Citation :C'est qui/quoi ?? (un arbitrator, son nom n'a pas d'importance)Un membre de l'Adeptus Arbites, la "police" de l'Imperium.
Châtiment
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Citation :V° armée impériale, sous le commandement du Maître de guerre Joukoff. C'était pas un général russe du temps de la bataille de Stalingrad ça ? Sinon toujours aussi bien :) Vraiment un bon style, on lit avec entrain . Continu comme ça ;) Tu mets beaucoup de temps à les écrire?? La suite? Ho, je l'attend avec impatience.
Holothèque (avec un 'h' ;)
@ Apocalipse : cela dépend de l'inspiration. Là oui, j'ai mis pas mal de temps. ^^ @ KDJE : pourquoi le 'h' à holotèque? Citation :pourquoi le 'h' à holotèque?A cause du grec. Holos (entier) et théké (endroit où l'on conserve). Si tu veux parler d'un meuble ou d'une salle habritant des hologrammes et/ou des holographes, c'est une holothèque. A moins que tu ne veuilles parler d'une péripatéticienne à la peau cuivrée, cousine des toltèques ? Citation :Si tu veux parler d'un meuble ou d'une salle habritant des hologrammes et/ou des holographes, c'est une holothèque. Option 1, pas la deux. (Pour des hologrammes en fait. Une sorte de cinéma nouvelle version. avec du pop corn martien et des pubs pour AL Bundys.) Mais ce que je ne comprends pas, c'est la remarque du h. J'ai eu beau reprendre mon texte, je ne l'ai pas oublié. (???) Ou alors la remarque n'était pas orthographique. et dans ce cas je reprends une tasse de café et je saute dans le vide spatial. Dwarf, je suis petit, barbu, gros, et pourtant, je ne passe pas par les cheminées. Edit : toujours dans le même soucis de lisibilité, texte corrigé, revu, mis en forme, et compilé dans le premier post. La suite viendra d'ici peu. @ Rat : merci bien. :-) Mais qu'entends-tu par compil? Toujours aussi bien. Il y a deux-trois fautes (ex: les hommes donnaient des armes aux hommes: répétition?) mais c'est très bon dans l'ensemble. L'effet psychologique est très bien décrit. Pour les orks, tu pourrais écrire un passage ou Damas voit un char le soutenir avant de se rendre compte que ce sont des peaux-vertes qui le maneuvrent... Le Rat, attend la suite et suis l'histoire. (à quand une compil'?) Chapitre 3 : Solitude. Le verre de cristal vola à travers la pièce, explosant en une pluie de débris acérés. Eric resta debout, stoïque. La colère couvait sous son attitude impeccable, mais les hurlements de son amante n’entamaient pas sa résolution. Il avait pris sa décision, la bonne, la seule à ses yeux qui lui permettrait de rester avec son aimée. La jeune fille se rhabilla, le visage empourpré par la rage. Le noble savait qu’elle finirait par comprendre la justesse de sa décision. Leur amour surmonterait cette épreuve, car l’Empereur lui-même bénirait leur union. Elle comprendrait. Tout était question de temps. Alicia Holzmichel se dirigea vers sa glace. Elle s’assit sur un siège dont la seule valeur aurait permis de nourrir pendant un an une dizaine de misérables, et se mit à brosser violemment ses longs cheveux châtains. Nombre d’entre eux furent arrachés, malmenés par ce traitement inhabituel, et Damas ne put s’empêcher de grimacer de douleur devant ce massacre inutile. Le sang-bleu fit un pas en avant pour mettre fin à cette mutilation inutile. Sa main effleura à peine l’épaule de son aimée, que celle-ci se retourna brusquement, repoussant Damas en le frappant à la poitrine. Surpris, dérouté, le sang bleu recula face à la furie qui s’était emparé de sa douce. Il chercha à saisir les poignets de son aimée, pour finalement arriver à maîtriser ses gestes. Mais sa colère n’avait pas encore atteint son paroxysme, l’œil du cyclone n’était pas encore sur lui. « Pauvre fou ! Pauvre fou pauvre fou pauvre fou ! » La voix stridente d’Alicia blessait les oreilles de son amant ; ce dernier reconnaissait à peine celle qu’il aimait, tant la douce et fine héritière du potentat de la ruche semblait s’être effacée face à cette furie. « C’est notre mort que tu veux ! C’est notre mort que tu signes ! Je t’interdis de déserter ! » « Alicia ! Ecoutes moi ! » « Non ! Tais-toi ! Lâches moi ou je hurle ! » C’était déjà chose faite songea le jeune homme, qui parvenait à grande peine à maîtriser son aimée. Cette dernière se plia soudain en deux, tentant de mordre les mains de Damas. Surpris, le jeune homme ne put réagir avant que les dents d’Alicia ne s’enfoncent dans sa chair, jusqu’au sang. Réprimant sa douleur, Damas renforça sa prise sur la jeune femme. « Mais arrêtes bon sang ! Tu ne vois pas que c’est pour toi que je fais ça ! Que c’est pour nous ! » « Tout ce que tu vas faire, c’est nous condamner à mort tous les deux ! Cours à la ruine si tu le souhaites ! Mais ne me prive pas ma vie ! De mon titre ! De mon pouvoir ! » « Alicia ! Je t’en supplie arrête ! Ce que je fais. Ce que nous allons faire… tout cela… Nous pourrons vivre ensemble. Et je serais à tes côtés pour toujours… N’est ce pas ce que tu m’as dit ? N’est ce pas ce que tu m’as dit la nuit de la promesse ? Tu m’as juré que tu m’aimerais comme je t’aimerais ! » Un sourire malsain se dessina sur le visage d’Alicia, ravagé par la haine, la peur et la colère. Sa voix était devenue sifflante, ses yeux n’étaient plus que poison. « Tu ne comprends rien… Tu n’es rien pour moi ! Tu n’es qu’un jouet, un pantin ! Je suis la fille du gouverneur, je suis toute puissante ! Je t’ordonne de me lâcher ! Je t’ordonne de disparaître ! Je t’ordonne de mourir ! Je t’… » Alicia fut projetée au sol. Damas regretta immédiatement son geste, mais la gifle était partie toute seule. Sa main avait échappé à sa volonté, tout comme les mots de son aimée dépassaient sa pensée. Mais honteux de son geste, misérable et coupable, Eric Damas, fils de la noblesse de Nocturnus recula d’un pas. Le regard de la fille du gouverneur n’était plus qu’un gouffre abyssal de haine. Mais sa voix, au lieu d’être acide et empoisonnée comme dans les secondes d’avant, avait désormais une froideur inégalée. Tout dans son visage, sa parole et ses gestes, désignaient une femme dont la seule volonté avait désormais pour but la vengeance. Une vengeance contre cet homme qui avait osé lever la main sur elle. Lentement, comme si le temps s’était figé en cet instant, la fille du gouverneur de Nocturnus se releva. D’un geste impérieux, elle désigna la porte à celui qui fut son amant. Pas un mot. Mais un mépris tel, que Damas se sentit vaincu. Lentement à son tour, il sortit de la chambre de celle qui l’aimait, avant de disparaître dans le labyrinthe de couloirs du palais. Rongé par le remord, il savait cependant que son acte lui serait pardonné. Funeste erreur. Toujours, toujours bien. Je savais que la fille était une vicieuse près à le balancer et à le faire arrêter. Devant une telle oeuvre, la seule question est: pourquoi suis-je le seul lecteur posteur depuis quelques temps? Ah part çe manque manifeste d'affluence, bravo. (Un grand.) Le Rat, remet nous vite des orks! Aller! |