[CCCP] le nain airainement membré balance son gant à la fausse sceptique

[la queue en airain]

Je m'autorebondis sur mon bidon rebondi pour en finir avec les tizes. Je t’attends, sale rat !

Une photo de famille :


Et Azog imesselfe avec la petite souris qui va venir récolter les ratiches de mon adversaire :


Et on ne le rappellera jamais assez, ya tout un flouffe pour aller avec tout ça, de sombre histoires d'HeroQuest avec des kommandos orcs comme héros en queste :
https://warmania.com/forum/showthread.ph...#pid122349

Chop ! Chop ! Fait la grande hache à deux mains d'Azog en rencontrant opportunément les cous ou membres des gardes du Comte d'Ostermark (pas que Ostermark signifie quoi que ce soit dans l'esprit chafouin de notre géant d'émeraude, d'ailleurs). A grands coups de cognée, le big'un débite ses adversaires oomies et avance dans le couloir du château.
Chop ! Chop ! Ting ! Parce que quand on est particulièrement gros, avec des bras démesurés et qu'on brandit un couperet de la taille d'une francisque avec une tête disproportionnée et piquée d'extensions acérée dans un couloir fait pour des oomies, forcément, on racle les murs.
"Gork !" jure le barbare vert aux yeux étincelants de colère sous sa crinière noire (enfin la crinière d'Attila, feu son premier squig de combat dont Azog porte la pelisse sur les épaules). Assortissant son juron d'un mollard sur le dernier cadavre de garde tombant à ses pieds, notre héros jette un regard noir à sa fidèle hache qui présente une nouvelle encoche. A force l’abîmer dans des sous-terrains douteux, il va encore devoir la réparer et clouer dessus un nouveau croc de métal pour remplacer son tranchant émoussé et endommagé.

Dans les sous-sols de Château Hertwig, l'atmosphère était dantesque cette nuit là. L'air lourd d'humidité et de l'odeur métallique du sang, la lumière chancelante des torches qui s'éteignent dans la violence, l'espace confiné qui empêche les hommes de se mouvoir correctement... Et par dessus tout ça, une terreur qui hante les couloirs : des cris de peur abjecte qui retentissent, d'horribles bruits de craquements et de déchirement... une clameur suivie d'un silence pesant.
Les gardes d'élite du comte n'en mènent pas large. Leurs yeux écarquillés et leur souffle court trahissent l'effroi qui les étreint. Quelque chose est rentré par les culs de basse fosse sous le castel. Et ce quelque chose rode et massacre ce qu'il croise. Les cadavres incomplets et le sang qui a giclé jusqu'au plafond en sont les témoins muets.

Detlef est un vétéran de maintes guerres, il a affronté des peaux vertes, des ogres, des kislevites, de vils traîtres à la solde du chaos et leurs bêtes infâmes. Mais aujourd'hui, c'est différent. Devant lui, Eckart brandit sa lanterne d'une main tremblante. Lui aussi craint l'inconnu qui les attend. Mais courageusement -ou follement- ils fouillent les caves, l'arme à la main.
Soudain, un grattement puis un claquement, qui se répètent très vite. Devant eux. De l'autre côté du coude du couloir. Le bruit débaroule à toute allure dans leur direction. Derrière son camarade, Detlef ne voit rien mais le son résonne entre les murs de pierre et arrive sur eux. D'un coup, Eckart disparait, tiré vers le bas dans un barouf de lacération et de gargouillis immondes. La lumièrer choit et s'éteint.
Fondu au noir en un éclat de vagissements de douleurs.
Silence dans l'obscurité...
Quelques grognements sourds et un chambard de mastication.
Les grattements reprennent et disparaissent au loin.

le squat
et on n'oubliera pas l'anus rose de ce pauvre squig qui mange des saloperies