as raison c'ets beaucoup mieux




Citation :De manière générale, creuse ton personnage, dévoile-le nous sous toutes les facettes au lieu de te contenter de le "survoler". Essaye aussi de te poser la question suivante à chaque paragraphe, chaque phrase, chaque mot : "qu'est ce que j'ai apporté à mon récit avec ce que je viens d'écrire ?". Ou, mieux encore : "qu'est ce que je veux apporter à mon récit ?", et rédige la suite en te basant sur l'idée que tu te fais du rendu global de ton texte. L'épisode de l'Arbites, selon moi, n'apporte rien, mais alors rien de rien. Il n'aurait pas été là, c'aurait été pareil.

Cela aura une grosse importance un peu plus tard


Bon j'ai du boulot mais vous aurez la réécriture surement demain soir, là j'ai pas tellement le temps


Citation :No comprendo senor, j'ai utilisé la même police que celle du fofo. Ou alors il n'y a que moi qui voit ça sur mon pc.

Moi ce que je vois, c'est ça :


[Image: severianjp8.th.jpg]


(en haut, la police par défaut du forum, en bas, la police utilisée pour ton texte)


--


A.K.


Dsl du flood


Je vais essayer de régler ça, je l'ai pas vu moi c'est pareil.


J'ai changé la typo et augmenter la taille, changer le titre aussi


Bonjour


Je voudrais savoir si tu as reécrit le texte etc pour ne pas avoir à tout relire...


Et je mets un lien vers un texte très bien écrit qui pourrait t'inspirer.


Essaie de trouver une taille un peu moins grosse, là ca fait bof


C'est le recir complet ou juste les grandes lignes? Il y a des passage avec beaucoups de détails et d'autres très survolés, ça fait bizarre à lire.


Autre chose, il me semble que les pistolets laser ne tirent pas des "balles" mais des rayon énergétiques ou "chépakoi"...


sinon l'idée est pas mal.


a+