Le Grimoire d'Angelin

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Bon alors là, je vous averti j'ai des tonnes de texte. J'avais écrit le début d'un roman mais mon fichier à buguer et j el'ai perdu. Heureusement je l'avais imprimé et je suis en train de le recopier. J'espère que ca vous plaira. Voilà une petite mise en bouche. Je mettrais la suite au fil d emon avancement.


Chapitre Premier : Les nomades.


Le soleil au dessus de la vallée illumine les contrées du Vieux Monde, il inon de de lumière les plaines de l’ouest. Le vent du sud fait trembler le feuillage des arbres, il souffle très fort aujourd’hui.

Sur la colline est dressé une tente verte en peau d’Orque. Quatre piquets solidement plantés dans le sol permettent à l’armature de résister aux intempéries. La peau d’Orque est très dure et la tente à beau être placée en hauteur, sur une colline, le vent s’écrase dessus comme il le ferait contre un mur de pierre.

Un vieil homme est avachi à l’interrieur de celle-ci, replié sur lui-même.

C’est un sorcier, on peu facilement le deviner en portant son attention sur les nombreuses bagues Elfiques qu’il porte aux doigts de sa main gauche. Il est vêtu d’un épais manteau vert kaki et d’une longue cape grise. Sa longue barbe blanche ébouriffée lui donne un air farfelu, mais n’importe quel être vivant dans le Vieux Monde sait que l’on ne juge pas un sorcier au vu de son apparence.

Les yeux plissés, un sorcier peut jeter des éclairs comme l apluie tombe du ciel. On ne dérange pas un sorcier sous peine de le fâcher, et de voir alors les vents magiques déferler autour de soi.

Le vieux sorcier tient un livre dont la couverture de cuir rouge sang est craquelée. C’est un vieux livre qu’il possède depuis de nombreuses années. Il tourne les pages lentement et marmonne quelques mots incompréhensible à l’intérieur de sa barbe. C’est un livre de magie blanche. Le sorcier apprends un énième sort de soin majeur, il reste très concentré dans sa lecture mais soudain quelqu’un, dehors, l’appelle :

« -Gulmani ! Gulmani ! Un chariot se dirige dans notre direction, ce sont des Hauts Elfes.

A l’appel de son nom, Gulmani sort la tête de son vieux grimoire et se frotte la barbe d’un air interrogateur, puis il referme le livre et prends bien soin de ne pas le laisser trop prêt de la bougie qui se consume petit à petit.

Il déplie sa maigre carcasse au dehors de la tente et le soleil lui brûle soudain les yeux. Gulmani venait de passer la nuit entière à lire des formules magiques et autres incantations. Il se penche et saisit son long chapeau pointu qu’il positionne sur sa tête.

En bas Gulmani aperçoit le chariot qui gravit doucement la colline. Deux silhouettes montent des coursiers Elfiques, ils se tiennent près de la charrette, elle-même tirée par quatre chevaux. Elle avance lentement à travers champ pour finalement s’arrêter devant le vieux sorcier humain.

Le compagnon du vieux sorcier est caché derrière un buisson de fougère attendant de voir ce qui pourrait se passer.

Dans le temps, les Elfes n’auraient pas attendu une seule seconde avant de sortir les épées de leurs fourreaux. En 1480, Humains et Elfes se livrèrent une guerre sans merci. Loin d’être une guerre raciale, les Elfes méprisaient les hommes pour leur ignorance et leur mesquinerie. L’Empereur Sigmar avait comme ambition d’apprendre les significations des runes Elfiques. De 1468 à 1479, l’alliance des deux peuple fut totale jusqu’au jour ou Sigmar voulu connaître davantage sur les secrets de fabrication des runes afin d emieu servir et protéger son peuple. Un secret conservé fièrement depuis des décennies par le peuple Elfique et le peuple Nain.

Les Seigneurs Elfes furent révoltés et ils coupèrent court aux agissements de leurs loyaux sujets avec les hommes. Suite à ces évènement, Les Elfes et les hommes furent ainsi divisé et bientôt une guerre éclata malgré les pourparlés. Sigmar du en recourir aux armes pour défendre son peuple. Des centaines et des milliers de gens trouvèrent la mort pour une simple mésentante.

Une guerre inutile qui fait aujourd’hui parti du passé.

Plus tard, les deux peuples se rendirent compte de leur erreur et les relations reprirent. Un pacte de paix fut sceller entre Sigmar et le seigneur Haut Elfe. Depuis ce temps là, la seule activité qui unie les deux peuple est le commerce.

La charrette s’arrête près du campement du sorcier. Les deux Hauts Elfes qui montent les chevaux sont vêtu de longues tuniques blanche et bleue prouvant leur appartenance à la milice royale de leur royaume, l’Ulthuan. Ils paraissent étonnés à la vue d’un sorcier humain sur les terres du royaume Elfique, cela est si rare…

Le plus jeune s’avance vers le vieil homme pour lui parler.

-Mon brave, que peut bien faire un sorcier de ta race en ces lieux ? interoge t-il.

Gulmani retire sa coiffe en signe de respect avant de répondre au jeune Elfe.

-Je ne suis que d epassage, entonne t-il.

-D’où viens tu vieil homme, reprends le jeune Elfe.

A cet instant Gulmani parait un peu gêné, il lève son doigt qu’il pointe en direction du sud.

-J’étais à Goudhéan, sur la terre de vos ancien, malheureusement la vie n’y est plus aussi présente qu’auparavant…

-Nous sommes au courrant…Les terres du sud ont étés envahies il y a quelques temps, nous ne pouvons plus rien y faire pour le moment, dit l’Elfe baissant la tête avant de saisir les rennes de sa monture. Maintenant qu’il sait que le sorcier revient de la terre des anciens, l’Elfe se doute bien que le vieil homme n’est pas seulement un sorcier mais qu’il est aussi un sage.

Il décide de quitter celui-ci et de reprendre sa route…

Il lève le bras et fait signe aux conducteurs de la charrette qu’ils peuvent continuer. Celle-ci commence à rouler et va maintenant attaquer la pente raide de la colline…

Le jeune Elfe adresse un dernier regard au sorcier puis il s’éclipse et rejoint ses compagnons de route sur le versant de la colline.

Le sorcier remet sa coiffe sur sa tête et regarde la charrette s’éloigner de l’autre coté de la colline. Le buisson à quelques mètres de lui se met à bouger.


Ma foi, c'est un bon prélude. Si tu as envies de taper la suite et de corriger les quelques fautes d'orthographe, je la lirais avec plaisir.

++ Gandahar ++