La Vie Du Maitre Siphodyase

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bonjour, voici le premier chapitre d'une nouvelle retacant la vie du maître siphodyase, fiére guerrier des Doom Raven.


il sera surment suivit par d'autre chapitre de cette nouvelle mais je vous laisse au soin de me dir se que vous en penser avant de poster le reste !


CHAPITRE 1


Alors que l’empire galactique est déchiré dans son intérieur, des guerres obscures éclate dans toute la galaxie sans qu’aucune force ne parvienne à tout maîtriser. C’est une époque où les armées de l’empereur sont aussi affaiblies et vacillante que l’empereur lui-même. On dit de cette époque quelle est la plus sombre qu’aie jamais connue l’humanité où même le plus fanatique des seigneur inquisiteur était en proie aux doutes.


La planète d’entana fait partie de la zone de juridiction du chapitre des Doom Raven.


Et à se titre bénéficie de sa protection contre toute menace potentielle or, à l’époque dont je vous parle, la galaxie pullulait de menaces de ce type, les orks n’ont jamais connu d’aussi grosses Waaagh !qu’en cette période et les pirates éldars dominaient tout l’espace grâce à des vaisseaux dont les humain ne pouvais même pas comprendre le fonctionnement.


La planète fut attaquée par une flotte de tyranide en quête de nouvelles victimes pour nourrir leur être.


C’est non sans stupeur que les habitants découvrirent la marée d’immondes créatures fondant sur eux à une vitesse qu’aucun des tacticiens de la garde impériale présente sur place ne pu imaginer. En à peine quelques heures, la moitié de la planète fut anéantie, chaque fois que quelqu’un allumait le net, c’était pour entendre qu’une nouvelle ville venait de tomber malgré la résistance héroïque des soldas présent sur les lieux des massacres.


Le centre opérationnel des Doom Raven se trouvait dans la ville la plus peuplée et pour le moment épargné. Bien que le saint empereur de l’humanité eu réquisitionné la plus grande partie du chapitre pour la poursuite d’une campagne interminable contre les forces du chaos, le centre gardait en son cœur se qui fait la force de tout les chapitre space marines :


Les recrues.


Des personnes sélectionnées par l’apothicaire du chapitre pour recevoir la connaissance et la sagesse de millions d’années de guerre. Tous sont là, dans la compagnie qu’on appelle les scouts. Ils sont là pour faire leur preuve en tant que servant de leur chapitre.


Ils sont tous déjà des héros sur leur planète d’origine et on tous fait serment de se battre pour l’empereur dieu. Lorsque le frère vint les voir, ils était déjà tous prêt à combattre. Equipés d’armures carapaces, ils avaient tous en main le symbole des anges de la mort, le saint bolter. Plus qu’une arme, chaque munition pouvais détruire un mur ou pulvériser quelqu’un. Ces armes sont transmises d’homme en homme et chaque une sont des œuvre d’arts particulièrement bien finie, se qui n’a rien à voir avec les fusils laser de nos jours.


Le frère neile resta là, sens dire un mot, on pouvait sentir la tension dans son regard et la douleur qu’il ressentait rien qu’a voir ses mains trembler. Il ouvrit la bouche et dit :


« Durant toutes ses années, le chapitre vous à donné tout se que pouvait vous donner des frères, tous se que vous aurait donne un père, il vous à offert la vie nouvelle, la lumière de notre guide, vous avait appris, vous avais grandi, et à fait de vous aujourd’hui des fils digne de protéger nos valeur. Tachez d’être digne, mes frères, même si nous mourront se soir, nous mourront libre et pur ! »


Et là, sans savoir pourquoi, le frère siphodyase, blotti dans son armure carapace, se mit à ressentir un frisson lui parcourir le dos, puit tout le corps. Tout la haine et la frustration de ses années d’entraînement semblèrent soudain se libérer en lui pour ne plus laisser que la frénésie du combat qui l’emportait déjà.


La cité fut complètement vidée et tout les civils se réfugièrent dans le centre d’entraînement où le système de défense automatique pourrait les protéger plus efficacement que toutes leurs barricades, le centre était un grand bâtiment circulaire entouré par un mur d’enceinte hérissé de tourelles de défense, d’une grande cour qui servait normalement à l’entraînement des recrues quand elle n’étais pas en simulateur mais qui fit office ce jour là de no man’s land.


Tous les civils qui étaient parvenus à atteindre le centre se trouvaient à l’intérieur du bâtiment avec la milice locales composé de près de 300 gardes impériaux armés de fusil laser, lance-grenade, fuseur et autre lance-flamme. Mais il y avais aussi les hérauts de l’empereur, certes novice mais tout aussi courageux et brave que leurs pères.


Et c’est alors que la sirène se mit à sonner annonçant la venue des engeances dans le périmètre. Les tourelles se virent aussitôt à faire feu et les tyranides tombèrent comme de simples insectes. Les caméras extérieures permirent de visualiser la situation de la bataille et d’après elle, l’espoir pouvait encore être permis. On ne voyait que peu de chose mais l’image d’un tas de carcasses calcinés étais très nettement visible.


Siphodyase ressentit une telle joie dans cette désolation qu’il oublia une seconde que cette scène se déroulait à peine à quelques dizaines de mètres de là, et que surment bientôt, viendrai son tour de monter au combat.


Le mur semblait ridiculement petit face à la taille de la montagne de cadavre fumant mais plus elle grandissait, plus les genestealer sauteront haut pour passer au dessus du mur lui-même.


Quelques minutes passèrent, où les fils de l’empereur se mirent à prier pour leur salut mais siphodyase le savais bien lui, il n’y a que la force de son bras qui pourrait le sauver.


Tout à coup, un gros tremblement de terre se fit sentir et la terre du no man’s land commença à se fissurer. En un éclair, les gardes se créèrent des barricades et se réfugièrent derrière.


Les scouts quant à eux sortirent leurs armes et leur couteau de combats, prêt à en découdre.


Les tremblements s’intensifièrent et un gouffre béant s’ouvrit au milieu de la cour et une bande de gaunts en surgit en un éclair. Les gardes firent feu alors qu’ils se trouvaient déjà à quelques mètres, les premiers tombèrent mais le corps à corps s’engagea très vite, et les jeunes scouts fondirent sur l’ennemi comme de vrais tigres alors que les gardes se firent massacrer.


A quoi pouvais bien penser le frère siphodyase lors de cette bataille ? Vers qui pouvait se river ses pensées profondes ? Personne ne le savait mais quelle qu’elle soit, elle lui donnait suffisamment de force et de courage pour se battre comme un lion et faire la fierté de son chapitre. Chaque coup d’épée de combat trancha une tête d’une de ces immondes créatures et chaque bolte tiré était comme la vengeance de mille hommes. La bataille continuait à s’intensifier, l’armure maculée de sang, le fier fils de l’empereur continua à se battre courageusement. Se battre ne semblait être qu’un jeu pour lui, c’est avec une telle facilité qui mettait à terre toutes ces créatures que sa simple vision redonnait courage aux quelques survivants de la défense vacillante de la cité.


Siphodyase entendit dans son casque de communication le frère neile entonnant des prières pour soutenir ses troupes. Lorsque qu’un hurlement horrible se fit entendre, sans plus attendre, siphodyase se dirigea vers sa position et découvrit avec stupeur un monstrueux carniflex de plus de 3 mètre de haut mettre en pièce se qui restait du frère instructeur. C’est alors que tout espoir semblé perdue, qu’il ne rester presque plus personne, siphodyase entra dans une colère telle qu’un instant, on pus voir la peur traversé les yeux vitreux de l’immense créature. Et c’est dans un hurlement guerrier, sans la moindre hésitation, oublient tout se que son entraînement lui appris, que siphodyase charger, lame à la main l’immonde créature. Il arrachât son casque qui l’étouffait, pris appui sur une carcasse de gaunt et bondit à hauteur de la tête de la créature prêt à se faire dévorer sans autre forme de jugement. Alors même que la créature ouvrit la gueule, un faisceau laser vint percuter de plein fouet le flanc de la créature qui tomba à terre dans un râle puissant.


Dans sa chute, siphodyase vu le razorback du capitaine Heralds en personne foncer sur lui.


S’arrêtant à peine un mètre du jeune apprenti et c’est 6 space marines en armure énergétique qui formèrent un rond parfait autour de lui, le voila aux coté des plus fièrs guerrier que l’empire comprend. Le reste du chapitre a sûrement du reprendre d’autres points stratégiques.


Siphodyase, récupéra sont casque et y hurla « messires, ils faut aller secourir nos frères »


Alors qui se dirigea vers la masse de créature bestiale.


Mais sans comprendre, un des frères le retins et tenta de le faire entrer dans le transport, alors qu’il se débattait pour se désentraver, deux autre frères vint sur lui pour le faire entrer de force dans le véhicule, ils fermèrent la porte et mirent les gaz pour fuir le centre. Sans comprendre pourquoi, siphodyase arracha son casque, et demanda à faire demi tour pour secourir ses frères d’armes, pour sauver les civils mais pas un ne répondit. Hors de patience il tenta d’ouvrir la trappe pour repartir au combat mais ce n’est autre que lui-même Heralds qui lui retint le bras, et lui dit « il n’y à plus rien à sauver, tu est le seul survivant mon frère, le seul ».


Des fautes, trop de fautes : on voit que le texte est passé dans un correcteur orthographique, mais ça ne fait pas tout : il reste une foule d'erreurs (passés simples, concordance des temps, accords en genre et en nombre...).


Le texte corrigé, en jaune sont surlignées les choses qui m'ont parues inacceptables d'un point de vue syntaxe/style:


>> vieduMa__treSiphodyase_reAKV.doc <<


Les remarques d'ordre général:


- le style et surtout la narration sont décousus : tu commences au présent, puis tu bascules sans crier gare au passé simple/imparaift, puis tu reviens au présent quelques lignes, puis...


- ce "je" ("à l'époque dont je vous parle") qui vient d'on ne sait et qui disparaît tout aussi mystérieusement...


- je le dis et je vais le répéter encore beaucoup de fois : quand on fait un clip, on n'essaye pas d'y caser tout un film, i.e. si vous écrivez une nouvelle, écrivez <i>une nouvelle</i>. Si vous écrivez un chapitre, n'essayez pas d'en caser dix à l'intérieur. Ce qui est surtout dommage, c'est que le premier quart de ton récit ne sert à rien ("Alors que l'empire [...] le fusil laser de nos jours"). Tu as justement choisi ce qui semble être "la solution de facilité" (qui n'en est pas une, je reviens là-dessus un peu plus tard) : te baser dans un univers que d'autres personnes ont pris la peine de développer pour toi. Je pense qu'environ 99% des gens ici présents savent qui est l'Empereur, un scout SM, un tyranide, ne te fatigue pas à le réexpliquer, surtout si tu n'es pas certain pouvoir le faire mieux que les auteurs de nouvelles GW. Le pire, c'est qu'on ne comprend même pas, en fin de compte, dans quelle époque précise de l'Imperium on se situe... l'Hérésie? l'Apostasie?


Un procédé classique consisterait à faire débuter ton récit par un moment de tension teinté d'inconnu : Siphodyas (pourquoi tu ne mets jamais de majuscule à son prénom? ou bien ce n'en est pas un?) est déjà en pleine bataille, il se bat contre des gros monstres, tous ses potes crèvent autour de lui, etc. Puis, au fur et à mesure que tu décris l'action, tu insères des passages narratifs (ou des dialogues) qui révèlent peu à peu la situation : à quel chapitre il appartient, comment il s'est retrouvé ici, quelle est son histoire, et comment il va faire pour s'en tirer... Il faut éviter de balancer à la figure du lecteur un tableau d'ensemble et lui dire ensuite "maintenant attardons-nous sur les détails", il faut au contraire lui jeter une petite pièce du puzzle, et construire autour le puzzle entier. Parce qu'au final, si je devais résumer l'impression que me laisse ton histoire ce serait : "on sait tout et on n'apprend pas grand-chose"


- quand on empreinte un univers, il faudrait faire attention à le respecter, ne serait-ce que dans l'orthographe des noms, lieux, créatures, etc. "Empire galactique" (au lieu d'Imperium ou Empire de l'Humanité") et "Carniflex" (au lieu de "Carnifex"), ça le fait moyen.


Je sais que je peux paraître dur, mais comme nous dit la police dans ces cas : "c'est pour votre propre bien monsieur". L'important c'est l'envie d'écrire, le reste viendra au fil écriture, lectures et échanges avec les vieux cons de service.


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(Modification du message : 05-07-2008, 16:33 par Ingos Strakh.)