Brèves

4 réponses, 2880 vues


Un ensemble de trois histoires courtes sur fond de vaisseau-monde.


<i>Numéro 5</i>


Encore un peu à gauche. Encore. Encore… Foutus orkoïdes, pas même capables de suivre une piste aussi grossière. Encore…Encore…Plus que 12 mètres et ce sera un carton digne du maître instructeur. Netheal Gael était le meilleur piégeur de son escouade. Personne ne posait les appâts comme lui. Aujourd’hui, il avait simplement eu l’idée de déposer un pistolet shuriken avec 3 chargeurs complets au pied de cette arbre géant. Il avait soigneusement disposé le corps d’un gardien de façon à ce que l’on croit à une chute provenant de la cime du conifère.


Bon sang ! Que ces crétins sont lents à progresser ! Se doutent-ils de quelque chose ? Non, impossible. Le piège est simple mais parfaitement orchestré. La position de la tête, la distance du pistolet au corps du gardien, l’écorce éraflée…Non, tout est parfait. Et pourtant, ces crétins avancent vers l’arbre avec la précaution du chasseur. Il connaissait le goût des orkoïdes pour les armes, surtout chargées. Il savait qu’ils ne manqueraient pas de ramasser tout ce qui coupe, tranche, tire et explose. Netheal Gael connaissait les orks. Il ne les comprenait pas, mais pouvait prévoir leur réaction. C’était sa quinzième mission de reconnaissance en 6 mois. A chaque fois, il se devait de rapporter les positions exactes des canons et autres armes d’artillerie ainsi qu’une estimation du nombre d’individus. Le « camp de la forêt » était le plus excentré des 113 camps orkoïdes recensés dans la région d’Isilidir. Selon son estimation première, il comptait 650 individus, 20 véhicules lourds et surtout un spécimen monstrueux de cette race dégénérée qui avait la particularité d’être écouté par les autres. Lorsque ce dernier beuglait des sortes d’ordres : « N’en navan’, band’ de tétar’ ! » ou encore « Krevé lé touss! », les plus petits s’affairaient à démarrer leurs engins crasseux et rouillés.


Bientôt… L’orkoïde de tête vient d’apercevoir le pistolet. Il s’avance. Pourquoi les autres ne le suivent-ils pas ? Etrange. D’habitude c’est la foire d’empoigne, ils hurlent, grognent, se précipitant sur le butin comme des charognards sur une carcasse pourrissante. 2 mètres… Netheal Gael repositionne sa main sur la crosse du fusil. Sa respiration est parfaite. Elle est rythmée par rapport au mouvement de sa cible. Cela fait 73 secondes que le viseur dynamique indique « cible vérouillée ». Ils sont quatre, marchant l’un derrière l’autre en file indienne. Le temps que le premier ork s’écroule, le deuxième sera atteint au front. Le troisième aura à peine le temps de tourner les épaules que lui aussi sera ciblé par le long fusil. Netheal Gael le tenait de son père, qui lui même le tenait de son aïeul. Une longue lignée de ranger. Même sa cape en caméléoline était un bien familiale. Combien de fois l’avait-elle sauvé d’une mort certaine ? 10 fois ? 15 fois ? Il ne savait plus. On a beau être ranger de l’Amlugisilrim, il est parfois difficile d’être totalement invisible et silencieux.


Soudain, le mot résonne dans sa tête : Quatre ! Quatre ! Ils ne sont que quatre ! Ou se trouve le cinquième orkoïde ? Panique, stress, angoisse…Il faut penser vite et agir. Se calmer, d’abord se calmer. Respirer. La litanie. Chanter la litanie du rôdeur. Calme…Calme…Attention, le quatrième individu porte ce qui ressemble à un lance-missile. Il faut le descendre avant le numéro 3. Respire… Respire…L’ork de tête est à présent sous l’arbre, il semble chuchoter quelque chose au numéro 2. Il se baisse…Maintenant !


Avant même que le haut du corps du Nob ne touche le sol, l’ork qui portait le « sak ô trézor’ » posa sa main sur sa gorge. La giclée de sang rouge vif qui s’échappait du numéro 2 éclaboussa les deux dernier qui, poussant des beuglements de rage, tentèrent d’armer leurs armes respectives. Numéro 3 eut à peine le temps de tourner le canon de son gro’flingu vers ce qui lui semblait être un rocher « ki’ tir’ ». La troisième détonation lui était destinée. Il s’écroula, un petit trou rouge sang à la place de l’œil gauche. Demeurait numéro quatre. Ce gros lourdaud venait de s’accroupir pour essayer de rattraper la rokett’ qui lui avait glisser des mains. Il mourut dans une explosion à peine atténuée par la végétation environnante.


Mieux vaut ne pas traîner ici. Le secteur grouillera d’orks dans moins de deux minutes. D’un geste simple, un peu à la manière des sabreurs, Netheal Gael rengaina son fusil dans son sac dorsal. Capuchon baissé, il commença sa précautionneuse marche arrière, en faisant bien attention de ne laisser aucune trace exploitable de son passage. Le rythme de son cœur retrouvait petit à petit une cadence normale. Déjà, les premiers tirs d’armes automatiques retentissaient derrière la lisière de la forêt. Son quadruple carton avait réveillé des moteurs surgonflés qui pétaradaient à chaque coup d’accélérateur donné par le « pilote ». « Pilote »…Cette pensée fit sourire Netheal Gael. Tout en courant à couvert vers le bas de la colline, il pensait aux équipages des vypers de sa division. De véritables maîtres du pilotage, des as, des serpents ailés insaisissables. Rien de commun avec ces primitifs conducteurs de truks.


Encore 500 mètres. Son œil exercé aperçoit déjà le fuselage du serpent camouflé par un holo-écran dispersif dans le coteau opposé. Plus que 400 mètres… Tout à coup, le ranger eldar s’arrêta net. Il ne respirait plus. Son cœur s’était arrêté de battre. Son visage déjà pâle devint livide : le camouflage en forme de brume du serpent n’était pas le résultat d’un holo-écran. L’odeur âcre de la fumée ne laissait aucun doute : son véhicule de transport, celui qui devait le ramener à la forteresse secrète était détruit. Les bras le long du corps, les yeux dans le vide, il n’arrivait pas à y croire. Comment cela avait-il pu se produire ?


Plongé dans ses interrogations, Netheal Gael ne vit pas venir le coup de kikoup’ qui lui traversa la cage thoracique de part en part. Le piégeur avait été piégé. Dans un craquement sinistre, l’ork retira son énorme machette du corps désarticulé du ranger. Son sourire béat laissait voir une rangée de crocs pourris lorsqu’il aperçut la sacoche contenant le long fusil ancestral. « Ahrr ! Une pétoir’ de tafioll’ ! Vé pouvouâr kustomizé mon flingu’ ». Numéro 5 était content.


<i>Des mains de soldat</i>


L’agri-monde de Xana-th, zone Ouest 345-B-456, village de Glam Al Nebar, par une triste après midi d’automne. Au centre du petit bourg en ruine, une maison à la façade en partie écroulée et noircie par les flammes. Au milieu des ruines, adossé à ce qui reste d’un mur, le soldat Perry fume une cigarette. Du tabac Calchedi… pense-t-il… L’odeur velouté et suave de la fumée lui fait oublier pendant quelques secondes la détresse de sa situation. Il s’accroupit, tire une dernière bouffée et jette le mégot au milieu des gravas. L’atmosphère a comme un goût de résignation. Il regarde ses mains, des mains noires, des mains de soldat, se dit-il.


Fils de cultivateur, le soldat Perry a grandi sur la planète agricole 3481. A la mort de son père, le jeune Perry, âgé alors de 16 ans, reprend l’exploitation avec l’aide de son oncle. Il travaille dur, ne ménage pas sa peine pour faire perdurer la petite entreprise familiale. Il aimait son métier. Les champs de balgours rouges, son verger d’iridoles et même un petit cheptel de vaches laitières étaient sa fierté. Il n’aurait changé de vie pour rien au monde.


C’est ce qu’il avait tenté d’expliquer au sergent recruteur, il y a 5 ans. Le sergent avait froidement répondu : « Ta vie ne t’appartient pas. Tes mains serviront l’Empereur. »… Des mains de soldats… Perry a été affecté au 103ème de Tiberiad, une division de chasseur à pied de la Garde impériale. Cela fait maintenant 3 années qu’il parcourt ce secteur du segmentum tempestus. Il fait partie d’une compagnie de soutien et logistique. Sa division est en charge de sécuriser un ensemble de planètes d’intérêt vaguement stratégique, à ce qu’il avait pu comprendre. Il s’agissait de fortifier certains astroports et petites villes d’approvisionnement. Le 103ème vérifiait, arrêtait, exécutait et réprimait toute opposition, en « Son Nom ». Des missions de routine pour une division aussi puissante. Mais des rumeurs couraient depuis quelques mois sur une menace bien plus grande que les petits groupes de rebelles indigènes ou les contrebandiers. Le haut commandement craignait une menace xénos sérieuse. De celle qui mettent des mondes entiers à feu et à sang…


Jusqu’à hier, ce n’était qu’une rumeur, une abstraction, une lointaine chimère qui faisait parler les bleus. De temps à autre, il rencontrait des gars qui revenaient d’un front quelconque et qui racontaient les tirs, les cris, le sang. Perry n’avait jamais vraiment réalisé l’horreur. Il ne s’était même jamais posé la question : contre qui devons-nous nous battre ? Les ennemis de l’Empereur évidemment, mais il y en avait tellement. Maintenant qu’il était devenu acteur, il savait. Des mains de soldat…


Ca faisait une heure que les tirs avaient cessé. Une heure qu’il était seul dans cette ruine pourrie, perdu dans ce village pourri, sur une planète de merde pourrie… Sa compagnie ? Pulvérisée, anéantie, déchiquetée. Il pleurait, il repensait à ce matin et il pleurait. Tout était allé si vite. D’abord ce bourdonnement, à peine audible. Et puis d’un coup, cette lumière. Aveuglante, terrible, annonciatrice de mort. Des explosions, partout, à droite, au-dessus, et cette lumière brûlante. Ses camarades qui prenaient leur pause au rez-de-chaussée, avaient été littéralement évaporés par une salve meurtrière. De véritables boules de feu ! Des armes à plasma, ces explosions foudroyantes ne pouvaient provenir que d’armes à plasma. La compagnie prise par surprise avait été dispersée. Les hommes n’avaient pas eu le temps de riposter. L’attaque fut foudroyante. Certains s’étaient réfugiés dans les chimères, d’autres essayaient de démarrer les tanks pour faire face à la menace. Elle était finalement arrivé, cette « menace ». Rien à voir avec de l’abstraction, se disait Perry. Une putain de menace bien réelle.


Le vent se lève. Le soldat Perry empoigne son fusil laser. Doucement, il se redresse et jette un coup d’œil au-dessus du mur à moitié écroulé. En bas, la rue principale du village est déserte. La route est complètement défoncée et de nombreuses bâtisses sont en ruine. Tout au bout du village, le Leman Russ « Gloire » n’est plus qu’une carcasse fumante, éventrée comme une cannette de Koka. Quelle saloperie est capable de percer le blindage d’un Leman Russ d’un seul tir, se demande Perry. Soudain, un bruit. Perry se jette au sol. Puis, plus rien. Probablement, un éboulement dans la maison voisine… Non ! Le même bruit sourd : Boum… Boum… Boum… On dirait une sorte de martèlement, bruit sourd et régulier… Boum… Boum… Boum… Les mains du soldat Perry recommençaient à trembler. Qu’est ce que c’est que cette merde ! Boum… Boum… Boum… Ca se rapplique par ici. Le bruit s’amplifie. Perry fixe le bout de la rue. Ca vient de là bas. Boum… Boum… Boum… Des pas ! Ce sont des pas ! Qu’est-ce que…


Au même moment, au bout de la rue principale, la silhouette élancée du seigneur Faen Ar Thetis apparaît. La couleur verte de son squelette de moelle spectrale est la marque de son peuple, le peuple des Lunes Dragons, l’Amlugisilrim. Il s’était arrêtait devant l’épave du véhicule mon-keigh. Immobile, il semblait fixer Perry. Le soldat était comme hypnotisé. La peur sûrement, mais pas seulement. Il se dégageait du monstre géant une aura de sérénité et de majesté. Que l’Empereur me pardonne, se dit-il, mais cette chose est l’incarnation de la puissance. Perry n’avait jamais rien vu de semblable et pourtant il connaissait le nom que ses supérieurs donnaient à ce colosse : un seigneur fantôme eldar, une machine de guerre capable de broyer une chimère d’un seul geste. Paraît-il qu’il incarne la fougue de milliers de guerriers…


Tout à coup, une voix : « Missile armé, sergent ! » et son écho : « FEU ! ». Perry eu à peine le temps de tourner la tête en contrebas de la rue pour voir partir le missile. Les gars du 103ème ! Un peloton d’infanterie, ils était au moins dix dont le sergent Mc Kolly, son instructeur. Ils disposaient d’un lance-missile et d’un bolter lourd. Une fraction de seconde plus tard, le missile explosa au contact du géant de moelle spectrale. Une forte détonation. Le seigneur fantôme s’écroula dans un nuage de poussière. Yeah ! Vive les gars du 103ème ! Putain… Quel tir ! Saloperie d’eldar ! Le sergent leur dit de rester prudent et qu’il avait déjà vu se relever ce genre de merd… Il ne finit jamais sa phrase. Le sergent Mc Kolly venait d’être atomisé par un tir de canon stellaire.


Faen Ar Thetis avait été touché, mais il en fallait plus pour faire taire la colère d’un millier de guerrier. Le seigneur fantôme courait déjà en direction des soldats. Ces derniers tentèrent de recharger à la hâte le lance-missile. Trop tard. Le bolter lourd crachait une pluie d’acier qui ricochait sur le squelette indestructible du colosse. Perry n’en croyait pas ses yeux, le géant tirait des salves de plasma brûlant qui vaporisait un à un les hommes du 103ème. Lorsque Faen Ar Thetis arriva devant les servants du bolter lourd, il marqua un temps d’arrêt, comme s’il voulait que Perry ne rate rien du carnage. Le tireur tenta de fuir au même moment. Un poing crépitant d’énergie s’abattit sur ses jambes, les déchiquetant aussi facilement que de la pulpe de fruit. Le dernier représentant du peloton était resté là, planté devant le monstre, attendant sa mort avec fatalité. Cette dernière arriva vite : d’un revers du poing, Faen Ar Thetis décapita le soldat qui tomba raide à ses pieds.


Perry était terrorisé. 10 hommes, se répétait-il, 10 hommes en quelques secondes. C’était à peine croyable. Pris d’un léger vertige, le soldat Perry se retint au mur écroulé et dans un mouvement maladroit, fit tomber un parpaing le long de la façade. Silence funeste… Lentement, le seigneur Faen Ar Thetis, incarnation de la colère des Rois Dragons de l’Amlugisilrim, se retourna en direction du 1er étage du bâtiment en ruine situé sur sa gauche. Il fixa pour de bon le soldat Perry. Ce dernier, résigné, regarda une dernière fois ses mains, des mains de soldat.


<i>Kill Bill</i>


A une dizaine de pieds du sol, la silhouette organique d’un serpent flottait, les moteurs poussés à plein régime, zigzaguant entre les collines boisées. La ligne de front n’était plus qu’à quelques minutes de vol. Ce matin, à l’aube, des mon-keigh avaient foulé le sol de Cyrrus IV, une des planètes sanctuaires du vaisseau-monde Amlugisilrim, Le Peuple des Lunes Dragons. Leur arrivée sur ce petit monde était un sacrilège à la mémoire des anciens. Leur arrivée était une erreur qu’ils allaient payé au prix fort. Leur arrivée signifiait la guerre.


Le front était en vue: Une bande de terre noircie et vitrifiée par les salves répétées d’armes à plasma. Soudain, le serpent piqua en vrille comme un rapace, évitant de justesse un missile guidé par la chaleur dégagée des turbines de propulsions. Il cherchait à raser le sol le plus possible. Le pilote savait comment minimiser les occasions de tirs ennemis. Parfois, un rayon aveuglant venait frapper le bouclier énergétique du véhicule et se dissipait sous la forme de monstrueuses décharges électrostatiques. Il fallait arriver au plus vite à destination…


Paradoxalement, l’atmosphère à l’intérieur du compartiment passager avait l'odeur de la serénité. On entendait à peine le bruit des canons et les rafales d’armes automatiques qui ricochaient sur le blindage. Isiel était déjà en état de transe guerrière. Son esprit avait été modelé par des siècles d’entraînement intensif aux arts de la mort. Elle était capable d’atteindre en une fraction de seconde l’état mental du prédateur ultime, l'état dans lequel sa volonté de tuer guidera sa main vers la faille de son adversaire.


Elle ne tuera pas par plaisir. Non. Ni par vengeance. Au temple, on lui avait appris à tuer par instinct. Ses ennemis sont des animaux inconscients des conséquences de leurs actes, Isiel sera leur prédateur. Elle sait sans y penser que lorsque la trappe de débarquement s’ouvrira, elle aura dans sa main gauche la lame donneuse de mort. Alors, elle bondira hors du serpent, analysera la situation en un éclair et se précipitera vers la proie la plus grasse. Il lui suffira alors de déclancher d’un ordre mental le halo énergétique de son sabre de combat. La suite n’est qu’une course assourdissante, rythmée par les cris terrifiants des amplificateurs vocaux, qui paralyseront sa proie le temps d’un spasme, un spasme mortel. Vision vague de mort, d’ichor et de sang.


L’instant approche. Le voyant d’alerte de son masque de guerre vient de s’allumer. Isiel est prête. La porte de débarquement s’ouvre. D’un mouvement d’ensemble souple et gracile, l’escouade de dix banshees bondit hors du véhicule. Tout va très vite: un cratère, sur la gauche, 25 mètres, un petit groupe de mon-keigh lourdement protégé par une armure aux dimensions hors normes s’apprête à ouvrir le feu sur une escouade de Vengeurs retranchée derrière les restes fumants d’une vyper. Isiel s'élance, l'esprit de Khaine la porte. Dans quelques secondes, les cinq combattants d'élite en armure dreadnought seront morts.


Euh euh euh.


J'adore.


C'est trés bien écrit et on va directement à l'essentiel .


les histoires se laissent lire tranquillement.


Bon, il y a des libertés avec le fluff , mais on s'en fout.


Par contre , quel mauvais gout avec la première histoire.


Un eldar qui se laisse avoir par un ork.


C'est anti fluff , anti beau, anti tout en fait ;-)


Bon, il va désormais falloir nous en dire un peu plus sur le peuple des lunes dragons.


Merci public. Moi aussi je t'aime.


Il y a plusieurs cycles, j'ai eu la vantardise de me lancer dans la rédaction de petites nouvelles illustrant les différentes factions du vaisseau-monde Amlugisilrim (traduction grossière du Sidarin: Peuple des Lunes Dragons).


J'aurais écrit une bafouille sur les scorpions, les psykers, etc... Mais voilà, la vie, le temps, la motivation, tout ça, je n'en n'ai écrit que 3.


Le background du vaisseau-monde est déjà entamé depuis... Pfiououou... Un paquet de temps. Faudrait que j'y mette de l'ordre et réctifie probablement le style.


Mais si ça plait, alors ça me fait plaisir et peut être que j'aurais le courage de m'y mettre.


Oui, faudra aussi en dire plus sur ces Orks capable de rouler des Eldars. Et si tu avais une ch'tite histoire avec des Arlequins aussi ?


Ca se lit vite, Ca se lit bien, j'adore aussi.


Du style, de la nervosité.


Un suspens de bon aloi et du second degré.


Et le mérite de se lire en faisant ses lacets avant d'aller faire les courses : Joli travail.


On attend fermement la suite (un eldar moins fort qu'un ork... c'est beau la fiction...)