Le fluff d'introduction plus générique pour Alter-Mundus:
Le Portail de Rochebaron
Lors d’une expédition archéologique menée dans le Velay par la corporation Lance-Fer, les chercheurs ont investi les catacombes inexplorées du château de Rochebaron.
alors qu’ils menaient les dernières fouilles avant leur départ, ils sont tombés sur une structure ressemblant à un gigantesque anneau de pierre avec un petit escalier y menant.
Cette découverte les intrigua beaucoup et ils la reportèrent à M. Dagrue, patron de la corporation. Rien dans l’histoire de Rochebaron n’évoquait un tel artefact.
Celui-ci sentit tout de suite qu’il y avait quelque chose de paranormal dans cet anneau et il fit venir avec lui un groupe de paramilitaires, d’aventuriers et d’experts en surnaturel. Ces derniers ont de sitôt commencé à analyser l’anneau. Après de complexes recherches sur les inscriptions écrites sur une stèle à côté, une IA a pu déterminer qu’il s’agissait d’un portail spatio-temporel. Les scientifiques avaient même trouvé comment l’activer grâce à la stèle.
M. Dagrue décida alors de faire s’ouvrir le portail par les scientifiques et l’équipe d’explorateurs se prépara à le franchir. Un maelstrom de couleurs bleutées et lumineuses emplit le portail et l’on ne pouvait voir à travers ce qu’il y avait de l’autre côté. L’officier accompagnant M. Dagrue ordonna alors à deux paramilitaires de franchir cette brume confuse de lumière chatoyante. Les deux soldats hésitèrent, puis firent le premier pas à travers le portail. Rien de spécial ne se produisit alors ils osèrent pénétrer tout entier dans celui-ci.
Les deux paramilitaires réapparurent alors une minute après pour leur dire que tout allait, mais qu’ils allaient être surpris par leur découverte. Tout semblait hors de danger selon eux. Ils dirent qu’ils partaient en reconnaissance et suggérèrent aux autres d’attendre un peu avant de traverser pour s’assurer que tout soit sécurisé. Jean acquiesça et leur dit de faire signe quand tout serait bon. Les deux paramilitaires repartirent alors au travers du maelstrom.
La Traversée du portail
Mais au bout de cinq minutes, rien. Le groupe patientait nerveusement. Au bout d’un quart d’heure, rien non plus. L’officier décida de faire quelque chose et commanda à deux compagnons, de venir avec lui pour traverser le portail. Aucun n’hésita malgré l’anxiété palpable qui les saisissait. L’officier fut le premier à franchir le portail, puis revint au bout de quinze secondes pour faire signe aux deux autres de le rejoindre.
Et quelle ne fut pas la surprise de ces derniers quand ils ressortirent de l’autre côté. Un bois étrange avec des arbres et plantes inconnues les entourait. Mais n’ayant pas le temps de s’attarder pour s’émerveiller de ce qu’ils voyaient, ils constatèrent avec effroi que les deux corps des paramilitaires gisaient par terre devant, à moitié démembrés et dévorés.
Des gémissements étranges et des râles inquiétants se faisaient entendre autour d’eux. Et quelques secondes après, une horrible créature surgie de derrière un fourré se jeta sur l’officier avec une hargne incroyable. Il eut à peine le temps de vider le chargeur de son pistolet semi-automatique dans la tête et le torse de la créature. Celle-ci s’effondra devant lui, encore agitée de soubresauts.
Puis le monstre releva sa tête, les yeux pleins de haine et se mit à ramper vers l'officier. Ce dernier dégaina sa machette et lui trancha la tête d’un coup violent qui fit gicler celle-çi au loin. Et alors qu’ils se remettaient de leurs émotions, ils furent rejoints par le reste de l’équipe.
Ils restaient perplexes devant leur découverte, et trois d’entre eux allèrent chercher des biens de première nécessité à travers le portail, à savoir des munitions, de la nourriture et de quoi établir un campement sommaire. L’officier et le compagnon restant montaient la garde devant le portail au cas où.
Puis, alors que le groupe inspectait les environs, ils furent alertés par un bruit émanant du portail. Le voile bleuté venait de se déchirer pour finalement disparaître au bout de quelques secondes. L’officier essaya de traverser l’anneau mais rien ne se passa. Tout semblait indiquer qu’un retour sur terre n’était plus possible.
Une terreur saisit le groupe et devint bientôt panique. L’officier, essayant lui-même de garder son sang froid, tentait d’apaiser les autres mais rien ne semblait pouvoir y faire. Toutefois, au bout de quelques minutes, et après de longues discussions nerveuses, il fut décidé d’établir un campement car la nuit pointait son nez.
Le campement
Au bout de ce qui semblait être une centaine de mètres à travers la forêt, les aventuriers découvrirent une petite clairière avec deux petites ruines de pierres. L’officier et le reste du groupe s’accordèrent pour dire que c’était un bon endroit pour s’établir.
Avec ce qu’ils avaient pu apporter avant que le portail ne se ferma, ils dressèrent des toiles par-dessus les ruines afin de les recouvrir de manière étanche. Leur matériel de survie était sommaire mais au moins avaient-ils des munitions en quantité pour leur armes. Le plus critique était la nourriture, car leurs provisions étaient insuffisantes.
Le Portail de Rochebaron
Lors d’une expédition archéologique menée dans le Velay par la corporation Lance-Fer, les chercheurs ont investi les catacombes inexplorées du château de Rochebaron.
alors qu’ils menaient les dernières fouilles avant leur départ, ils sont tombés sur une structure ressemblant à un gigantesque anneau de pierre avec un petit escalier y menant.
Cette découverte les intrigua beaucoup et ils la reportèrent à M. Dagrue, patron de la corporation. Rien dans l’histoire de Rochebaron n’évoquait un tel artefact.
Celui-ci sentit tout de suite qu’il y avait quelque chose de paranormal dans cet anneau et il fit venir avec lui un groupe de paramilitaires, d’aventuriers et d’experts en surnaturel. Ces derniers ont de sitôt commencé à analyser l’anneau. Après de complexes recherches sur les inscriptions écrites sur une stèle à côté, une IA a pu déterminer qu’il s’agissait d’un portail spatio-temporel. Les scientifiques avaient même trouvé comment l’activer grâce à la stèle.
M. Dagrue décida alors de faire s’ouvrir le portail par les scientifiques et l’équipe d’explorateurs se prépara à le franchir. Un maelstrom de couleurs bleutées et lumineuses emplit le portail et l’on ne pouvait voir à travers ce qu’il y avait de l’autre côté. L’officier accompagnant M. Dagrue ordonna alors à deux paramilitaires de franchir cette brume confuse de lumière chatoyante. Les deux soldats hésitèrent, puis firent le premier pas à travers le portail. Rien de spécial ne se produisit alors ils osèrent pénétrer tout entier dans celui-ci.
Les deux paramilitaires réapparurent alors une minute après pour leur dire que tout allait, mais qu’ils allaient être surpris par leur découverte. Tout semblait hors de danger selon eux. Ils dirent qu’ils partaient en reconnaissance et suggérèrent aux autres d’attendre un peu avant de traverser pour s’assurer que tout soit sécurisé. Jean acquiesça et leur dit de faire signe quand tout serait bon. Les deux paramilitaires repartirent alors au travers du maelstrom.
La Traversée du portail
Mais au bout de cinq minutes, rien. Le groupe patientait nerveusement. Au bout d’un quart d’heure, rien non plus. L’officier décida de faire quelque chose et commanda à deux compagnons, de venir avec lui pour traverser le portail. Aucun n’hésita malgré l’anxiété palpable qui les saisissait. L’officier fut le premier à franchir le portail, puis revint au bout de quinze secondes pour faire signe aux deux autres de le rejoindre.
Et quelle ne fut pas la surprise de ces derniers quand ils ressortirent de l’autre côté. Un bois étrange avec des arbres et plantes inconnues les entourait. Mais n’ayant pas le temps de s’attarder pour s’émerveiller de ce qu’ils voyaient, ils constatèrent avec effroi que les deux corps des paramilitaires gisaient par terre devant, à moitié démembrés et dévorés.
Des gémissements étranges et des râles inquiétants se faisaient entendre autour d’eux. Et quelques secondes après, une horrible créature surgie de derrière un fourré se jeta sur l’officier avec une hargne incroyable. Il eut à peine le temps de vider le chargeur de son pistolet semi-automatique dans la tête et le torse de la créature. Celle-ci s’effondra devant lui, encore agitée de soubresauts.
Puis le monstre releva sa tête, les yeux pleins de haine et se mit à ramper vers l'officier. Ce dernier dégaina sa machette et lui trancha la tête d’un coup violent qui fit gicler celle-çi au loin. Et alors qu’ils se remettaient de leurs émotions, ils furent rejoints par le reste de l’équipe.
Ils restaient perplexes devant leur découverte, et trois d’entre eux allèrent chercher des biens de première nécessité à travers le portail, à savoir des munitions, de la nourriture et de quoi établir un campement sommaire. L’officier et le compagnon restant montaient la garde devant le portail au cas où.
Puis, alors que le groupe inspectait les environs, ils furent alertés par un bruit émanant du portail. Le voile bleuté venait de se déchirer pour finalement disparaître au bout de quelques secondes. L’officier essaya de traverser l’anneau mais rien ne se passa. Tout semblait indiquer qu’un retour sur terre n’était plus possible.
Une terreur saisit le groupe et devint bientôt panique. L’officier, essayant lui-même de garder son sang froid, tentait d’apaiser les autres mais rien ne semblait pouvoir y faire. Toutefois, au bout de quelques minutes, et après de longues discussions nerveuses, il fut décidé d’établir un campement car la nuit pointait son nez.
Le campement
Au bout de ce qui semblait être une centaine de mètres à travers la forêt, les aventuriers découvrirent une petite clairière avec deux petites ruines de pierres. L’officier et le reste du groupe s’accordèrent pour dire que c’était un bon endroit pour s’établir.
Avec ce qu’ils avaient pu apporter avant que le portail ne se ferma, ils dressèrent des toiles par-dessus les ruines afin de les recouvrir de manière étanche. Leur matériel de survie était sommaire mais au moins avaient-ils des munitions en quantité pour leur armes. Le plus critique était la nourriture, car leurs provisions étaient insuffisantes.