La purge de Valhall

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Voici une nouvelle qui sera postée en plusieurs fois, en effet, elle représente le journal personnelle d'un GI et donc, je posterai jour par jour, vous permettant de faire quelque remarque entre.


Journal de campagne du soldat Hémérian du 23ème peloton blindé de la 3ém Compagnie du Mitgard, lors de la purge de Valhall

[...]

Jour 32Nous avons pris position dans les anciennes tranchées ennemies, apparemment nos bombardements massifs avaient porté leurs fruits car les dégâts sur les fortifications étaient impressionnants et nos ennemis avaient bien souvent abandonnés leurs armes lourdes et munitions.

Nous avons réparé sommairement les abris en attendant l'arrivée du Génie. De toute façon, nous ne devrions pas rester ici très longtemps : les officiers disent que nous allons effectuer une percée motorisée plus au sud

[...]

jour 34

Nous avons commencé la percée, comme prévu le coin attaquai été peu défendu et seul une chimère et un Leman furent immobilisé ou détruit. Le reste du peloton (une demi-douzaine de transport et trois tank escorteur) a continué sur sa lancée. Nous avons progressé jusqu'à 30 km en territoire ennemi sans rencontrer aucune résistance.

Enfin, nous sommes tombés sur l'objectif : un bunker de commandement. Après un âpre combat qui nous coûta un tank et quelques hommes dont Jonhson, Jaker et se pauvre Damian, dont c’était la première campagne. Nous réussîmes à prendre la fortification ennemie en faisant une dizaine de prisonniers et, parmi eux, un capitaine et un commandant.

Les officiers nous ordonnèrent de nous mettre en positions pour résister aux contres-attaques ennemies. Je suis chargé, avec mon escouade, de protéger le flanc droit.

[...]

Jour 36

Nous résistons depuis 2 jours aux attaques incessantes de l'ennemi. Le premier jour, nos armes et nos chars les ont tenus en respect, et seul quelques morts furent à déplorer dans nos rangs dont aucun de mon escouade, qui n'avait pourtant pas chômé. Mais le deuxième jour, le poids du nombre et l'épuisement eurent peu à peu raison de notre résistance : les 2 Lemans restants furent détruit ainsi que quatre chimères. Nous n'étions plus qu’une vingtaine et le lieutenant avait périt en défendant la barricade Est ; son sacrifice permit de repousser les assaillants. Que l'Empereur l'accueille à sa droite. En plus, les prisonniers ont tenté de s'échapper et ils ont tué six gardes avant que nous puissions les abattre.

Je suis devenu artilleur du Bolter lourd, par défaut car nous ne sommes plus que 3 hommes dans l'escouade plus le sergent, nos munitions viennent à manquer : nous n’avons pas le temps de recharger nos chargeurs et nous sommes réduits à prendre ceux de nos compagnons défunt. Les munitions de l’arme lourde sont plus problématique : Will, mon servant (par défaut lui aussi) m’a indiqué qu’il ne nous restai qu’un seul et unique chargeur.

On nous a promit que les renforts arriverait rapidement mais je crains qu'il ne seront pas assez rapide

[EDIT] j'ai fais quelques corrections, il doit rester quelques fautes, mais je vous en prie, ne soyez pas trop sevères (l'aurtaugraff ;) , c'est pas mon fort)
[/EDIT]


J'aime bien l'idée mais ai plusieurs reproches: accorde tes temps, vérifie ton orthographe et fais attention aux fautes de frappe...

And n'oublie pas, c'est un récit de soldat. Je veux bien admettre que ton trouffion Hémérian soit bien éduqué, ça n'empêche que ça reste beaucoup trop... élaboré (je ne parle pas de la trame, mais de ce qu'il dit) par exemple, dans le "jour 36" - pas bien du tout ça, il pense ton soldat ("je crains qu'ils n'arrievnt pas assez rapidement"). Les soldats de base (inclus sergents) ne doivent pas penser. Jamais. Enfin bon, il peut tout de même avoir un cerveau, c'est un détail mineur en fin de compte

Et un autre détail plutôt très important: à moins que ton homme en question soit medic ou alors un gradé haut placé particulièrement humain (au sens qu'il se préoccupe de ses hommes), il ne sera pas en train d'énumérer de façon précise les pertes du groupe. Tout au plus pourra-t-il dire "on a perdu quelques hommes, rien de grave" (rajoute "nous disent les officiers" si tu garde le trouffion de base/sergent comme perso).

Et aussi: "un âpre combat qui nous coûta dix morts" - âpre pour des marines, peut-être, mais pas pour la GI. Là, la personne qui commande à un grand sourire, ou quelquechose dans le genre...

Certaines expressions sont très discordantes; un texte, c'est comme de la musique - les mauvaises tournures de phrase, comme des fausses notes. Dans les deux cas, ça fait mal aux oreilles. Par exemple, dans ta dernière partie:

"Je suis devenu artilleur du Bolter lourd, par défaut (...)"

Ce serait mieux si tu écrivais:

"Je suis devenu artilleur et dessert un des bolters lourds, par manque d'hommes (...)" et que tu ajoutais quelquechose sur le manque de munitions et le fait que ton homme doit changer de chargeur lui-même, ou quelque chose dans ce genre qui rende l'immersion dans ton texte plus facile.

Bref, corrige tout ça. Tu tiens une bonne idée, sérieusement - avec un peu plus de travail (surtout sur la forme/mise en page, incluant la ponctuation - ce genre de chose n'est pas un élément secondaire) tu pourrais facilement faire mouche.

Un petit conseil personnel: après avoir enlevé les statistiques (ou changé le héros pour les garder, à défaut), réécris tous les nombres en lettres. Les chiffres, ça fait "je rédige mes impôts" ou encore "j'ai un DM de maths à rendre"... :P

En espérant t'avoir été utile,

Volpe.


Merci pour toutes ces remarques Volpe.

Je vais essayer de me justifier point par point :

Ce trouffion de base s'exprime comme j'ai l'habitude d'écrire : je n'aime pas utiliser les tournures de phrases plates et sans styles, même si çà immerge plus le lecteur dans le récit, çà me donne l'impression d'écrire un texte sans effet et nul.

Il énumère de façon précise car il ne sont pas beaucoup dès le départ (sept chimère et quatre Leman), donc dès qu'il y a des pertes çà se voient, c'est vrai j'aurais du plutôt écrire : "après un âpre combat qui nous coûta quelque hommes, dont Johnson, Harry et ce pauvre Williams qui n'avait encore que 17 ans"

La raison du "âpre combat" pour seulement dix morts vient du fait que si j'en mettais plus, ils n'auraient jamais pus résister aux contre-attaques pendants deux jours. De plus, il ne faut pas oublier qu'ils attaquaient un bunker de commandement, c'est à dire, un poste de relais d'ordre, alors il ne devait être gardé que par un pelotons en configuration minimale (25 GI). Enfin, dans la vie réelle, une opération militaire qui provoque la mort de dix de ses hommes seulement dans la première phase de ladite mission c'est déjà beaucoup.

Notre cher Hémérian n'est pas seul au Bolter lourd : Will, un soldat pas encore cité (il viendra plus tard) lui sert de servant.

Enfin, je dois préciser que c'est un premier jet fait en plein amphithéâtre, je me suis montré trop enthousiaste en voulant le poster tout de suite, c'est vrai. Mais ne t'inquiètes pas : je vais reprendre et corriger tout çà (mais çà ne sera pas avant le prochain week-end, j'ai oublié le brouillon à 250 km d'ici, à moins que je ne récrive tout cela de tête)

Dès que j'aurais recorrigé, je reposterai, vous verrez, d'après mes lecteurs priviligiés, la fin est assez émouvantes (bon, faut pas pousser quand même, mais ce n'est pas une happy end)


Et bien moi, tu vois, ce qui me gène le plus, et dont tu ne sembles pas t'offusquer: c'est l'orthographe.

Fait l'effort de te relire s'il te plait, car ce que tu as écrit, même si le style me plaît, a une syntaxe à vomir. Il y en a pour 5 minutes de correction à tout casser, au vu de la longueur du texte.

A+

(Modification du message : 09-04-2004, 21:44 par TéOTep.)

Tournures plates? Non non, surtout pas.

Un petit conseil, qui pourrait t'apporter beaucoup: lis Le Feu de H. Barbusse, ou à défaut (peut-être plus abordable, en terme de style) A l'Ouest, rien de nouveau de Erich Maria Remarque (Kramer, de son vrai nom), tous deux d'excellents livres (même si, comme je l'ai dis un peu plus haut, Le Feu et vraiment plus lourd). Ca te donnera une idée de ce à quoi ressemblait le journal d'un soldat dans la Première Guerre Mondiale.

Niveau journal intime de soldat pendant la Deuxième, je sais pas trop. Renseigne-toi (la Fnac est excellentissime pour ce genre de choses), je suis sûr que tu trouveras. D'ailleurs, si tu trouves quelquechose de bien, fais moi parvenir les références... :)

Surtout, ne modifie pas le style d'écriture. Enfin, tu verras en lisant ce que je t'ai conseillé un peu plus haut.

Par contre, si tu tiens absolument à garder les statistiques, écris-les au moins de toutes lettres, tu ne sais vraiment pas Ô combien de bien cela peut faire à ton texte.

Citation :Enfin, dans la vie réelle, une opération militaire qui provoque la mort de dix de ses hommes seulement dans la première phase de ladite mission c'est déjà beaucoup.
Là, par contre, je suis vraiment pas d'accord.

Peut-être que de nos jours, c'est vrai (en fait, oui, de nos jours ça l'est). Simplement, la GI est une armée typée I/II GM, donc "un âpre combat" c'est à peu près au moins environ (je multiplies les adverbes d'incertitude, là, non?) une bonne centaine d'hommes.

Il te suffit de comparer ton âpre combat à dix pertes au nombre de morts des batailles de la Somme et de Verdun, où alors de l'offensive allemande à Stalingrad (*cough* Valhall *cough*) où les soldats tombaient littéralement de froid.

Volpe, trop déconcentré par MsN et Iron Maiden pour pouvoir continuer.


Salut!

Il est vrai que les armées de la GI sont censées comprendre des milliers (millions ?) d'homme, mais je crois que si Heimdall a décidé de ne parler que d'un peloton de quelques hommes, c'est qu'il a ses raisons.

La Gi est implantée dans toute la galaxie, et tous les systèmes n'ont pas le même budget que Cadia...

Citation :dizaine de prisonniers et, parmi eux, un capitaine et un commandant.
Je ne comprends bien qui sont ces ennemis? Des égarés et damnés?

Autrement, sur le point des GI décérébrés, je ne vois pas pourquoi ils devraient tous avoir la mentalité de Rambo.

Les soldats ne sont quand même pas pris au berceau! Ils peuvent avoir eu une vie avant l'armée, et donc posséder un minimum d'esprit et de compassion...

Bon voilà, je pense qu'avec toutes ces remarques, la suite du texte devrait être tout à fait satisfaisante!

A+!


Merci beaucoup pour ton soutien âpophis.

En ce qui concerne les ennemis des GI, qui sont-ils ? Est-ce vraiment important... Ce sont des humains, des militaires apparement. A tous les coups ils sont contre l'Imperium puisqu'ils combattent la GI. Après qu'ils soient simple secessionniste ou carrément chaotique, a vrai dire les simples GI n'en savent rien : leurs supérieur leurs ont dit "tuez les ennemi de l'Imperium" alors ils tirent.

En ce qui concerne le petit nombre de GI, c'est qu'en fait, je ne m'intéresse réellement qu'à un seul d'entre eux : Hémérian. Les autres sont là pour servir d'écrantage :) et pour éviter que mon héros meurent avant la fin de l'histoire (lol).

Plus sérieusement, je ne voulais pas faire le "rouleau compresseur" GI, mais plutôt suivre une petite force pratiquement commando.

Merci pour ces encouragement, mais j'ai un petit problème : j'ai oublié mon brouillon dans mon logement étudiant à 250 km de chez moi (dsl) alors, si quelqu'un pouvait venir cambrioler mon appart et me ramener mon brouillon, çà serait sympa...

Ps : pour le brouillon, il faudra sans doute attendre après la rentrée (le 3 mai), je n'ai pas le courage d'aller le rechercher.


J'ai enfin terminé la nouvelle. Je la reposte donc en entier ci-dessous. Je l'ai écrite sous Word, donc les fautes devrait être limité...mais pas inexistante.


Mercide me donner votre avis sur cet essai.


Journal de campagne du soldat Hémérian du 23ème peloton blindé de la 3ém Compagnie du Mitgard, lors de la purge de Valhall

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Jour 32

Nous avons pris position dans les anciennes tranchées ennemies, apparemment nos bombardements massifs avaient porté leurs fruits car les dégâts sur les fortifications étaient impressionnants et nos ennemis avaient bien souvent abandonnés leurs armes lourdes et munitions.

Nous avons réparé sommairement les abris en attendant l'arrivée du Génie. De toute façon, nous ne devrions pas rester ici très longtemps : les officiers disent que nous allons effectuer une percée motorisée plus au sud

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Jour 34

Nous avons commencé la percée, comme prévu le coin attaquai été peu défendu et seul une chimère et un Leman furent immobilisé ou détruit. Le reste du peloton (une demi-douzaine de transport et trois tank escorteur) a continué sur sa lancée. Nous avons progressé jusqu'à 30 km en territoire ennemi sans rencontrer aucune résistance.

Enfin, nous sommes tombés sur l'objectif : un bunker de commandement. Après un âpre combat qui nous coûta un tank et quelques hommes dont Jonhson, Jaker et se pauvre Damian, dont c’était la première campagne. Nous réussîmes à prendre la fortification ennemie en faisant une dizaine de prisonniers et, parmi eux, un capitaine et un commandant.

Les officiers nous ordonnèrent de nous mettre en positions pour résister aux contres-attaques ennemies. Je suis chargé, avec mon escouade, de protéger le flanc droit.

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Jour 36

Nous résistons depuis 2 jours aux attaques incessantes de l'ennemi. Le premier jour, nos armes et nos chars les ont tenus en respect, et seul quelques morts furent à déplorer dans nos rangs dont aucun de mon escouade, qui n'avait pourtant pas chômé. Mais le deuxième jour, le poids du nombre et l'épuisement eurent peu à peu raison de notre résistance : les 2 Lemans restants furent détruit ainsi que quatre chimères. Nous n'étions plus qu’une vingtaine et le lieutenant avait périt en défendant la barricade Est ; son sacrifice permit de repousser les assaillants. Que l'Empereur l'accueille à sa droite. En plus, les prisonniers ont tenté de s'échapper et ils ont tué six gardes avant que nous puissions les abattre.

Je suis devenu artilleur du Bolter lourd, par défaut car nous ne sommes plus que 3 hommes dans l'escouade plus le sergent, nos munitions viennent à manquer : nous n’avons pas le temps de recharger nos chargeurs et nous sommes réduits à prendre ceux de nos compagnons défunt. Les munitions de l’arme lourde sont plus problématique : Will, mon servant (par défaut lui aussi) m’a indiqué qu’il ne nous restai qu’un seul et unique chargeur.

On nous a promit que les renforts arriverait rapidement mais je crains qu'il ne seront pas assez rapide.

Jour 37

Nous sommes sauvés !

Profitant des faveurs de la nuit, les Troupes de Choc du 20ème Mitgard se sont parachutés sur notre position : vers 03H30, le vrombissement des transporteur aériens se fit entendre tout de suite suivit par de formidable explosions de bombardement de couverture, heureusement pour nous, très précis. Moins de cinq minutes après la fin du pilonnage, un cri, une délivrance se fit entendre : « Pour Mitgard et pour l’Empereur » ; puis, un groupe de 6 hommes, portants le signe de l’armée Impériale du Mitgard, notre armée, apparurent, suivit bientôt par tout un pelotons. Au total, une trentaine d’hommes vinrent se rajouter à notre position. Leur arrivée nous rendit espoir, car en plus d’un appui humain, ils apportaient avec eux munitions, vivres et surtout une très bonne nouvelle : les renforts, tout un bataillon, serait ici au levé du jour. Notre percée, conjuguée à d’autres opérations similaires, avaient totalement désorganisé les défenses ennemis et les forces adverses s’était repliées ou plutôt avaient fui pris de panique comme pouvaient le témoigner plusieurs centaines d’ennemis qui s’été rendus aux force de l’Empereur.

En effet, aucun combat, sinon lointain se firent entendre jusqu’à l’arrivée, vers midi, du peloton du sergent Willos. Peu après, le Colonel Surtr vint lui-même nous féliciter. Il remit à tous les survivant de l’escouade la croix du courage. Les hommes tombés reçurent, à titre posthume, l’étoile du sacrifice en signe de le bravoure et de leur dévouement au combat. Comble de l’honneur, les officier supérieur décidèrent de baptiser ce lieu au nom du peloton : Côte 331/6A, point 23ème Mitgard 3.

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Jour 40

Notre pelotons et enfin reconstitué, la plupart des jeunes qui n’ont même pas encore de poils au menton. Au vue de ma brillante situation au point 23ème Mitg.3, je suis devenue officiellement Servant Mitrailleur du Bolter lourd de l’escouade, et ce brave Will est devenu mon servant attitré.

Sitôt revenu à effectif complet, nous sommes repartis au combat. Cette fois-ci, nous étions les renforts pour le siège d’une citée ruche : la cité Dura. Nos forces rencontraient, paraît-il, une résistance féroce dans les bas-fond et vers la haute-ruche. C’est vers cette dernière que nous étions dirigé.

Le voyage vers la ville ne prit que 5 heures ; il fut relativement calme et rapide car les autoroutes étaient pratiquement intact et l’aviation ennemi pratiquement réduite au silence.

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Jour 42

Les combats pour la haute-ruche sont très violent : chaque immeuble, chaque rue, chaque pièce est un combat acharné. L’ennemi ne lâche rien et même près à se sacrifier pour quelque mètre de béton.

Will a été tué lors d’un accrochage ; je lui doit sans doute la vie car c’est son corps qui à reçu les éclats de la grenade tout en protégeant le miens. Je dois maintenant me débrouiller pratiquement seul pour utiliser l’arme lourde tant son remplaçant est un incapable.

Chose étrange, l’ennemi n’est pas mené par des sous-off. comme nous, mais par des sortes de religieux qui, bien qu’ayant l’air âgé et frêle, sont en faite de véritables fléaux : ils ne battent jamais en retraites et combattent très, trop, bien au corps à corps. Leurs énormes lames circulaires, ressemblant à des scies gigantesque semblent traverser toutes les protections possibles ; même les armures des troupes de choc paraissent faible fassent à ces monstres. L’un d’eux à pratiquement annihilé une escouade entière à lui seul. Seul le servant de l’arme lourde a pu s’en sortir grâce à un tir chanceux.

Jour 44

Je suis blessé, une autre sorte de combattant inconnu nous a attaqué : ces hommes sont lourdement protéger et sans armes, ils nous foncent dessus sans se soucier des tirs et des pertes. Au dernier moment, ils déclenchent leurs charges de démolitions dont ils sont bardés. Cette stratégie suicide peu paraître insensé, mais là où ils perdent cinq hommes lors d’une charge, le survivant anéantit l’escouade entière. Le seul moyen de les arrêter semble être un tir soutenu d’arme lourde, le bolter traverse apparemment aisément leurs armures. Bine évidemment, cet idiot de Hucker, remplacent de Wiss, n’a rien trouvé de mieux que d’enrayer mon arme en la rechargeant avec du 28.7 au lieu du 28.2. Et ceux au moment même où 6 « explosifs-sur-pattes » chargeaient sur notre position.

Un fois de plus, ma vie a été sauvegardée par le sacrifice d’une autre : le jeune sergent Anar se trouvait entre moi et l’explosion ; et, contrairement à lui, je ne suis que blessé.

Jour 45

J’ai été ramené à l’arrière. De là-bas, j’ai pu voir l’anéantissement final de l’ennemi : les vaisseaux de la Flottes ont bombardé la ruche jusqu’à ce qu’elle ne soit plus qu’un tas de ruine. Nos forces avaient enfin réussit à atteindre le générateur du bouclier de protection de cette foutu ruche.

Enfin, la guerre est pratiquement terminé : avec la chute de cette cité, qui été le principale centre religieux et politique de l’ennemi, les forces adverses sont démoralisées et désorganisées. La victoire n’est plus qu’une question de semaines dit-on maintenant.

J’ai appris que j’allais recevoir la médaille pourpre et que le me donnait une permission de 6 semaines pour aller voir ma famille.

Je suis heureux : j’ai rempli mon devoir envers l’Empereur : le déviant a été balayé et l’honneur du Mitgard est grandit grâce à nous.

Je sui heureux, je vais revoir ma famille, mon village. Je suis un vétéran, je suis victorieux, ils pourront être fier de moi.

Note : Journal trouvé sous le lit d’hôpital du soldat Hémérian après le décès de celui-ci, suite à ses blessures. Après examen, sa dépouille et ses effets personnels furent renvoyés à sa famille avec les honneur militaires standard.