Mort d'un Champion

29 réponses, 6046 vues


LA MORT

Une douleur lancinante me paralyse le dos. Je suis couché sur le ventre, le visage écrasé sur le marbre de ce satané mausolée en ruine. Cette fois ci ma fidèle armure a rendu l’âme. C’est terminé. Hyssscha es tu là ?

« Oui, mon Maître… »

Je te fais confiance, tu sauras bien sortir toute seule de ce merdier. Protèges le grimoire.

« Bien, mon Maître… »

Cet horrible goût dans la bouche. Infecte… Frère Thésorus, le bannis, aurait été heureux de le goûter. Ce sombre crétin a sans doute fini carbonisé par ces folles vengeresses.

Je dois avoir la rate et le foie explosés. Ma colonne est brisée. Ma vie s’en va.

Tant mieux.

Toute cette lamentable guerre n’aura été qu’une sinistre farce. Quelle ironie… je me revois encore avec Fiolan-Vie, lui expliquant longuement que le rire nous défini en tant qu’êtres conscients, bien plus que la douce caresse qu’elle m’envoyait alors en pensée. Je la ressent encore, quels fantastiques pouvoirs tu avais alors, ma fille...

Une sinistre farce, une enfant de quatre ans accusée de sorcellerie…

J’avais vécu de paisibles jours jusque là avec ta mère, sur notre monde natal, tu sais… Elle me manque terriblement, elle aurait dû fuir avec moi dans la Faille et ne pas espérer une hypothétique capture par ces fous d’esclaves-loup. Le fol espoir de te retrouver était vain.

Notre fille est morte mon amour, la rejoindre les armes à la main n’était pas une solution.

Quelle folie m’a pris alors de vous abandonner. Quelle folie… Je croyais tellement en Magnus.

Quelle utopie je me faisais alors de la vie et de notre foi envers l’humain.

L’homme est faible et fragile, son essence est mauvaise par définition.

Les voilà qui arrivent. Ces putains ecclésiastiques ne valent rien au combat. J’aurais dû détruire ce temple et la compagnie blindée qui le protégeait.

Et puis non...

Servir encore ces sinistres abrutis qui me commandent depuis si longtemps sur une quelconque orgie de destruction, de souffrance et de sang ? tellement imbus d’eux-mêmes qu’ils ne sentent même plus les puissances infernales nous diriger telles de vulgaires marionnettes ?

La voilà notre destinée ? Quel gâchis. Quel formidable gâchis…

Comme nous avons changés… Nous aimions tellement la vie… Avant…

Que sommes nous donc devenus ?

Un fuseur sur ma tempe.

« Adieu, mon Maître »

Adieu mon amie, il est temps pour toi de trouver un nouveau Porteur.

Hyssscha el’khainsssa tsu amonwyr’ra, je te libère sur l’éternité.

Quant à toi, fidèle compagne depuis tant d’années , et avant que de ta faux tu ne me fasse payer chèrement ces terribles décennies de honte, laisses moi voir une dernière fois le visage riant de ma fille…

Mille pardons Révérente Mère, une jeune apprentie un peu trop zélée vient de pulvériser le corps d’Antargos le Méta-Démoniaque, champion de la première compagnie d’Hariman.

La petite esservellée neuropate ! fille de rien ! elle sera châtiée !


Quels artefacts possédait-il ?


Sa lance démon et son célèbre recueil de magie ont mystérieusement disparus avec trois de nos sœurs... Nous n’avons rien trouvé d’autre, Révérente Mère, si ce n’est cette curieuse poupée cousue à même son thorax.

Du satanisme, de toute évidence, j’ai lu quelque chose là dessus il y a fort longtemps - de très anciens textes de Terra - une magie nécromancienne il me semble liée à un animal mythique: le bœuf doux je crois.


Envoyez tout de suite cette idole à la Révérente-Investigatrice-Nécrarque Sœur Nidan.


Par l’utérus vierge de la Sainte Sœur Maran Gor, puisse le Divine Empereur nous protéger de tels dégénérés de la vie…


(Modification du message : 27-02-2004, 22:59 par TéOTep.)

Ma foi, c'est pas mal. Pas évident à suivre par endroits, mais c'est bien écrit et agréable à lire. As-tu écrit ce qui se passe avant, car là c'est un épilogue, non ?

++ Gandahar ++


ouai c'est super! une suite une suite!!!(--> enfin je veux dire l'histoire d'avant l'histoire, puis l'histoire d'apres l'histoire....enfin bon du moment que je me comprend! lol)

en tout cas moi j'appreçie, c'est bien ecrit et fluide!

bon jdoi aller manger!

a+

ben-j,


non, non. J'ai écrit ça comme ça.

J'avais pour une fois un temps mort dans la course poursuite de mes journées.

J'ai masteurisé pendant une vingtaine d'années, et je dois dire qu'écrire ce petit bout de mort m'a redonné vie...

Un petit bisou à ma chère et tendre qui a eu le courage de me relire (je me suis arrêté sur le titre) et qui m'a corrigé une demi douzaine de fautes.

Abaddon protège l'âme de ses champions.

(celui là s'en passerait, mais bon...)


Très très sympa, ça m écorche les griffes de devoir écrire ceci, mais aaaaarrrrghhh....... c’est vraiment pas mal, chapeau.... Pour une fois que tu dis quelque chose sans ... enfin ces mots imagés

qui te sont propres ....

A+

(Modification du message : 15-01-2004, 23:00 par Néokhaine.)

Citation :[...]ou les 30 minutes Pouêtique de TéOTep
Alors comme ça, Môssieur veut poêter plus haut que les autres ! ^^_


Citation :Alors comme ça, Môssieur veut poêter plus haut que les autres ! ^^_
si on ne prend pas en compte que tous les posts de Téotep sont tjrs un minimum poétiques. Au point ou il faut parfois déchiffrer, c'est bien, ca apprend des mots au djeunz


LA SEPARATION

La Flèche-Marion était renommée dans tout l’univers. Haute de plus de 500 mètres, cette magnifique tour de verre représentait le symbole cristallin de la beauté calme et tranquille de Prospero. Ils s’étaient abrités sous un Jügernault, non loin de là, un de ces arbres millénaires au doux parfum de vanille. Quelques uns de ces arbres ancestraux bordaient encore l’allée de l’Empereur, où un nombre considérable de superbes fontaines servaient de refuge aux nombreux volatiles irisés de toute la région.

Sous la protection des frondaisons elle pleurait toutes les larmes de son maigre corps, serrant convulsivement la poupée de sa fille. La souffrance était souvent bonne compagne lors de missions télépathiques intenses, car le don de Fiolan-Douce était hors du commun et lui permettait sans aucun effort de ressentir la plupart des sensations physiologiques de ses confrères télépathes. Elle était une magicienne éveillée très tôt aux sciences de la compassion ; son ordre résidait au temple de Voria, près de l’astroport.

Antargos était désespéré lui aussi, mais il appartenait à la seconde compagnie des Mille Fils, et un Champion Space Marine ne pleurait pas. Il était de plus mal à l’aise, de faibles bruits se faisaient entendre au delà du couvert des quelques nuages, et il ne recevait toujours pas la transmission satellite promise par son capitaine. Quelquechose ne tournait pas rond. Si Fiolan-Douce n’était pas dans cet état il aurait été plus à même d’analyser cette étrange situation, mais il devait parer au plus pressé et réconforter sa jeune épouse. Il partirait ensuite rapidement à la caserne.

« Ne pleure pas Fiolan, nous la retrouverons. Les sinistres crétins de cette commission d’enquête n’iront pas bien loin : le Seigneur Magnus contrôle les voyages intersidéraux. L’Empereur lui même ne peut être au courant d’une telle ignominie. Qu’ils aient arrêté la centaine de fichus imbéciles qui ne respectaient pas les arcanes édictées par Magnus, soit, mais tous ces enfants ! Ils n’étaient pas préparés aux batteries de tests qu’ils ont subits - non – ils étaient trop sensibles…

Ce que je ne comprends pas, c’est l’absence de notre Seigneur depuis une bonne semaine. Il aurait dû se manifester, je pressens un danger considérable pour notre nation. M’est avis que notre Thaumaturge est plongé dans l’étude de ce que plusieurs d’entre nous ressentent déjà comme l’avènement du mal absolu.

Le Capitaine Tyréon nous a assuré que la Compagnie ne nous laisserait pas tomber. Calme toi. Nous aurons dans très peu de temps les coordonnées de destination du vaisseau impérial. Avec l’aide des pirates de Varax nous organiserons une expédition de secours soutenue par le vieux croiseur de classe Victoire Béhémoth III, que tu connais si bien. Nous les sauverons ma chérie, nous n’avons pas l’habitude sur Prospero de laisser des civils dans le désespoir »

« J’ai si peur Antargos, Fiolan-Vie n’a que quatre ans et doit être terrorisée. Frère Thésorus me disait qu’elle avait été complètement tétanisée sous l’avalanche de coups et d’insultes du commissaire Cantior. Elle ne cessait de pleurer, implorant son pardon, et ne pensait pas avoir mal agit »

« Le Mahatman Déï nous enseigne que la vengeance n’est pas une finalité en soi mon amour. Le désespoir, l’amertume, la peur et la douleur, efface tout ça de ton être et concentre toi sur le bien fondé de notre œuvre, tu es un élément de notre Fondation-Gaïa, fait confiance aux pouvoirs de Magnus et à la protection des Mille Fils. Donne moi son ninine, je le lui rendrais la semaine prochaine quand j’irai la chercher. Viens, il est t… »

Le sol fut secoué d’un terrible spasme, déséquilibrant le jeune couple. Devant leur visage ébahit une douleur fulgurante paralysa Fiolan, qui se tordit sur le tapis de mousse en hurlant. Une immense explosion ébranla la cité, déchirant d’un bruit effrayant l’air et le ciel.

« Le générateur de Champ et l’astroport, murmura Antargos. La chaîne va tomber, notre citée n’est plus protégée. Regarde Fiolan ! ces boules orangées dans le ciel, c’est un bombardement orbital ! ».

Une fantastique gerbe de cristal éclata à mi-hauteur de la Flèche-Marion, irisant la cité d’un millier de teintes colorées. La tour tressauta un instant, puis dans un soudain silence la partie supérieure s’affaissa lentement vers les jardins. Le temps s’était arrêté, les quelques passants qui n’étaient pas pris d’une panique incontrôlable restaient hébétés, ne comprenant pas la menace : cet instant de destruction sorti de nulle part.

Le choc des poutres de plasta-cristal sur les marbres et les bâtiments des jardins fut effroyable. Un grondement sourd pris peu à peu de l’ampleur, déchirant les oreilles de chacun. Un immense nuage de poussière s’éleva dans le ciel et sur la citée, cachant les deux soleils derrière un voile gris sombre.

La ville était sous un déluge de feux, ça et là des bâtiments explosaient dans un immense fracas. Les gens pris de panique hurlaient et couraient en tout sens. Une alarme générale retentit dans toute la cité, signalant à la population une évacuation immédiate.

« Je ne connais pas nos nouveaux ennemis mais ils n’ont sûrement pas pu attaquer toute nos bases en même temps, il faudrait une armée considérable pour cela, ou au moins la flotte d’un chapitre entier. Il est temps pour moi de servir l’Empereur : adieu mon amour, puisse Magnus nous protéger tous »

L’âme du guerrier avait repris le dessus. Le jeune visage si riant d’Antargos était désormais un masque froid et pâle sans expressions. Antargos était conditionné : seul le combat importait à présent, son appréhension, son analyse et la victoire évidente qui en découlerait. Il ne remarqua pas non plus la même expression sur le visage de Fiolan. Arc-boutée, une main au sol, le visage tuméfié par la douleur intense de la perte des siens, elle « recevait ».

De sa petite bouche sortit à ce moment un son uniforme et grave, trahissant en cela un ordre de toute première importance :

« Tous les magiciens de Classe IV doivent impérativement se retrouver aux Marteaux d’Anmar, protection et évacuation de la population. Cet ordre surpasse tout commandement direct lié aux sorciers-guerriers du chapitre. »

Antargos embrassa la joue de son aimée. Leur regard fut intense et dans le vacarme assourdissant d’une citée à l’agonie un sourire apparu sur leurs lèvres. Pas de mots. Pas de gestes inutiles. L’amour n’a pas de corps ni d’essence matérielle, la séparation est donc triviale car elle n’existe pas, elle n’est que pure chimère de l’esprit.

Antargos se téléporta rapidement, les Marteaux étant un lieu hautement visibles dans les brumes de l'Ether. Mais que pouvait donc bien vouloir son Seigneur ? Ses confrères et lui étaient des spécialistes du combat rapproché, certes sa section travaillait depuis peu sur un nouveau concept de mutations lié à l’Empyréan, mais ce dernier était encore loin d’être au point. Il était regrettable de se priver de tels guerriers sur le champ de bataille : ils étaient notamment des spécialistes du vampirisme, leurs gros potentiel énergétique étant alors mis fortement à contribution. Antargos chassa ces idées de son esprit : un esprit clair et totalement dévoué à son maître était son unique préoccupation dans l’instant. Il déchira le voile.

Ce qu’il vit le sidéra alors: trois immenses vaisseaux de transport de type Brebius encadraient les Marteaux d’Anmar.

« Il n’y aura pas de combats », pensa le guerrier, « nous fuyons ». Une colonne immense de citadins terrorisés ou hagards s’engouffrait par les immenses rampes d’accès des vaisseaux. Peu de soldats les encadraient, on entendait pourtant le bruit de détonations non loin. Des troupes d’assaut arrivaient pour la curée, à n’en pas douter.

Quelques brides de conversations lui arrivèrent de la foule non loin de là:

« L’astroport est détruit, la ville va tomber » « Le seigneur Magnus est mort, que l’empereur nous protège… » « Sibil-Vie où est tu ?, par les dieux d’Anmar ! Sibil-Vie ? » « Le Crack de Tabor a été anéanti par les bombardements, leur bouclier n’a pas résisté » « Le générateur principal a été détruit par des agents infiltrés, la planète est perdue »

« As-tu une idée de notre destination ? »

C’était Mikaëlios, comme à l’accoutumé d’un calme surprenant. Un soldat d’élite précieux, Antargos avait une totale confiance en lui. Une cinquantaine de Fils de Magnus l’accompagnaient, de nombreux frère d’armes de sa compagnie, compagnons d’infortunes dans de nombreux périples ; comme ÏosOtep plongée comme toujours dans son grimoire, où le jeune TéOTep faisant le pitre une fois de plus.

« Nous allons là » Antargos leva le doigt au ciel vers une étrange formation gazeuse mauve et multicolore, difficile à distinguer dans la fumée et le couvert des nuages. Sur une première estimation visuelle, elle devait se trouver assez proche de l’orbite de la planète. Deux vaisseaux s’y dirigeaient déjà.

« Magnus nous protège, restons sereins, nous le retrouverons dans peu de temps »

« WOUWOHOOOOOOOOOOOOO ! »

« Ils arrivent !, les démons-loups arrivent ! »

La panique gagna la foule terrorisée, submergeant les rares soldats qui tentaient désespérément de réguler les colonnes de fuyards, dans la fumée âcre et épaisse qui gagnait peu à peu maintenant l’immense place.

« RUSS ! RUSS ! RUSS ! »

« WOUWOHOOOOOOOOOOOOO ! »

Antargos avait facilement repéré ses ennemies débarqués non loin de là. Des fils de Russ, aussi subtils qu’un troupeau de cératodons, des adversaires coriaces et stupides, dangereux dans une situation aussi critique. Il fallait absolument protéger les vaisseaux.

Le désespoir ne l’avait pas gagner. Il ne devait pas se poser de questions : il avait une noble mission et il était un fier Space Marine. Le fait inimaginable que les loups de l’Empereur viennent détruire Prospero et s’en prennent à la légion la plus loyale de l’Empire ne l’anéantit pas : l’instant du combat, l’enivrement du guerrier le gagnait. Quand la peur laisse place à la détermination, quand la folie prend le pas sur la raison. Ces yeux se recouvrirent d’un fin voile noir de jais, et de ses mains jaillirent des éclairs multicolores, ionisant à souhait l’air ambiant saturé d’ozone. Il était transcendé.

« Venez à moi, guerriers des glaces, les sorciers vous attendent… »

Le bruit sec d’une nuque qui se brise ; Ce prêtre loup avait bien failli l’abattre, ce champion aurait mérité les honneurs dignes des plus grands guerriers. Antargos était couvert de sang, et dans un état de fatigue absolu. L’air était devenu irrespirable. Trois interminables heures de lutte, de cris et de souffrance. Les pertes avaient été très lourdes, mais la mission était effectuée. Une angoisse indescriptible l’avait envahi depuis une bonne heure, il ne sentait plus Fiolan-Douce.

La magnifique Capitale de Prospero n’existait plus. Le ciel était maintenant noir, la fumée et la poussière étaient partout. Les superbes tours tant renommées de part le monde pour la finesse de leur architecture étaient à terre, laissant la place à un champ de ruines et ses millions de morts.

La seconde Compagnie tenait toujours bon, mais l’ennemie cesserait bientôt ses attaques pour passer à des bombardements planétaires de première importance. De toute façon il n’y avait plus d’objectif.

Frère TéOTep s’approcha d’Antargos, son ami d’enfance ne le taquinait plus depuis déjà bien longtemps, il vint cependant vers lui avec un sourire forcé qui ne lui ressemblait pas. Le Champion Antargos fit pour la première fois de sa vie connaissance avec le désespoir. Fiolan-Douce n’était plus.

« C’est le dernier vaisseau, Antargos, il nous faut quitter les lieux. Tu t’es remarquablement battu mon ami, et j’ai une bien mauvaise nouvelle à te donner pour toute récompense :

Fiolan-Douce est morte, ainsi que les dernières Sœurs qui manifestaient à la station des Médias. Elles ont tenté en vain de raisonner le QG de Russ en demandant une clémence pour la population. Je ne te mentirais pas : le bâtiment a été pulvérisé aux nano-acides, leur mort a été lente et pénible. Elle n’aura sûrement pas voulu te faire souffrir par des adieux difficiles.

Doucement mon ami… Tiens toi à moi… Je sais que tu souffres…Ne pleure pas. Reste droit, tes hommes te regardent et tu seras bientôt leur chef.

Nous apprendrons la vengeance, mon ami, nous apprendrons la haine aussi. Tout ce qui pourra accroître notre savoir augmentera notre puissance. Nous défierons ensemble les dieux-Sorciers de l’univers et nous leur volerons leurs secrets. Nous anéantirons la puissance impériale, l’Empire et ses alliés, tout ce qu’ils représentent.

Maudit soit leur souverain, ce mauvais Empereur…

Maudit soit le faux Empereur… »

(Modification du message : 27-02-2004, 23:01 par TéOTep.)

pas mal , meme tres bien

mais les spaces wolfs sont teleportophobes alors ..... ils sont teleportobes voila ^^

sinon c est tout bien ecrit et tres vivant

voila a+ draz


Aie!, tu me dis quoi ?, tel le Baraccuda moyen de l'ATR nos chers SW seraient étanches à la téléportation ?, ben je le savais pas...

Je corrige.

(Modification du message : 26-02-2004, 00:29 par TéOTep.)